"La suppression de la propriété privée... suppose, enfin, un processus universel d’appropriation qui repose nécessairement sur l’union universelle du prolétariat : elle suppose « une union obligatoirement universelle à son tour, de par le caractère du prolétariat lui-même » et une « révolution qui (...) développera le caractère universel du prolétariat ».
Marx (L'idéologie allemande)

«Devant le déchaînement du mal, les hommes, ne sachant que devenir,
cessèrent de respecter la loi divine ou humaine. »

Thucydide

mardi 2 septembre 2025

10 SEPTEMBRE : QUI MANIPULE QUOI ?

 


LES AGENTS DE L'ETRANGER : FOUTRE LE BORDEL OU LE FAVORISER ?

OU QUAND LES COMPLOTISTES NE SONT PAS CEUX QU'ON CROIT



Un récent rapport officiel sonne l'alarme :

« La vitesse de propagation (de la propagande étrangère) s'est considérablement accrue. Il a fallu quasiment quatre ans au KGB pour diffuser globalement la rumeur selon laquelle le virus du sida était une création du Pentagone (la fausse nouvelle est plantée dans un journal indien en 1983 mais n'atteint la presse soviétique qu'en 1985 puis les médias occidentaux en 1987). Aujourd'hui les réseaux sociaux réduisent ce temps à quelques minutes ou quelques heures comme le montrent l'exemple des « Macron Leaks » . Il faut le déplorer : internet n'a pas de frontières et donc des puissances étrangères peuvent donc y infiltrer facilement des communautés et y répandre de fausses nouvelles ».

En parcourant cet ouvrage de plus de 200 pages on apprend que le monde entier est manipulé désormais plus subtilement que la grossière propagande de 1914 surtout par les réseaux sociaux et de nous égrener des banalités connues de tous : fake news, darknet, usines à Troll, wokisme sur passé colonial français, désinformation par les images , détournement et simplification, informations biaisées au niveau stratégique et géopolitique, haine des élites (surtout militaires), métissage culturel, crise de la communication politique, individu égocentré ou infosaturation. L'exemple le plus emblématique d'espionnage falsificateur dénoncé est « Macron lEAKS » avec coup de chapeau au patron du projet (voir plus bas).

On est mis en garde en premier lieu sur les manipulations terroristes effrayantes :

« le Geneva Centre for Security Police estimait que la campagne de Daech sur les médias sociaux lui avait permis d'attirer plus de 18.000 soldats étrangers, venus de plus de 90 pays. La propagande mise en place par Daech est multidimensionnelle, multisectorielle et ciblée. Elle est multidimensionnelle tout d'abord car elle s'appuie sur une vision du monde manichéenne simple et complotiste visant à expliquer l'ensemble de la vie sociale. Les contenus médiatiques comprennent ainsi des cours d'histoire (réécrivant les accords Sykes-Picot, la colonisation, l'intervention en Irak en 2003) ».

Ce rapport se veut très cultivé allant jusqu'à citer le célèbre Karl Popper qui naguère aurait si bien décrit le complotisme :

« Il existe une thèse que j'appellerai la thèse du complot, selon laquelle il suffirait, pour expliquer un phénomène social, de découvrir ceux qui ont intérêt à ce qu'il se produise. Elle part de l'idée que tout ce qui se passe dans une société, guerre, chômage, pénurie, pauvreté , etc., résulte directement des desseins d'individus ou de groupes puissants ».

Passons sur le constat que Popper était un anti-marxiste patenté, le rapport insiste lourdement sur le fait incontestable que les thèses conspirationnistes se nourrissent notamment des crises et des événements violents ». Cette dernière réflexion semble soudain plus intelligente que ce qui précède mais nos oreilles commencent à siffler lorsque le rapport commence à évoquer comme emblématiques les »Macron Leaks ».

