« Eh que sais-tu, cher Théodore, si, au lieu d’un étranger, ce n’est pas un dieu que tu nous amènes? » Socrate
« Des quartiers sont sous le joug communautariste. C'est notre réalité. Et ils donnent un permis d’agresser les filles qui se distinguent, qui ne versent pas dans la religiosité ostentatoire et militante. L'école ne protège pas. Comment éclairer les jeunes qui ne connaissent que la loi du quartier et de la mosquée ? »
Fatiha Boudjahlat (enseignante essayiste)
Dans l'Antiquité grecque l'étranger débarquant suscite les mêmes inquiétudes, parfois fondées, souvent fantasmatiques comme aujourd'hui : il vient d'ailleurs, mais d'où, ne va-t-il pas se servir de sa dague ? Quoique... attention car ce peut être une sommité bien connue qui serait notre père à tous et l'incarnation céleste de l'empathie humaine :
« Il n’est pas bien d’outrager un infortuné voyageur, qui est peut-être une divinité du ciel ; car souvent les dieux par qui tout s’accomplit, semblables à des hôtes de pays lointains, parcourent les villes afin de connaître la violence ou la justice des hommes » Homère (L'Odyssée)
Dans la tablée grecque une chaise est toujours vide, elle est toujours réservée à l'arrivée éventuelle de l'étranger, pas comme étranger mais parce qu'il peut être dieu lui-même. L'étranger n'est pas imaginé donc comme un simple convive mais comme facteur de culpabilité. On ne doit pas refuser de l'accepter sinon c'est une offense à dieu. Mais il n'y a qu'une chaise. A notre époque ce sont de très nombreuses chaises vides qu'il faudrait disposer dans la maisonnée.
Les inventeurs du terme crimmigration, grands universitaires américains, ne connaissent ni la philosophie grecque ni Marx . Le terme est d'ailleurs inconnu en France ou simplement utilisé dans une résolution européenne1. Il signifie que l'immigration est systématiquement le bouc-émissaire de toutes les violences de la société, d'ailleurs aussi bien dans les pays africains qu'européens ; il est réducteur, à la mode islamo-gauchiste de qualifier cette peur de l'étranger de racisme. La ficelle est grosse de la part de la bourgeoisie intellectuelle et de ses bobos militants, ils partent de l'idée simple : l'immigration n'est pas un problème. Donc celui qui s'interroge, s'inquiète, veut comprendre, cherche des solutions, est forcément un raciste.
Or l'anti-raciste islamophile révèle ainsi sa mauvaise foi, ou plutôt sa malhonnêteté. Bien sûr que l'immigration moderne devenue massive est un problème qu'on ne peut résoudre en proclamant : ce n'est pas un problème ou il n'y a pas de problème. Méthode, si on peut dire, d'empêcher de penser et de faire croire que penser dépend d'une morale politique, plus psychologique d'ailleurs que politique, dont le fleuron serait l'expression des études poussées d'intellectuels chercheurs de haut niveau et de l'agitation nerveuse de la piétaille militante de l'extrême mariage de l'infantilisme et de la bêtise figurée amplement par le NPA, et son concurrent « cocotte minute permanente » avec son chefaillon bouffon Connasse Kazib..
L'idéologie antiraciste américaine et ses « studies » biaisées sur la crimmigration
Des recherches et statistiques poussées peuvent à masquer le fond des problèmes ou surtout à interdire de penser différemment d'une conclusion qui était déjà affirmation au départ. Le corsetage de la pensée est immédiatement posé par la formule « vous n'aurez pas ma haine », comme si la haine n'était pas la préhension possible de tout bord racial ou politique. Les deux garde-fous de la pensée « islamopholle » sont : ne pas généraliser et ne pas essentialiser.
Généraliser est certes, usité à tout propos, un simplisme propagandiste qui disqualifie d'ailleurs tous nos antiracistes professionnels et divers islamophiles généralisateurs patentés : quiconque est en désaccord avec leur morale est un raciste et un facho. Essentialiser, ils connaissent aussi par l'injure et la menace.
Pour toute personne réfléchie et indépendante d'esprit, non cornaquée par un parti bovin ou une secte ésotérique, le sujet de l'immigration sert de bouc-émissaire depuis plus d'un siècle aux gouvernants de tout bord, même de couleur ; Obama est le président américain qui a officialisé au plus grand nombre d'expulsions. Et voici ce qu'affirme le site ACADEMIA qui officie à des centaines d'articles pro-immigration les yeux fermés...depuis la période coloniale. Eurêka tout s'explique par le racisme !
