Pourquoi ont-ils manifesté les bobos étudiants et syndicalistes des grades villes ? Contre un fascisme inexistant ? Contre Macron, non puisqu’il use de la stratégie de la peur avec laquelle ils sont complices! Mais bien contre un résultat électoral »démocratique » qui les gêne !
A leur côté, dans les salons feutrés, voici les antifascistes gouvernementaux avec à leur tête l’ange Gabriel qui ne peut laisser que perplexe… lui aussi comme la gauche du front culinaire en promettant lui comme la gauche culinaire de distribuer l’argent à tous … quand à la veille de la catastrophique annonce il était question d’économiser 10 milliards Les belles promesses augmentatrices pleuvent comme cette remise en cause totalement improbable de la retraie à 64 ans que les milieux financiers ont eu tant de mal à faire valider. Les marchés financiers ont clairement répondu: merde!
Le RN est le seul à modérer ses promesses et à faire marche arrière, probablement parce qu’il risque de ne pas pouvoir les tenir car tout confirme qu’il va finir en tête, même si la bourgeoise fait tout, avec hystérie, pour qu’il n’obtienne pas la majorité absolue et soit à la merci de la fraction de droite ralliée avec Ciotti, représentant plus sérieux de l’oligarchie et à l'humeur du sieur Macron lorsqu'il lui conviendra d'appuyer à nouveau sur le bouton dissolution pour jeter à nouveau une nouvelle grenade incapacitante à toute alternative au système bourgeois régalien ; il est hors de question de laisser rééditer l’expérience désastreuse de 1981 à 1983. Plutôt le chaos que de nouvelles augmentations de salaire!
La soudaine perte de crédibilité du front culinaire n’est pas due au seul Mélenchon (quoique rien n’empêche que ce franc-maçon n’ait pas négocié en catimini avec l’Etat profond un deal pour couler provisoirement leur programme débile en vue d’attendre 2027). La façon dont le front culinaire a commencé par négocier et découper le gâteau électoral – au siège le plus ridicule et réduit par l’élection…les verts de rage – pour, seulement ensuite – parler de programme rapidement ficelé en promesses de raser gratis, a eu pour effet de révéler encore plus leur mépris de la classe ouvrière : puisque ces cons d’ouvriers racistes ne croient plus à ce fantasme cinquantenaire du retour d’Hitler avec béret Ricard, on va leur jeter des sous ! Leur promettre en tout cas car, Macron est peut-être méchant mais quand il laisse défiler tous les économistes chevronnés sur les plateaux, on comprend simplement que c’est intenable dans le système capitaliste. Si, sur leurs tréteaux de foire, tous ces crétins d’une économie sociable sous règne du capital mondial étaient révolutionnaires, ou pas illogiques, ils diraient « la révolution maintenant, insurrection » ! Et pas, encore plus débile, à l’unisson de leur public islamo-communautariste crier : Macron et Bardella, on va vous égorger ! ».
Macron n’est pas du tut du genre impulsif, comme sa classe d'appartenance, ou à obéir à un quelconque conseiller lambda. Il apparaît que sa pochette surprise a été préparée il y a de longs mois, surtout avec les cadres financiers. Hélas le raz de marée en faveur du parti le plus contestataire et moins soumis que les dits insoumis, totalement soumis au rejet comique du fascisme par le chefaillon de l’Etat, est venu perturber la « grenade jetée dans les jambes » (de la racaille parlementaire, dixit Macron selon Le Monde).
L’heure est « grave », toutes les belles greluches à brushing parfait sont boostées dans tous les cirques télévisuels pour déplorer non leur peur mais leur « haine » du facho car il faut en prémunir la France des coiffeurs et des beaux culs.