Aussi quand suit l'info suivante :

« Par exemple, le 4 février 2017, un article de Sputnik présentait Macron comme un « agent des États-Unis » soutenu par « un lobby homosexuel très fortuné». Le Kremlin n’était pas cependant le seul joueur. D’autres attaques ont ainsi émané de la « légion étrangère » de trolls américains d’extrême droite de Marine Le Pen. Le dernier élément, et non des moindres, en a été la rumeur #MacronGate. Deux heures seulement avant le dernier débat télévisé entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, soit le mercredi 3 mai 2017 à 19 heures, un internaute utilisant une adresse IP lettone a posté, sur le forum américain 4Chan, deux documents truqués suggérant que Macron détiendrait un compte offshore. In fine, la fuite n’a pas eu d’influence significative sur les électeurs français, en dépit des nombreux efforts des acteurs précédemment mention né. Pourquoi ? Le succès français résulte d’une combinaison de facteurs structurels, d’une dose de chance, et d’une bonne anticipation et réaction par l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron, le gouvernement et la société civile, en particulier les médias traditionnels ». Ouf, et vive l'équipe macronesque !

Ensuite, réjouissons-nous :

« Ensuite, l’environnement médiatique français est plutôt robuste : il y a une forte tradition de journalisme sérieux (sic) La population consulte principalement les sources d’information conventionnelles, et les médias du type tabloïds et autres sites alternatifs sont beaucoup moins populaires qu’ils peuvent l’être aux États-Unis ou au Royaume-Uni. Enfin, et sans tomber dans les caricatures nationales, le « cartésianisme » joue également un rôle : la rationalité, la pensée critique, et un certain scepticisme sain font partie de l’ADN français et sont encouragés, dès l’école primaire et durant toute la vie professionnelle (merci à notre éduque naze!).

Merci aussi aux régimes parlementeurs occidentaux :

« Les États-Unis et le Royaume-Uni ont entamé des enquêtes parlementaires particulièrement approfondies pour établir les responsabilités dans les ingérences dont ils ont été victimes. Le caractère public de ces enquêtes, très suivies par les médias, permet de sensibiliser la population, de l’informer de manière très précise (les connaissances accumulées sont impressionnantes) et sans doute d’avoir un effet dissuasif ».

L'Europe sait aussi se défendre contre les conspirations étrangères :

« Les conclusions du Conseil européen des 19-20 mars 2015 soulignaient ainsi « la nécessité de contrer les campagnes de désinformation menées par la Russie » et invitaient la haute représentante à élaborer un plan d’action sur la communication stratégique » (…) les journalistes étaient en première ligne (sic ! Termes militaires) contre les manipulations de l'information et la vérification des faits ».

La lutte contre les contenus terroristes relève naturellement de la censure de guerre ainsi que la personnalisation des  attaques:

« Il convient bien évidemment de distinguer ce qui relève de la lutte contre les contenus terroristes de la lutte contre les manipulations de l’information. Si, dans le cas de la lutte contre le terrorisme, le principe de liberté d’expression ne prime pas sur l’impératif de sécurité, les termes du débat sont moins clairs pour les manipulations de l’information ».

« La personnalisation des attaques n’est pas nouvelle, en témoigne l’utilisation par les services soviétiques puis russes de la méthode du kompromat, c’est-à-dire la compromission d’une cible qui est ainsi tenue et manipulée. Dans le domaine informationnel qui nous intéresse ici, cette tendance pourrait, dans les années à venir, prendre les formes suivantes. Des attaques personnalisées pourraient viser des militaires en opération, comme c’est déjà le cas en Ukraine : la version moderne du largage aérien de tracts est l’envoi de messages textuels par téléphone (SMS). Les sol dats ukrainiens reçoivent déjà des messages qui visent à altérer leur moral ou leur cohésion, leur signifiant par exemple qu’ils sont « encerclés et abandonnés ». Puis, quelques minutes plus tard, ce sont leurs familles qui reçoivent un message leur annonçant la mort de leur fils, leur frère ou leur père, tué par l’ennemi – ce qui suscite généralement des appels des familles vers les soldats, et permet par la concentration de signaux de détecter leur localisation pour ensuite les bombarder3 – faisant des SMS envoyés une sorte de prophétie autoréalisatrice ».

Vous l'avez compris le rapport ci-dessus a été commandité par le principal va-t-en guerre européen, le général Macron, au bien nommé Ministère des armées, connu pour son indépendance intellectuelle et son internationalisme. En toute neutralité, le plumitif de la propagande macronesque ne fait que cibler prioritairement la Russie.1

Cette campagne de déstabilisation venue de l’étranger qui se cache (aussi) derrière le mouvement du 10 septembre

Un site secondaire et brouillon, Atlantico, s'est inquiété pour la journée du 10 septembre, présentée comme un appel citoyen contre l’austérité, s'interrogeant déjà par son origine et sa nature. « Des acteurs politiques ne cherchent-ils pas à la récupérer, tandis que « certains experts » évoquent la possibilité d’influences extérieures, notamment russes, profitant d’un climat social tendu pour amplifier les colères ».