« Historiquement aux États-Unis, les périodes d’immigration à grande échelle ont été accompagnées par les perceptions de la menace et les stéréotypes de la criminalité redoutée des immigrants. Il y a un siècle les commissions ont enquêté sur le lien entre l’immigration et la criminalité; chacune a constaté des niveaux inférieurs de l’implication criminelle des personnes nées à l’étranger. La période actuelle fait écho à ce passé. Depuis un quart de siècle, des alarmes ont été soulevées sur l’immigration à grande échelle, et en particulier sur les immigrants sans papiers d’Amérique latine. Mais au cours de la même période, les taux de criminalité contre les biens ont été réduits de moitié; la baisse de la criminalité a été plus prononcée dans les villes avec une plus grande proportion d’immigrants; et les jeunes hommes nés à l’étranger sont beaucoup moins susceptibles d’être détenus que des Autochtones. Les éléments de preuve démontrant des niveaux moins élevés de criminalité parmi les immigrants est soutenu par un nombre croissant d’études contemporaines. Dans le même temps la période a été marquée par la criminalisation de l’immigration elle-même, et par la confluence de l’immigration et le droit pénal et les appareils d’application de la loi. Une série d’événements critiques ont réussi par des paniques morales ont influencé l’adoption de lois hyper-restrictives et des ressources institutionnelles qui ont permis de construire la « crimmigration »2
C'est le résumé de ce qui est martelé sans arrêt jusqu'à plus soif. Vous pouvez lire des centaines de pages consacrées à cette pro-immigration vertueuse et sans tâche ; conclusion : la moindre critique de l'immigration est un crime et une courbette face aux puissants. Nombre de leurs analyses sur les barrières successives mises par l'Etat américain (pudiquement nommé L'Administration fédérale) montrent et rappellent le cynisme de la bourgeoisie américaine et les diverses honteuses manières dont elle a usé et use pour refouler ces masses de populations qui viennent surtout d'Amérique du Sud, fuyant comme nos africains la misère, la guerre et les cartels criminels de la drogue. Cela tout le monde en convient, même le pire raciste ou l'électeur fan du puceau Bardella.
Mais est-ce que démontrer par des chiffres statistiques que la criminalité immigrée est bien moindre que l'autochtone élimine celle qui est principalement incriminée? Oui arguent nos professeurs émérites puisque les causes sociales classiques sont invitées au parloir : inégalités sociales, pauvreté, isolement, animosités raciales, etc. La victimisation de l'immigration devient ainsi le masque de l'incapacité de nos moralistes universitaires et islamophiles à proposer des solutions alternatives3 autres que les inepties d'avocates et de psychanalystes charlatans au lendemain du massacre de la jeune lycéenne Samara : on prône l'empathie...organisons des réunions de contact pour leur apprendre à se parler et à se respecter... développons le sport en banlieue4. Empêcher surtout de penser au fond du problème.
La violence comme facteur « généraliste » est en effet corrélée systématiquement aux ados français enfants d'ouvriers arabes des générations précédentes mais ne peut être liée en soi à l'immigration5. C'est de violences au pluriel qu'il faudrait parler : violence criminelle, violence policière, violence institutionnelle, violence psychologique, etc. La violence n'est ni la même ni du même type selon les circonstances ; de plus elle n'est pas en soi négative s'il s'agit de se défendre. Cet aspect plurifactoriel n'est jamais pris en compte et permet de nous abreuver des constats généralistes sur « la violence de notre société » et de nous noyer dans les considérations socio-illogiques de toutes les variétés de crétins psys et des journalistes accrédités et superficiels.
L'astuce du brouillage politique idéologique réside dans la disproportion des comparaisons avec le nombre ou la quantité, quand la quantité n'est pas la qualité ni une référence incontestable. Prenons nos chercheurs de l'ACADEMIA. Ils consacrent des tonnes d'articles à démontrer que la criminalité est moindre chez les immigrés, ce qui est factuellement certainement vrai globalement, mais ce globalement n'élimine pas cette criminalité avec ses spécificités que ces intellectuels américains ne se risquent pas à évoquer. L'immigré, quel qu'il soit, est un dieu socratique. De même tous les statisticiens islamo-gauchistes en France vont démontreront, et avec des chiffres fiables, que l'immigration n'est pas aussi massive que le proclament les médias « racistes ». C'est un peu vrai mais faux principalement dans les grandes villes où la concentration immigrée et la délinquance sont plus élevées qu'ailleurs (même si des villages sont de plus en plus concernés)6. Concentration équivaut aussi à ghettoïsation.
Le nombre n'est pas le problème mais la concentration si, concentration au centre ville ou l'étranger est plus visible qu'avant, il est noir, où sa seule source de revenu se trouve en banlieue, quand une partie seulement viendra servir sans garantie de titularisation les boulots de merde dans la restauration, dans le bâtiment, etc. Ce que devraient dire nos enquêteurs pro-immigration c'est que la délinquance exponentielle et les viols dans ces conditions sont NORMALES et donc évidemment plus fréquentes de la part de ces populations en vadrouille pour une meilleure vie. Le nombre se retourne aussi contre les professionnels de la morale anti-raciste : comment expliquent-ils qu'à la prison de Fresnes on trouve une majorité de noirs et d'arabes ? Et d'OQTF ?