Macron n’est ni un idiot ni un taré, comme l’a taxé l’enfantin Star Trek d’Amiens, qui pose au créateur du front culinaire, ce qui fait radical mais pour faire l’impasse que les vrais tarés sont les pantins de la gauche bourgeoise décrédibilisés comme le pantin Flanby qui espère retrouver un scooter électoraliste, après avoir flingué l’industrie nucléaire et laissé le petit dictateur libéral lui succéder1. La mise en scène de l’opposition superfétatoire des deux « extrêmes » était prévue, afin de les dézinguer à tour de rôle par…étapes. On va voir que, si les sondages en général ne se trompent pas, c’est une méthode en effet scientifique, ils sont avant tout un instrument de manipulation. Face à l’évidence surprise du score du RN, la réplique a été subtile : l’invention du front culinaire en trois jours avec l’association de toutes les racailles de la gauche caviar et des écolos va-r-en guerre dont on avait subi les insultes et délires pendant des semaines, puis au quatrième jour un programme dessiné sur un coin de table qui ne pouvait cacher, malgré le ronron ringard traditionnel gauche utopique et consensuel avec les masses petites bourgeoises, mais seulement hors du pouvoir. Deuxième surprise, l’hameçon semblait prendre voire venir menacer le RN en son sommet. Rétropédalage avec un nouveau Ciotti de gauche, Mélenchon soi-même, un « même » traître à la sacro sainte démocratie. En somme, voilà de quoi plomber les « deux extrêmes » et voguer vers une énième restauration du centre sauveur émérite face à la caducité du faux dilemme droite/gauche bourgeoises. Or comme ce « centrisme bourgeois » ne fait toujours pas remonter, la mayonnaise, nouvel épisode pour la suite des 15 jours restant du feuilleton électoral, très suivi par une majorité des spectateurs et de sectateurs semble-t-il :
LA PEUR !
LE PARTI DE DE LA STRATEGIE DE LA PEUR
Depuis au moins cinquante ans, voire plus, le parti de la peur, celui qui s’en sert comme celui qui sert d’épouvantail, a toujours été le moyen principal de domination de la bourgeoisie : la peur (justifiée) du nazisme dans les années 1930, la peur des « communismes » au temps de la guerre froide. Le parti de l’étranger, Tout ce qui était à gauche du centre politique était suspecté de vouloir affaiblir la volonté de défense du pays. De cette manière, l’anticommunisme était aussi un moyen pratique de marginaliser la critique de l’État, de l’armée et de la patri. L’usage de cette peur explique la longévité du gaullisme, et fait qu’il reste la référence de TOUS les partis politiques en France depuis le petit gauleiter Zemmour jusqu’au Chavez français. Même stratégie avec l’antifascisme de la déplumée NUPES des DUPES. Le problème est que cette peur si elle conditionne encore les nombreuse couches petites bourgeoises citadines, le prolétariat s’en fout dont les principales peurs sont relatives au chômage, à la pauvreté et aux menaces des va-t-en guerre Macron et Glucksmann (traduction de l’allemand : l’homme du bonheur, sic ! depuis qu’il s’est fait rouler par « les appareils » et est retombé aussi bas que Jadot comme je l’avais prévu).
Entre en piste ce dimanche le fade truqueur chauve des sondages un certain Sananès, vigile habituel de la sondologie d’Etat :
« Une « victoire relative de la dédiabolisation du RN ». Voici comment Bernard Sananès, président de l'institut Elabe, analyse le résultat clé de notre étude réalisée mardi et mercredi, après le choc de la dissolution : seul un Français sur deux s'inquiète de l'arrivée de Jordan Bardella à Matignon ».
La question a évidemment été posée après que Macron l'ai distillée , insistant sur l'incompétence du RN et sur l'invraisemblance (bien vu) du fromage du front culinaire. L'ange Gabriel, Dupond le mari d'Isabelle Boulay, le conseiller Sarkozy et les sous-ministres se chargeant de répercuter la bonne parole, plus simplistement antifa, mais soulignant l'incompétence du RN et surtout du merdeux Bardella sans expérience de la rouerie étatique. A u fur et à mesure que se succède les répliques du camp présidentiel, et en effet il contre tout, souvent fort justement au plan économique et contre le chaos qui vient, ça ne marche toujours pas, même avec les belles midinettes qui jouent aux journalistes avisés sur les plateaux du cirque télévisé. Ne reste-t-il plus que la trouvaille d'un scandale de cul chez le RN ou une croix gammée dessinée su un cahier d'écolier de Bardella ?