Le site de TF1, société à très hauts salaires aussi indépendante de l'Etat que l'armée, sonne aussi l'alarme :


Quand la Russie s’invite dans le débat français

« Selon l’enquête de TF1-LCI, très rapidement après l’apparition des premiers messages, des comptes suspects ont commencé à propulser l’appel vers un public plus large. Pas des comptes anonymes classiques, mais des profils typiques des campagnes d’influence pro-russes : Images de profils floues, historiques incohérents, diffusion massive de contenus politiques, relayés à des heures étranges. Ces comptes ont repris le slogan « Bloquons tout » .

Né sur les réseaux sociaux, le mouvement "Bloquons tout" a une origine nébuleuse.

    • Toutefois, selon les informations de TF1-LCI, ces appels à la mobilisation ont été très vite relayés et mis en avant par des réseaux russes.

    • En l'amplifiant, Moscou chercherait ainsi à déstabiliser la France.

Suivez la couverture complète

« Vladimir Poutine essaie-t-il de semer le chaos en France ? Selon les informations du service police-justice de TF1-LCI, des réseaux russes ont largement relayé les appels à la manifestation du mouvement "Bloquons tout". Ils ne seraient cependant pas à l'origine du mouvement. Celle-ci est nébuleuse. Le rendez-vous aurait été lancé sur les réseaux sociaux, par des mouvements plutôt d'extrême droite. Le compte TikTok "Les essentiels", connu pour être un relais de contenus complotistes, aurait été le premier à publier l'appel. C'est dans un second temps que Moscou se serait emparé du sujet pour le faire grossir et prospérer. De faux comptes liés à l'écosystème pro-russe l'auraient ainsi largement et rapidement relayé. "

"Si la France n'est pas directement en guerre vis-à-vis de la Fédération de Russie, nous sommes quand même en guerre informationnelle", rappelle Arthur Kenigsberg, fondateur d’Euro Creative et spécialiste de l’Europe centrale. Selon lui, les sondages et le propos des propagandistes qui le relaient sont destinés à "pénétrer dans nos débats publics" européens et "polariser les opinions publiques à la fois sur ce qu'il faut faire face à la Russie et ce qu'il faut faire en aide à l'Ukraine".2 


UNE AUTRE REUNION TRES PARTICULIERE LE 10 SEPTEMBRE

Un conseil de défense a été programmé le 10 septembre pour faire le point sur la stratégie française en matière de lutte contre les manipulations de l'information et les tentatives de déstabilisation venues de l'étranger. [...]

Le mouvement de colère du 10 septembre, présenté comme une émanation purement populaire, serait en réalité une manipulation russe de plus. Nos brillants experts militaires des plateaux TV l'affirment : l'origine est "signée" et "décelée" par les structures dédiées.3

Or, comme l'écrit celui-ci : « La recette est désormais connue : on sort un « expert » comme Michel Goya (ancien conseiller de Macron) pour agiter le spectre de la désinformation moscovite d’un air suffisant qui en dit long sur le mépris des élites pour le bon sens populaire. Aucune preuve, bien sûr, mais le doute est insidieusement semé : et si les Français étaient trop idiots pour penser par eux-mêmes ? Cette fable usée jusqu’à la corde permet surtout d’éviter soigneusement le débat de fond sur les raisons d’une colère si profonde qu’il faut immédiatement la disqualifier en l’attribuant à l’étranger »4.

Un classique rappellerait presque « le wagon plombé » contenant Lénine et ses camarades juifs que l'Etat allemand avait laisser transiter à travers l'Allemagne pour foutre le bordel en Russie, erreur cependant funeste puisqu'ayant contribué à la révolution mondiale. Ibid mai 68, commencé comme une émeute petite bourgeoise emmenée par pas mal de petits chefs étudiants juifs (futurs ministrables)5 à cause d'une violence policière désordonnée, mais qui finit par affirmer unev renaissance du prolétariat.

S'agit-il de cette bonne vieille opposition guerre ou révolution ?