Le patronat et le gouvernement n'ont pas pour but de doter l'étranger de la trilogie sociale plus importante que la républicaine : « un travail, un logement et une femme ». Restez entassés dans les caves la nuit et masturbez vous si vous êtes des obsédés du sexe.
En revanche pour les autochtones intelligents qui ont compris cela mieux que les journalistes superficiels ou les merdes islamo-gauchistes, la délinquance immigrée où le fait d'être mineur n'entraîne aucune sérieuse correction judiciaire, N'EST PAS NORMALE ; et pas normale, parce qu'elle serait minoritaire où un « fixation raciste » mais parce qu'elle S'AJOUTE ET REJOINT la criminalité française ! Pas besoin de statistiques pour comprendre cela, ni de chercher à excuser systématiquement des exactions d'immigrés.
On voit donc ici que l'argument du nombre de l'élite intellectuelle pour minorer ou éliminer de la réflexion les fais divers incluant des criminels immigrés, obéit non à un quelconque internationalisme irénique, mais, pire que le racisme plouc, est une perverse négation d'une réalité subie, même par les immigrés intégrés, et surtout une infantilisation des pauvres autochtones, c'est à dire surtout de la classe ouvrière. Les voitures brûlées, pas par les migrants en général (mais l'étanchéité n'existe pas dans la misère), ce sont celles des ouvriers sans garage personnel ni quartier « protégé », la majorité des gamines violées et des femmes massacrées par leur conjoint sont les humains de la classe d'en bas. La bourgeoisie avec ses donneurs de leçon antiraciste et pro-immigration et pro-islam se conduit comme Depardieu, la main au cul pour les soubrettes et le baise main pour les culs de luxe. Mitou pour les bourgeoises, dégoût pour les sans-grades et même les migrantes et les voilées.
RIMBAUD DOIT SE RETOURNER DANS SA TOMBE : la spécificité de la violence est-elle jeune, immigrée... du fait des « patrouilles islamiques », d'une radicalité islamiste
Sans lien direct avec l'immigration, qui existe par un canal7, et ses problèmes, la série de violences aux portes des lycées en France, en premier lieu avec le tabassage de la jeune lycéenne de 14 ans Samara – au lycée Rimbaud – a soulevé autant d'émotions que d'interprétations confuses. Pas nécessaire de revenir sur toutes les péripéties de ce traquenard tragique, sur lequel les médias ont largement glosé sans répondre au pourquoi. Rapidement, par suite aux déclarations de la mère, l'explication la plus répandue fût celle fournie par la mère de Samara, une femme d'origine arabe, intelligente et avec du bagout : une conséquence du « joug communautariste » comme le résume la citation en exergue de Fatiha Boudjahlat.
On nota aussi que Macron oblitéra cette interprétation tout comme, dans son communiqué, le parquet de Montpellier n’aborda pas non plus la dimension religieuse évoquée par la mère de la victime, Hassiba Radjoul. Or peu après cette mère fait pénitence islamique sur le plateau pipole de TPMP pour lire une déclaration affirmant que sa fille était une musulmane pratiquante et rigoureuse et qu'elle s'opposait à toute récupération de l'extrême droite8. Déclaration plus du tout éplorée mais politique. Echange de bons procédés classiques, quand l'extrême droite accuse l'immigration de tous les malheurs, l'Etat et ses gauchistes accusent l'extrême droite de tous les malheurs, et ça tourne en rond comme dans une cour d'école ; plus personne n'est cause de rien sauf avec « c'est toi qui l'a dit, c'est toi qui l'est ». Cette précision de la mère, dictée par un imam quelconque ou l'édile de la circonscription électorale avait deux buts évidents. Le premier de protéger la fille des représailles islamistes, comme pour Mila, et le deuxième d'effacer l'évidente connotation policière islamisante. La religion musulmane n'est pas simplement la deuxième religion en France mais la deuxième police, interne, de l'Etat bourgeois. Elle est surtout instrument de pacification des conflits sociaux et facteur supplétif des syndicats pour diviser les travailleurs ; comme c'est rassurant pour l'ordre social le développement de délégués syndicaux musulmans... Et instrument de démolition de la culture et de l'éducation rationnelle9.
Pour une bonne partie de la jeunesse, pas seulement d'origine étrangère, la France ni la raison n'existent plus. Seule compte la satisfaction immédiate. Les réseaux sociaux et la fixation journalière sur le portable ont généralisé cette aliénation qui supprime toute humanité et fait de la jouissance immédiate le but le plus urgent. De même la persécution n'a jamais été autant répandue et omniprésente que par les temps qui courent et ne se rattrapent pas. Une fois que l'on a dit cela on ne va pas plus loin que le commun des sociologues et des psys.