Suivons encore la contribution obligée de Sananès, qui est tout de même intéressante concernant les peurs de la bourgeoisie :
« Ceux qui tremblent le plus ?2 Les électeurs de Valérie Hayer, tête de liste Renaissance aux européennes (93%) et de Manon Aubry, tête de liste de La France insoumise (89%), mais aussi les plus de 65 ans (60%). Une inquiétude très présente chez les habitants de l'agglomération parisienne (57%) mais beaucoup moins dans le monde rural (40%). Autre chiffre marquant : placées devant la possibilité de l'accession du RN au pouvoir, 20% des personnes interrogées se disent « indifférentes ». « Ceux-là ne sont peut-être pas favorables au RN mais se disent que ce n'est pas si grave », poursuit Bernard Sananès. « Nous avons aussi interrogé les Français sur leurs souhaits de victoire aux législatives. Le RN arrive en tête (32%), mais l'alliance de gauche n'est pas si loin (26%) (mais c'était avant la purge stalinienne). « On y lit un potentiel de mobilisation avec une dynamique comparable à celle des législatives de 2022 »3, poursuit Bernard Sananès. Quant à la dissolution, près de (58%) 6 Français sur 10 y voient une bonne décision. À commencer par les électeurs de Jordan Bardella. Ceux de Valérie Hayer approuvent également. « Preuve que l'argument de la clarification avancé par le président est un argument audible pour son électorat », conclut Bernard Sananès ».
Beau résumé « macronien » qui abonde face au parti « qui fait peur » pour sa place à Macron. Macron ne croit pas aux sondages, mais il semoque du monde, ils sont en général fiable, et il a dû prendre dans la gueule le sondage alertant sur l'embellie du RN. Il a beau faire le main, mais le RN est parti pour l'emporter, ce qui serait un moindre mal pour le patronat que les cinglés désunis du front culinaire. Il faut constater que la bourgeoisie fait tout pour amplifier son propre chaos, donc restreindre la montée du RN pour l'empêcher de détenir la majorité absolue. Le RN est un parti caméléon, plus que les cliques démagogiques de la gauche bourgeoise, il saura s'adapter aux exigences de l'Etat bourgeois maintenu, comme le fît le simplet Bolsonaro, même avec de ridicules manifs de rue des bobos antifas. Macon à qui il est reproché de vouloir se maintenir dans cette hypothèse, pourra apparaître comme le dernier barrage face aux « fachos au pouvoir », puis les laisser se décrédibiliser le moins longtemps possible en révélant leur incompétence puis dissoudre à nouveau. Suffisait de programmer mon cher Hitchcock
L'ORCHESTATION DE LA PEUR
Cette a été mise en exergue et fabriquée ou restaurée par les principaux défenseurs d'un capitalisme dépollué : la main verte kaki des écolos bobos. Agitant non la peur de la destruction du monde par la guerre permanente (quoique en soutenant la participation nationale à la guerre impérialiste en Ukraine)mais de la disparition de la terre du fait du réchauffement climatique .On ne prend pas en compte le fait que la bourgeoisie récupère régulièrement lubies ou délires de la petite bourgeoisie. Finalement principaux sponsors du grand remplacement, les bourgeois devenus écolos ont mis en place une dramatisation sociale, insistant sur les risques des déplacements des populations menacées par les inondations liées au réchauffement climatique. De quoi participer à la montée des inquiétudes sécuritaires dans les pays favorisés. Ce type d’interventions sert parfaitement à diluer la lutte des classes en faveur d'un souci primordial de non pas sauver l'humanité du capitalisme mais la planète considérée comme un espace neutre où tous les chats seraient écolos...et sans souci de niveau de vie et de considération sociale. La prégnance de cette idéologie confirme, pour les plus intelligents en politique de classe la collusion entre les sphères des divers partis politiques, tous devenus écolos, et les médias.