Le général Macron se préparerait-il à une guerre civile plutôt qu'à son noble projet d'envoyer notre jeune chair à canon défendre l'Europe capitaliste contre les chars et les drones russes ?

Au cœur de la démarche, une volonté affichée de faire collectif  (ce que déteste le RN): créer des caisses de grève, organiser des assemblées de quartiers, soutenir ceux qui s'engagent dans des actions de désobéissance civile. Le mot d'ordre : "Boycotter, désobéir, oui - mais pas chacun dans son coin". Car selon certains de ses initiateurs interclassistes et populistes, "le mouvement ne tiendra que si on se soutient les uns les autres, concrètement, jour après jour." 

La comparaison avec les péquenots gilets jaunes de 2018 contraste pourtant : aucun souci pour la bagnole, aucun symbole fédérateur de classe ni revendications claires susceptibles d'unifier les colères. L'initiative reste encore cantonnée à la sphère numérique sans une force d'encadrement syndicale crédible et en tout cas dubitative au point de programmer tout de même par après une série de grèves ultra-corporatives pour éviter toute attaque contre l'Elysée 6.

On exagère une peur étatique en vue de ce 10 septembre anarchique. Snowden a révélé que les Etats n'avaient pas perdu la main avec la « révolution informatique».

Bien que se joignant aux choeurs des pompiers macronistes, Le Figaro, si attaché à défendre le criminel de guerre Netanyahou fournit d'intéressantes infos sur des connards qui veulent tout bloquer sans savoir où ça mène. Exemple l'assemblée de la Villette :

« Yen a marre ! Marre de quoi ? Des «fascistes» d’abord, mais aussi de «la guerre, lutte entre puissants», et puis des «mères solitaires, qui galèrent seules», de «l’écologie jamais prise en compte», sans oublier «Bruno Retailleau ».

LES ESSENTIELS DE LA PETITE BOURGEOISIE


Etre essentiel c'est être cadre, qu'on oit de gauche ou de droite. Les auteurs de ce magma de doléances, qui convoquent des revendications classées à la gauche radicale, se rencontrent ce soir pour la première fois. Mais ils échangent quotidiennement depuis des semaines des canaux de discussion virtuelles, dont l’objet, lapidaire, se résume à 
«Tout bloquer le 10 septembre» .

Mais bloquer quoi et pourquoi ? Qui sont ces Français sur les réseaux sociaux qui se préparent désormais à participer au 10 septembre ? Plutôt jeunes, diplômés, militants antifas et partisans de la violence : le profil sociologique du mouvement, soutenu par 64% des Français, tire la barre très à gauche, à l’antipode de ses origines plutôt marquées à droite, souligne une étude de la Fondation Jean Jaurès publiée ce lundi matin que le Figaro s’est procurée.


Le premier appel du 10 septembre semble effectivement avoir été lancé en mai par le groupe «Les Essentiels», classé à droite et souverainiste, sans qu’il ne soit beaucoup relayé. Il a été aussitôt relayé et amplifié par les cadres « essentiels » du gauchisme et du gauchisme syndical.

 Sur les quelque 1000 électeurs petits bourgeois interrogées, près de 69% déclarent ainsi avoir voté pour Jean-Luc Mélenchon au premier tour de la présidentielle de 2022. Et au total, plus de 80% semblent provenir de la gauche radicale.

Listes des revendications potentielles du mouvement du 10 septembre “Indignons-nous”», partagé sur le canal «Indignons-Nous - GENERAL» et ouvert aux contributions de ses 12.000 membres, pleuvent des doléances de type «expropriation des moyens de productions»«Dessaisir les politiques des choix d’attribution budgétaires et les remplacer par des comités citoyens»«abrogation des lois d’exception pour éviter la répression politique»...

Il faut désarmer la police municipale et exiger une formation aux questions antiracistes. «On est bien d’accord que vu que c’est la gauche qui a récupéré le truc, on dégage tous les racistes et les fachos républicains de notre mouvement ? Ils n’ont pas leur place ici !», s’est-il époumoné. En réponse, l’auditoire a entonné l’Internationale communiste. 