Le problème demeurera longtemps plurifactoriel10 mais il importe d'en connaître le principal aboutissement. Puisque la police française est notre principal ennemi, il faut se faire justice soi-même. Dans le bon jadis, la police était vue aussi comme ennemie, et tout le monde ne détestait pas la police. Elle n'était qu'un des remparts de l'Etat bourgeois . Aujourd'hui le rejet de la police ou sa contestation ne sont plus politiques mais impressionnistes : elle tue, elle est raciste voire loi des « blancs », il faut les caillasser, tuer les flics à la maison. Ce rejet meurtrier de la police n'est pas islamiste, puisque dans les pays intégralement islamisés les jeunes ont la même haine apolitique, mais il se couvre ici du manteau de l'islam.
Jalousie sur fond de pratique religieuse ?
« Au collège Arthur-Rimbaud à Montpellier, les élèves livrent leur version de l’agression de Samara. Une personne du collège Arthur Rimbaud aurait créé un compte, au pseudonyme «Carbo Mtp» (Mtp étant l’abréviation Montpellier), prétendant être la collégienne Samara. Sur des vidéos que Le Figaro a pu consulter, on peut voir des photos de jeunes filles nues, dont certaines à caractère pornographique, qui représenteraient, selon les dires de Rachel, des adolescentes de l'établissement. S'ajoute à ces photos, un autre cliché en particulier, qui serait à l'origine du lynchage de Samara.
Sur le compte, est ainsi postée une photo de la principale agresseuse présumée de Samara, Myriam*, sans son voile islamique, et avec une mention de son pseudonyme sur Snapchat. Or, cette adolescente, très pratiquante et portant toujours habituellement son voile, ne pouvait qu’être heurtée par la divulgation de cette photo. Myriam aurait donc cherché à se venger, sans prendre le temps de s’expliquer avec Samara, rapporte toujours Rachel. Après la diffusion du fameux cliché, un nouveau message anonyme est en effet posté par le compte Carbo Mtp :«Demain devant le collège Arthur Rimbaud bagarre à 17h30». Et le «Demain» est arrivé.
L’histoire pourrait même aller encore plus loin. Pour la majorité des élèves, Myriam serait elle-même derrière ce mystérieux compte Snapchat. Détestant la jeune fille, elle aurait délibérément posté sur le réseau social toutes ces photos, se faisant passer pour sa rivale, afin que Samara reçoive une violente correction. «Je ne sais pas si c'est Myriam derrière le compte… », soupire Rachel de son côté, qui ne sait plus quoi penser. Autour d'elle, des jeunes filles lèvent les yeux au ciel pendant que d'autres détournent le regard. »
Après cette interview le journaliste ajoute une explication tout à fait rationnelle qui se passe de la focalisation sur l'immigration, et du préjugé qui fait des enfants de familles arabes françaises des immigrés éternels. Il pose une vraie question politique, celle de la gestion étatique erratique des territoires qui dépasse les banalités et pleurnicheries abstraites sur la violence en général :
« C'est l'occasion de dire que c'est une folie que de construire des collèges REP ou Rep+ accueillant plus de 800 élèves. C'est économique pour l'État. C'est déshumanisant. C'est pousse-au-crime. De plus, il ne faut plus construire de collèges et de lycées dans ces quartiers ghettoïsés ethniquement et culturellement. C'est la double peine de la double assignation à résidence. On peut tout faire pour tenter de rendre étanche et hermétique la clôture du collège, c'est la règle du quartier qui s'impose sitôt la grille dépassée »11.
Complices de cette déshumanisation les merdes islamo-gauchistes qui se portent au secours de la décomposition sociale (du marais LFI à la secte NPA) pour l'essentiel : encadrer les banlieues et ramener les ouvriers d'origine immigrée vers les urnes. La même tactique inconscient et dangereuse dont se gaussait Louis Janover, après les circonvolutions de Bensaïd concernant le soutien critique à l'URSS effondrée et le rejet du terme communiste par Krivine :
« le pouvoir n'est plus au bout de la kalachnikov vietnamienne : que ne prend-il pas pour nouveau symbole le bulletin de vote. Le pouvoir est au fond des urnes et il ne mauque pas d'éboueurs gauchistes pour l'y aller pécher »12.
Les islamogauchistes complices de la régression religieuse
(La présumée et essentialisée islamophobie bouc-émissaire de la bien pensance de la gauche bourgeoise et petite bourgeoise déjantée)
Le soutien ininterrompu des queuistes de l'idéologie bourgeoise anglo-saxonne. Subtilité des bourgeoisies les plus avancées en manipulation, le maire de Londres, les premiers ministres d'Angleterre et d'Ecosse sont de confession musulmane, et le dernier ne s'est pas gêné pour appeler à la prière, alors même que les musulmans sont très minoritaires en Ecosse.
Comme la suppression stupide du mot race dans la constitution française, c'est le bréviaire anti-raciste qui sert de vade-mecum à la plupart des bourgeoisies européennes, un coup on met une femme, un coup un musulman, un autre coup un homosexuel. C'est la fin des classes par la libération par le partage au sommet du pouvoir (et l'échangisme, sic!) et l'exposition ostentatoire des catégories, plus sociologiques que sociales ou politiques.