Plus généralement au plan politique des chercheurs en sciences sociales ont analysé l’influence de la peur sur le raisonnement social et politique, qui joue surtout parmi les couches petites bourgeoises et les étudiants, avec leur crainte très compréhensible pour leur avenir. . L’anxiété généralisée affecte la qualité des capacités de réflexion et de raisonnement. L’attention fixée sur le danger ou une menace diminue la capacité de traiter l’information et augmente les conduites d’échappement au risque. La psychologie politique a dégagé d’importantes implications de ce phénomène pour l’étude des relations raciales, la crainte de la criminalité, les réactions face aux menaces environnementales, au terrorisme, etc. Le pouvoir actuel et la gauche bourgeoise agitent une peur irréelle du fâchisme quand le RG agite une peur réelle de l'immigration de masse. Les quartiers bourgeois restent bien protégés quand les quartiers prolétaires sont l'objet de trafics, de meurtres répétés, d'invasion de femmes voilées, de comportements évitant voire méprisant des récents immigrés, etc.
Des analyses comportementales ont aussi mis en évidence une tendance chez les personnes en proie à une anxiété diffuse à devenir moins tolérantes à la différence, plus enclines à utiliser des stéréotypes et à manifester de l’agressivité face aux étrangers ainsi que de la conformité face aux normes culturelles et une préférence pour les leaders politiques affirmant chez les gens de droite comme de gauche, une vision nationaliste à géométrie variable, en version patriotique comme cosmopolite. Du côté des populistes de gauche les faits diverse sont présentés comme des cas isolés qu'il ne faut pas « essentialiser » Du côté des populistes de droite, insistant sur une criminalité immigrée réelle, que refuse de prendre en compte le populisme d'en face car ce serait secondaire, plus d'expulsion et de police réduirait les problèmes. Mais ces vrais problèmes sont dissous au départ car l'insulte prévaut des deux côtés des populismes.
Le psychologue social israélien Bar-Tal (2005) a montré qu’à ce type de mentalité correspond une rhétorique de la construction de l’autre ? N'est plus politique, « ...mais obéit à un processus de « dé-humanisation » visant à « délégitimer » l’adversaire, à l’exclure moralement du monde des valeurs et normes humainement partagées. Les traits caractérisant l’image de l’autre, qu’il soit palestinien ou israélien, le placent dans un espace infra-humain (animal, sauvage, etc.) ou sur-humain (démon, monstre, diable, etc.), lui appliquent des étiquettes l’assimilant à des groupes rejetés (nazis, colonialistes) ou des figures négatives (Vandales, Huns). Chaque groupe dispose d’un répertoire propre de représentations qui servent de symboles du mal, du diabolique, de la brutalité ou de la méchanceté. Cette dynamique met bien en évidence que la peur est articulée à des systèmes de représentations produits autour d’un enjeu défensif d’ordre territorial, identitaire et vital. »4
En tout c'est mal barré pour Emmauel Hitchkoc dont les scénarios n'étaient bons qu'au cinéma. A chaque jour surgit sa peine et le ridicule de ses concurrents. Chaque jour et aujourd'hui nous sommes tous, pour la première fois de l'histoire intéressés à l'effondrement de la crédibilité, pour ne pas dire la débilité, de tous les partis politiques. On n'a pas fini de se marrer surtout avec la pantalonnade de la NUPES remise en orbite avec autant de boules puantes, avec le procureur Bompard, nul comparé au gifleur Quatennens (peccadille comparé aux PN qui peuplent le milieu artistique) éliminé par les bourgeoises féministes, et qui se montra franchement ridicule ce midi sur BFM dans la défense hallucinante du gourou stalinien Mélenchon. Qui va faite donc couler le front alimentaire pour chasseurs des bons postes politiciens. Contrairement aux supposées projections à la 50/50 la NUPES claudiquante va se ramasser une bonne baffe électorale.
