Ce
serait une erreur de rester le nez collé sur le mouvement des gilets
jaunes pour se poser la question « ont-ils obtenu assez ou pas
assez ? » comme si ce mouvement avait été le centre du
monde et comme si sa satisfaction ou relative insatisfaction faisait
dépendre l'avenir de la gouvernance en France, voire ne restait
qu'un intermède avant de reprendre le « cours naturel des
choses ». Les divers atermoiments puis reculades mineures du
pouvoir lors des six actes passés n'ont en rien ébranlé la
nécessité pour l'Etat bourgeois de continuer ou plutôt reprendre
ses « réformes », c'est à dire ses attaques planifiées
contre la classe ouvrière, en particulier la reprise et continuation
du sabotage des retraites. Ce n'est pas le « Macron démission »
de la mouvance Gilets Jaunes qui pourrait faire baisser casaque à
l'appareil d'Etat poussé au cul par la crise, l'Europe et le
grand-père capitalisme. L'hystérie des journalistes appointés pour
soutenir les exactions de la police se justifie pour la défense de
leurs hauts salaires mais aussi pour faire comprendre que l'Etat ne
rigole pas. Paradoxalement c'est la fermeture de grosses boites qui
peut servir à l'Etat à faire monter au créneau ses meilleures
forces de défense in extremis de l'ordre social.
Le
mouvement des gilets jaunes comme tel n'a aucun avenir, de plus drivé
par d'ignares pétitionnaires. Sa seule porte de sortie n'est pas
dans une continuelle occupation absurde des ronds points ou d'autres
courses poursuites dans Paris avec la police, c'est de servir de
brasier et de point de repère pour un réel début de confrontation
de classe à l'Etat qui est obligé de revenir au galop avce les
mêmes attaques/réformes. Freiner ce retour en force n'est plus dans
les moyens du mouvement gilets jaunes, trop hétéroclite, même si
de nombreux bobos se sont mis à retardement à enfiler ce vêtement
hideux pour automobiliste accidenté.
En
se focalisant désormais vers un secteur industriel menacé par un
grand nombre de licenciements, le gouvernement tend habilement la
parole aux syndicats, tant honnis par les gilets jaunes et avec
raison, car les ouvriers des petites entreprises en ont marre depuis
40 ans des avantages maintenus par ces aristocraties ouvrières des
grandes villes, garantes de la paix sociale et de la vie en CDD pour
les millions dans la multitude des petites boites de peu tendres
entrepreneurs. Ces aristocraties ouvrières, comme les cheminots,
prétendues forteresses comme jadis Renault, se sont si bien fait
démanteler au début du règne macronien avec l'aide de la
pourriture syndicale, qu'elles ne peuvent guère prétendre à
l'exemplarité. Sur ce plan le mouvement des gilets jaunes a mille
fois plus apporté en leçons politiques et sociales aux classes
exploitées que la grève en charentaises syndicales dite « perlée ».
Notre
étonnement n'est par conséquent qu'un demi-étonnement, lorsque ce
matin, sur LCI, la petite sœur de TF1, nous apercevons le, tenez
vous bien, « délégué syndical central CGT du groupe PSA ».
Non pas un auguste membre du résidu PCF ou moustache du barnum CGT,
mais un petit personnage membre du comité central de la secte Lutte
Ouvrière, le ci-devant Jean-Pierre Mercier. Enfin un gauchiste au premier plan après tant de gilets
jaunes dérangeants ! Le bonhomme a du verbe et dénonce les
attaques à venir sur les retraites, peut-être pas avec brio mais
pour que sa secte répercute sur ses propres chaînes un tel
défenseur des opprimés salariés prochainement licenciés.
L'émission ne dura point longtemps mais nous mit puce à l'oreille,
quand un certain Tafik ou Trafik, spé en communication, nous fit
rire aux éclats : « Les français sont prêts à accepter
les réformes, à condition qu'on leur explique ». Voyez
ahahaha les bourgeois ne changeront jamais ! Ils sont
pédagogiques ad eternam !
POURQUOI
LUTTE OUVRIERE, ce vieux caméléon syndicaliste, a laissé tomber
LES GILETS JAUNES ?