Merci en tout cas aux LFI et NPA pour leur absence de soutien à leurs collègues profs et aux proviseurs persécutés, menacés alors qu'ils font leur boulot contre une morale islamiste rampante, celui-là pas de couverture en surface mais de propagation prosélyte ?, et de débilité profonde13. Merci aussi à la lâche hiérarchie de l'Eduque naze humiliant le principal du Collège Jean-Bertin dans la banlieue d'Auxerre, après que le directeur Département de l'Éducation nationale l'a sommé de s'excuser auprès de deux militantes voilées, à qui ce dernier avait demandé de retirer leur voile puisqu'elles intervenaient dans un forum organisé par le collège. En renfort de ce « pas de vague raciste et haineuse » LFI a accusé le proviseur de racisme et d'islamophobie.
Les variétés de néotrotskiens font semblant d'ignorer mais n'ignorent pas le problème du prosélytisme islamique, comme hier ils n'ignoraient pas les crimes de Staline mais les soutenaienr mordicus face à la « droite gaulliste fasciste ». Même, et surtout en tant que petite secte agitée du bonnet, ils ne sont jamais étrangers au cynisme et aux mensonges électoraux des grands partis bourgeois.
LES FAKE NEWS DE L'ISLAMO-GAUCHISME DE LA CLIQUE A BESANCENOT
Le lycée d'un autre artiste, plus musicien que Rimbaud va nous fournir la plus comique illustration que cette défense des « révoltées musulmanes » car comme dans les années 1960 tout ce qui bougeait était révolutionnaire.
« Lycée Ravel : islamophobie et politique sécuritaire, nous ne sommes pas dupes ! ». Ainsi titrée la prise de position du BP caché du NPA commence par un mensonge :
« L’affaire d’islamophobie au lycée Ravel ne cesse de prendre de l’ampleur. Le 28 février, un chef d’établissement interpelle violemment une élève de BTS pour lui demander de retirer son sous-hijab, qu’elle enfilait afin de se rhabiller à la sortie du lycée. Alors que la jeune femme doit prendre un moment pour retirer le nœud du bonnet, celui-ci s’en prend violemment à elle au point que des élèves devraient s’interposer pour interrompre le proviseur. Le proviseur a ensuite démissionné, alléguant des menaces qui pèseraient sur sa sécurité. Des menaces bien entendu condamnables ».
FAUX La plainte déposée pour violences n’ayant pas entraîné d’incapacité de travail a été classée pour « infraction insuffisamment caractérisée », a précisé le parquet. Parallèlement, une enquête pour cyberharcèlement à la suite de menaces de mort sur Internet visant le proviseur en lien avec cette altercation a été ouverte.
« Le geste du chef d’établissement est d’abord celui d’un personnel de l’Éducation nationale pour qui les dispositions islamophobes de l’institution scolaire ont paru justifier la violence sur une élève. La légitimation d’une forme d’intolérance à la visibilité de l’islam, par des dispositifs légaux, n’a pas seulement pour effet d’opprimer les mulsumanEs mais aussi d’encourager la violence islamophobe. Nous affirmons notre soutien à l’élève concernée, ainsi qu’à tous les élèves mulsumanEs qui subissent l’islamophobie d’État entérinée par la loi de 2004 ».
FAUX Des « dispositions islamophobes de l’institution scolaire » çà n'existe que dans la tête de demeurés « Le proviseur avait « rappelé (le 28 février) à trois élèves leur obligation de retirer leur voile » islamique dans l’enceinte de l’établissement afin de respecter la loi y interdisant les signes religieux ostentatoires, avait indiqué le parquet lors de l’annonce de l’ouverture de l’enquête début mars. « L’une d’elles, majeure et scolarisée en BTS », avait « ignoré le proviseur, ce qui a provoqué une altercation », avait-il ajouté. Des menaces de mort à l’encontre de ce proviseur avaient ensuite été proférées sur internet. L’élève de BTS avait dit au Parisien avoir été « tapée violemment au bras » par le proviseur ». Un jeune homme de 26 ans, originaire des Hauts-de-Seine (et de l'islam, NDLR), a été arrêté et doit être jugé le 23 avril à Paris pour avoir menacé de mort le proviseur sur internet ».
L'Etat se ridiculise en annonçant porter plainte pour « dénonciation calomnieuse », ce qui est du vent dont les agresseurs mineurs et inconscients se foutent royalement. Cela rappelle ce pauvre Hollande défié par la môme Léonarda.