Sur les canaux Telegram, les internautes parlent pêle-mêle de «tout péter», de «marcher sur l’Élysée», bloquer les «lieux de pouvoir», les «portes de Paris», les banques, les rédactions de presse... 44% des participants interrogés par l’étude estiment qu’il est «normal que certaines personnes usent de la violence pour défendre leurs intérêts», soit deux fois plus que dans l’ensemble de la population. Le 10 septembre n’exclut pas la radicalité, sans qu’on ne sache vraiment quelle forme elle prendra.

Le moindre écart est surveillé, certains internautes alertent des risques de surveillance. «On m’a dit que la DGSI était sur le groupe, t’en fais partie ?», invective un membre du canal Telegram à un autre qui demande si des réunions «en vrai» ont déjà eu lieu. Le malheureux sera immédiatement supprimé du groupe.

Une rupture nette avec le mouvement des Gilets jaunes auquel il s’apparentait souvent à ses origines. Là où ces derniers avaient mobilisé de nombreux primo manifestants et citoyens plutôt précaires, éloignés de la classe politique, aux convictions très hétérogènes, «Bloquons Tout» recrute parmi les jeunes (beaucoup de 25-34 ans), surdiplômés et très politisés, compare l’étude. Et parmi eux, seuls 27% ont été eux-mêmes membre de la contestation populaire de 2019.

Ce qui en décourage plus d’un. «Ça devient n’importe quoi, personne ne sait où on va», souffle «Gil42», l’un des seuls membres du canal Telegram à avoir accepté de nous répondre. Il regrette le tournant qu’a pris le mouvement. «Moi j’étais gilet jaune en 2019. J’ai voulu participer parce que je ne voulais pas du budget de Bayrou. Mais les luttes anticapitalistes, antifascistes, féministes, écologiques, anticolonialistes, ça me parle moins. Je n’étais pas là pour ça.»


Conclusion, quelle que soit la tournure de cette jacquerie programmée, il y a une grande malchance qu'elle tourne à l'émeute de bobos floués par la crise, sans être suivie (heureusement) par la classe ouvrière, encore déboussolée, certes en colère contre les attaques du clown Bayrou, mais pas prête à suivre le carnaval insurrectionnaliste des champions (étudiants-nian-nian et syndicrates) des classes moyennes flouées par un système en déshérence et...populistes.


Incontestable enfin que Russie, USA et Chine sont ravis du bordel made in France et de tout ce qui peut affaiblir l'Europe, comme le petit Plenel et sa merde Médiapart payé par le camarilla algérienne pour ressortir les viols de l'armée française en période colonialiste, au moment où ces généraux gangsters refusent de récupérer leurs tarés et détiennent cruellement Boualem comme otage, en oubliant que Jeanne d'Arc a été cramée sous parapluie britannique. Mais ceci est une fake new !





NOTES


1LES MANIPULATIONS DE L'INFORMATION : Un défi pour nos démocraties

Lancement du rapport conjoint CAPS / IRSEM « LES MANIPULATIONS DE L'INFORMATION Un défi pour nos démocraties »

Lire aussi : Déstabilisation d’une démocratie : guide pratique à l’usage des tyrans – Charlie Hebdo

2Toute l'info de TF1 et LCI dans une seule application 

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La CIA semble aussi être de la partie :

« Très vite, l'appel a essaimé sur les réseaux sociaux, en particulier sur X - la plateforme d'Elon Musk où le collectif a ouvert le compte Bloquons Tout ! -, mais aussi TikTok et Facebook : des visuels circulent, des hashtags (#10septembre2025, #10septembre) gagnent en popularité, et l'idée d'un blocage national commence à faire son chemin. 

4« Certains observateurs et médias français affirment que le groupe est lié à des milieux d'extrême droite et conspirationnistes. Une visite sur la chaîne TikTok des Essentiels révèle que le collectif soutient la sortie de la France de l'Union européenne et s'oppose au soutien militaire de l'Ukraine, avec une vidéo relayant une déclaration du vice-président de la Douma d'État russe, qui affirme que l'implication française pourrait entraîner le pays dans une "troisième guerre mondiale ».

5cf. Les juifs d'extrême gauche en mai 68 de Yaïr Auron (Albin Michel 1998)

6Pour Thomas Vacheron, secrétaire confédéral CGT, interrogé par L'Humanité, "le seul endroit pertinent pour bloquer le pays, c'est l'entreprise, là où se créent les richesses. Et il ne peut y avoir de grève sans syndicat".