Contribuant à faire gagner les exclus et le RN , ou n'importe quel candidat de droite ou de gauche molle. Comparer des merdes comme Bompard à des personnages historiques comme Blum, mais pas en tant que politicien bourgeois, me conduit à penser que Mélenchon es comparable à Johnny en fu de parcours : abîmé par une trop forte consommation d'alcool et lucidité proche d'Alzheimer.
"Matignon n’est pas un sujet existentiel. Je ne suis pas en train de construire une carrière Les insoumis ont produit des dirigeants capables", assure l'ancien député des Bouches-du-Rhône, après avoir dit se sentir "capable" de devenir Premier ministre."Quand Léon Blum devient chef du gouvernement en 1936, il n’est pas au niveau de Manuel Bompard, ni de Mathilde Panot ou de Clémence Guetté, il était critique d’art et dirigeant marxiste du Parti socialiste".
À suivre ce vaudeville, passionnant pour une petite bourgeoisie hystérique et complètement manipulée dans son impuissance, mas navet lamentable pour le prolétariat. Ce dernier ne pouvant s'affirmer dans ce merdier électoral comme l n'avait pu s'affirmer pendant la crise des ilets jaunes orchestrée par la petite bourgeoisie provinciale. En plus dans ce cadre électoral bourgeois complètement ficelé par la classe dominante. Mais avec un bon point exceptionnel : le dégoût de tous les partis politiques et des médias. Y compris du RN qui ne fait office que de panneau publicitaire dans la mesure où il fait figure, pur pas très longtemps, de victime d'un acharnement médiatique outrancier qui n'efface pas sa nature bourgeoise et inquiète pour l'ordre national bourgeois, surtout à cause de la débilité de la gauche caviar et bobo. L'Etat macronien recrute soudain célébrités et fouteux, cela fait partie du programme pour voter bcbg pour une compétition européenne. Il n'y a plus de sport apolitique. Le sport est désormais de gauche et fidèle à Big Mac. Nous, on s'en fout de l'opinion autorisée de ces...milliardaires. Et merci à Serge Klarsfed.
NOTES
1 Le gentil Glucksmann nous avait fait bien rigoler en proposant l'ancien syndicaliste collabo Laurent Berger comme futur premier ministre, mais l'idée n'était si bête qu'on l'a dit. Même le come-back de Hollande. L'échec du front culinaire, même s'ils font semblant de ne pas s'en rendre compte est qu'ils n'ont plus de chefaillon, Mélenchon n'est plus rien qu'un gourou de secte néo-trotskienne. Or un vrai groupe populiste ne peut vraiment parader qu'avec un chef charismatique. Le RN l'a compris, même s'il lui reste encore un pas à faire pour éliminer mamie Le Pen qui fait de l'ombre au jeune prodige, vraiment populaire pour son allure élégante, ses mains jointes et son contrôle de soi. Aucun chefaillon d'un tel type, sauf des vieux cons haineux à gauche et des féministes bourgeoises hystériques.
2Non d'abord ceux qui tremblent le plus sont les vedettes de la mafia artistique dépendante de la gauche bourgeoise et les assocs du commerce secouriste immigrationniste.
3L'interprétation est sujette à caution, la NUPES reconstituées dans des conditions rocambolesques présente pas mal de candidat de couleut anti-raciste, noirset arabes (qui comptent en banlieue islamisée) . Cette « couleur politique » avec présentation d'abrutis communauatistes va coûter à la secte, dans la pluprt des cas là où il y a un candidat modéré ou PS, ils ramassent leur veste et surtout face surtout au RN !
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