Autre soutien islamo-gauchiste confirmé, qui s'adresse surtout comme le NPA à des mômes de quinze ans, manipulables à souhait et totalement immature politiquement, l'inénarrable Bondy Blog. Un « blocus » s'est tenu devant le lycée en soutien à la « lycéenne frappée »
« En soutien à la lycéenne, un blocus s’est tenu devant le lycée Maurice Ravel, vendredi 1ᵉʳ mars. Sur les grilles de l’établissement, une banderole annonce : « Élève frappée, lycée bloqué ! » Les cours ont tous été annulés pour la journée. Le proviseur l’a agressée verbalement et physiquement dans la cour de l’établissement alors qu’elle s’apprêtait à sortir du lycée ». FAUX : elle rentrait. Plus croustillant, et à la hauteur de sa représentation sociale : L’étudiante conteste la version médiatique qui en ressort ! Emoi : le dirlo est arrivé tellement vite, de manière agressive : Il m’a frappée tout de suite. Je trouve ça très grave, je ne comprends pas comment un proviseur aussi violent peut encore exercer. Il n’avait pas à faire ça. »
Le compte-rendu du Bondy Blog, sous un air neutre, en rajoute : « Un de ses camarades de BTS dit s’être interposé. Il affirme avoir vu le proviseur porter « un violent coup » au niveau des épaules de la jeune fille, qu’il l’aurait ensuite secouée en lui criant dessus. « Le coup, il était parti, tout le monde l’a vu et on était tous choqués. Il était 15 heures, il y avait du monde à l’heure de la récréation. » Le jeune homme martèle : « Il l’a littéralement tapée ».Dès mercredi, sur les réseaux, il est question d’une « gifle » portée par le proviseur sur la jeune fille. Une version démentie depuis ».
Revenons aux mômeries du NPA, qui témoigne de « réactions outrées parmi les populations visées par l’islamophobie d’État « et d’atmosphère » au quotidien », « Le parallèle qui est réactivé dans les médias avec l’assassinat de Samuel Paty est intolérable car il représente une instrumentalisation de sa mort pour silencier la dénonciation de l’islamophobie ». En revanche on n'a pas beaucoup entendu trotskiens et mélanchoniens s'indigner de la décapitation, c'était le fait d'un pauvre immigré révolté...(...) Une fois encore, les musulmanEs, même victimes d’oppression, sont somméEs de se solidariser avec leurs agresseurs.
Tous les proviseurs sont des salopards avec « mission islamophobe, argument très percutant pour des mômes de 10 à 15 ans : « Depuis le début du mois de mars, l’escalade islamophobe est insoutenable : le soutien de la classe politique, du PS à l’extrême-droite, au chef d’établissement manifeste l’aggravation de la cécité islamophobe dans notre pays. La ministre de l’Éducation, Nicole Belloubet, y ajoute la mise en place de « d'une force mobile scolaire » pour « soutenir » les chefs d’établissement dans leur mission islamophobe ».
« Nous dénonçons la réaction sécuritaire et raciste du gouvernement Attal et nous nous opposons à cette transformation de l’Éducation nationale en institution idéologique dont la priorité selon le gouvernement est l’application de lois islamophobes. Nous affirmons notre soutien aux élèves discriminéEs, aux enseignantEs et personnels d’éducation qui luttent pour une société libre d’oppressions et s’opposent à la mise au pas raciste du service public ». Ces crétins font semblant aussi d'ignorer une nouveauté (sans doute liée à mitou) les filles tabassent désormais comme les garçons, et attendent le soutien du NPA14. Montreuil, le 3 avril 2024
Le PCF est moins infantile, plus prudent , n'avance pas de telles conneries mais zigzague pour éviter les foudres du curés islamophiles de LFI et du NPA, sans oublier le marais écologique en décomposition et affaires de mœurs. Rien de mieux que de se défiler et botter en touche vers les "fachos" qui sont quand même plus lucides :
« Sans surprise, les sphères de droite et d’extrême droite n’ont pas tardé à instrumentaliser l’affaire. « C’est une défaite de l’État sur la gangrène islamiste qui prospère », avance Marion Maréchal, candidate du parti zemmouriste Reconquête aux élections européennes. « La démission du proviseur de l’établissement Maurice Ravel est une victoire de l’islamisme et une défaite de la laïcité », écrit sur X (ex-Twitter) Olivier Henno, sénateur UDI du Nord. « C’est une victoire de l’islamisme et de la peur qu’il inspire », affirme Étienne Gernelle, directeur du Point. « S’il fallait un symbole de cette France qui chaque jour oubli ce qu’elle fut : le départ du proviseur du lycée Maurice-Ravel illustre l’effondrement d’un pays qui tourne le dos à son histoire, à sa culture, à ses valeurs », clame quant à lui Pascal Praud dans son édito sur CNews, développant encore une fois la rhétorique fétiche de l’extrême droite du grand remplacement ».
Libération toujours ambigu et poisseux a en partie raison :
« Les règlements de compte, les embrouilles et les rixes ont besoin d’une réelle politique publique. Marwan Mohammed disait cette phrase dans Libération : «Le discours politique visant à déresponsabiliser l’Etat ou la société en criminalisant les jeunes et en accusant les familles témoigne d’une volonté de s’extraire de l’explication sociologique et de renvoyer ça sur l’individu.» « Les médias aussi. Nous avons notre part de responsabilité. En novembre, Thomas, un gamin de 16 ans, est mort à Crépol dans la Drôme. Il a reçu un coup de couteau au thorax à la fin d’un bal. Un drame qui était sur toutes les ondes, télés et journaux. De nombreux incendiaires ont tenté de mettre face à face deux jeunesses du pays pour alimenter leur fameuse «guerre de civilisations». Des clics, des clashs et des voix à gagner sur le dos des gamins. Chaque gamin qui meurt doit être un événement en laissant de côté ses fantasmes. Personne ne doit s’y habituer ou regarder ailleurs. Comment faire pour que ça s’arrête ? Comment on raconte le pire ? Chacun à sa place doit se poser la question. Shamseddine est mort. Il avait 15 ans ».
Les juges, semble-t-il en majorité islamo-gauchistes ne voient pas cela du même œil. Pour eux, une vie humaine ne veut pas grand chose. Ils le démontrent chaque jour, avec dans ces affaires des peines clémentes aussitôt transformées en peines symboliques. Sans un net alourdissement des peines prononcées, nous ne viendrons jamais à bout de cette violence hélas entretenue par les magistrats et l’impunité garantie par leur justice.Ces jeunes devraient tous prendre 20 ans pour tentative (réussie) de meurtre avec l’intention de tuer: on ne tape pas dans la tête sans avoir l’intention de tuer. Mais encore une fois, les magistrats voient les choses autrement: ce n’est pas volontaire.. ils sont mineurs (et?).. leurs parents sont défaillants et ils n’ont pas voulu tuer juste tabasser donc cela va finir par un rappel à la loi et si vraiment le juge est très dur une peine de TIG …avec sursis.
La seule chose qu’on aura gagné dans cette agitation médiatique impulsive temporaire, et secondaire par rapport à la guerre mondiale en cours, pour solutionner immigration massive, islamofolie et instinct de meurtre infantile, c’est la cellule psy gratuite, comme si les victimes des délires islamiques c’étaient les alliés de la propagande de crimmigration et les bourreaux d'honnêtes croyants rendant justice comme Saint Louis (qui crucifiait les juifs) chaudement bénis par les inquisiteurs islamo-gauchistes qui laissent faire.
Quant aux meurtres ou tentatives de meurtre pour le "code d'honneur", même si les médias tentent d'en masquer l'origine, ils sont l'oeuvre des grands frères turcs ou algériens musulmans; on a le souvenir où des frères turcs ont été jusqu'à tuer la soeur "déviante du code familial et de la religion". Quant à la persécution et ses conséquences rien de nouveau. Cela a toujours existé même chez les enfants. Persécuter c'est vouloir tuer l'autre à petit feu voire carrément. On peut comprendre aussi des exceptions, lorsque le persécuté tue à son tour subitement et carrément. On focalise sur les derniers cas d'ados déjantés, mais chaque année un bien plus grand nombre d'adultes deviennent criminels par vengeance.
NOTES
1Le projet CRIMMIGRATION, financé par l'UE, a été lancé en 2011 pour analyser l'impact que l'accent croissant sur le contrôle de l'immigration a sur des institutions de la justice pénale comme la police, les prisons et les centres de détention. Par exemple, la priorité accordée à la sanction et à la réintégration des contrevenants est-elle remplacée progressivement par des actions de diversion, d'immobilisation et de déportation? «L'apparition de nouvelles formes de sanctions et de logiques de contrôle social peut être qualifiée de contrôle de la 'crimmigration'», explique Katja Franko, coordinatrice du projet à l'université d'Oslo, en Norvège. «Durant le projet, nous avons constaté l'importance croissante de la déportation, notamment dans certains pays comme la Norvège, et le recours de plus en plus fréquent au droit pénal pour contrôler les frontières.» Mme Franko est convaincue que de nouvelles réponses juridiques, organisationnelles et normatives sont nécessaires pour faire face à ce phénomène récent: «Il faut améliorer la sensibilisation aux aspects punitifs des mesures de contrôle de la migration, tels que la détention et la déportation, et apporter une aide juridique et de droit procédural aux populations concernées. Nous avons aussi besoin de nouveaux modes de réflexion pour déterminer qui est soumis aux droits et à la protection des pays d'Europe ».
2"Immigration and crime and the criminalization of immigration" by Anthony Robles . Cf. le site ACADEMIASan Francisco
3Soit on déplore : de solution il n'y en a pas, soit, ce qui ne mange pas de pain : c'est la faute au capitalisme, faut attendre qu'il s'écroule !
4Un courageux et dévoué ancien voyou des cités a fait l'amère expérience de l'empathie sociologique, il est dans le coma : À Villepinte, l’histoire tragique d’un éducateur qui voulait «faire rempart à tous les trafics» (lefigaro.fr)
5Quoique...pour gagner leur vie certains se joignent aux revendeurs de came La semaine dernière, des scènes de violence ont éclaté aux Moulins, sur la place principale des Amaryllis. Des tensions liées, à en croire plusieurs habitants, à la présence et à l’agressivité répétée d’étrangers en situation irrégulière. Le parquet et la préfecture avaient souligné des différends en ce sens, sur fond néanmoins de rivalités autour du trafic de drogue. Une agression sexuelle sur une infirmière - aucune plainte n’a encore été déposée en ce sens - aurait été l’élément déclencheur d’affrontements avec des armes. Cette affaire de viol en réunion, en date de février, n’aurait néanmoins pas un lien direct avec les récentes tensions ». Que du vague...« Les suspects auraient pris au piège la jeune femme au troisième étage de la résidence avant de la violer. La plainte déposée par la victime a permis aux enquêteurs de retrouver les individus. Deux mineurs de 16 et 17 ans ont fini par être interpellés par les forces de l’ordre dans ce quartier. Selon cette même source, ils seraient de nationalité tunisienne et en situation irrégulière. Une troisième personne serait encore recherchée ». Consternant la mafia nigériane: Viols, proxénétisme, rites vaudous... Un gang nigérian ultraviolent implanté à Marseille devant la justice (lefigaro.fr)
Et aussi le massacre de cet autre adolescent, lié au régime de surveillance des soeurs par les "frères": Viry-Châtillon : quatre personnes mises en examen pour assassinat après la mort de Shamseddine, passé à tabac (lefigaro.fr) Cela fait beaucoup en un court laps de temps! Accélération? Routine inacceptable où filles et adolescents de toute origine sont les constantes victimes, à Marseille et partout ailleurs !
6Ils sont concernés grâce à l'Etat qui saupoudre en particuliers de familles noires le territoire, de la même manière que la municipalité « social-bobo » de Paris refoule en province les migrants trop nombreux à Paris et qui font tâche pour es JO. Si cette déportation démocratique servait à faire disparaître le racisme on le saurait.
7Ce canal c'est l'islam. La plupart des migrants du sud arrivent islamisés avec parfois leur imam. Dans les années 1960 les immigrés ouvriers portugais montaient en France avec leur curé, mais l'aliénation religieuse n'avait pas le même poids et leur croyance pouvait se dissoudre dans la lutte des classes.
8«Ma fille est pratiquante et pieuse» : la mère de Samara dénonce l'instrumentalisation de l'agression de sa fille par l'extrême droite
9Une professeure, agrégée de français qui faisait défiler des diapositives, entendit sa classe de seconde hurler au scandale du fait de la présence du baiser à l'hôtel de ville de Doineau ! Dans une autre classe la présentation de toiles du 18ème siècle avec lupanar de grosses mémères qui inspiraient curieusement les peintres d'époque entraîna une plainte des parents musulmans pour lubricité. Les deux profs ne furent pas égorgées. L'expansion de l'islam est devenu un danger pour l'intégrité de la classe ouvrière; en Angleterre Une large majorité des sondés (63%) souhaite aussi l’implantation de salles de prières dans les lieux non-religieux, comme dans les entreprises ou les écoles.
1035% des immigrés en France (personnes nées étrangères à l’étranger) vivent en effet dans un logement social contre 11% des Français non-immigrés, souligne le rapport d'un ancien préfet, ce chiffre s’explique notamment par les critères actuels qui favorisent la réception d’un dossier. «L’algorithme [...] tend à privilégier une catégorie particulière de la population - comme les familles monoparentales avec de nombreux enfants - assez éloignée de la famille française traditionnelle». Aggravé par la logique des «grands ensembles» et de concentration dans certains quartiers, ce trust des logements sociaux par les populations immigrées conduit à un phénomène d’«appropriation communautaire». L’ancien inspecteur de l’administration alerte en conséquence sur «une sorte d'autonomie d'ensembles urbains qui comptent parfois plus de 10.000 habitants et qui finissent par échapper à la règle commune»
11«Samara, jeune fille émancipée, rattrapée par la loi du quartier» (lefigaro.fr) Grand Est : une adolescente agressée par quatre mineurs pour non-respect du ramadan (lefigaro.fr) Bordeaux : l’assaillant au couteau aurait traité ses victimes de «mécréants» avant de les poignarder (lefigaro.fr) Samuel Mayol: «Ce qui est arrivé à Samara peut arriver dans nos universités» (lefigaro.fr)
12Page 177 de mon histoire du trotskisme en France : Les trotskiens (1968-2002) Les éditions du pavé 2002
13Contestation de l'étude de la civilisation moderne
14Quatre jeunes filles seront jugées « pour vol avec violences en réunion », après l’agression filmée, mercredi, d’une adolescente de 14 ans à la « suite [d’]un guet-apens » à Tours, a annoncé, vendredi 5 avril, la procureure de la République dans un communiqué diffusé sur X.