La
secte bobo parisienne du NPA, d'un mépris initial en était venue à
amalgamer ce monde étrange en jaune, pour « fédérer les colères » dans son
cocktail guévariste ringard de luttes de la petite bourgeoisie ,
incluant en arrière train la protestation contre les taxes. Au
contraire, LO plus prudent, avec son traditionnel fond de commerce
populiste version « petites gens », avait pris en compte
la protestation avec prudence mais sans mépris. Attendant son heure.
Pendule arrière toute.
Son
heure la voici : « Voilà pourquoi nous ne sommes pas (plus?) des
gilets jaunes ». De mouvement de colère légitime, voici
décrite une protestation « très limitée numériquement »
qui n'a dans l'ensemble fait « entendre que des coups de
klaxon », qui a été la belle courtisée par tant de partis
politiciens qu'on craignit longtemps pour sa vertu. La belle a sans
doute découché d'ailleurs certains soirs avec des phallocrates
fachos, sans compter que de petits minus en gilets jaunes ont
dénoncé, une fois dans un bled du Nord, des migrants à la police.
Le drapeau tricolore était aussi celui du cloaque des anciens
restaurateurs du PCF disparu des radars car il ne faut pas tout
mettre non plus sur la pauvre tête de l'ultra droite. Si vous avez
lu Christophe Guilluy vous verrez tout de suite le mépris trotskien
pour cette vague de fond venue de « nos campagnes » où
le « travailleur salarié » est un con inféodé à son
patron, plutôt blanc en général et raciste en particulier, en gros
la vision du bobo parisien qu'il soit macronien ou trotskiste :
« La
plupart des gilets jaunes qui sont des travailleurs salariés ne se
voient pas du tout se battre contre leur patron. Nombre d’entre eux
estiment que leurs intérêts vont de pair et que le combat est à
mener, non pas contre le grand capital, mais contre Macron et l’État.
De fait, ils sont très éloignés des idées de lutte de classe,
voire les rejettent… ».
Cela
c'est ce qu'imaginent les rédacteurs enseignants du comité central
de LO. Ils auraient pu nous expliquer pourquoi les Poutou et Mercier
sont assis aux mêmes tables que le ministre Lemaire « estimant
que leurs intérêts (français) vont de pair et que le combat est à
mener, non pas contre la bourgeoisie française, mais contre
Trump... ».
Chasser
le naturel stalinien et il revient au galop celui-la aussi : «
Nous visons à séparer les dynamiques de classe représentées
d’un côté par les travailleurs exploités, et de l’autre par
les petits patrons ». Cette séparation était jadis
typique de l'ouvriérisme staliniste avec le grand exemple
« soviétique » où les petits patrons avaient été
liquidés ou envoyés dans les goulags. L'idée d'une classe ouvrière
pure est d'ailleurs une vieille lubie stalinienne. Les classes
sociales ne sont jamais étanches. Pourquoi nous, ouvriers et
employés, rejetterions-nous les petits artisans floués des réformes
révolutionnaires « écologiques » comme nous, pourquoi
leur dirions-nous : dégagez vous puez ! C'est avec ce même
argument que les futurs amis des nazis refusaient de laisser la
parole à Rosa Luxemburg et à Liebknecht parce qu'ils étaient des
« intellectuels », c'est avec ces mêmes arguments
« puristes » que la CGT tenta systématiquement
d'empêcher les étudiants de remettre de leurs mains fragiles aux
ouvriers encasernés le drapeau de la révolution. Les syndicalistes
débiles n'ont jamais rien compris aux premiers soviets en 1905 et en
1917, ni en Allemagne où ce furent souvent non pas des Conseils
ouvriers mais des Conseils de soldats. Bien évidemment les nombreux
petits entrepreneurs présents parmi les gilets jaunes ne se voient
pas « tomber dans le prolétariat » et restent bien
représentés par la petite Priscilla avec sa croyance en une
discussion possible avec l'Etat vorace. Mais nous les acceptons dans
notre combat général pour renverser le capitalisme et nous ne
posons pas aux « pédagogues » comme les godillots à
Macron.
Le
trotskien stalinien revient encore au galop en disant qu'il ne se
salit pas les mains avec ce mouvement, car, tel le grand Lénine
restauré et empaillé, il est toujours question d'apporter de
l'extérieur (le monde des petits profs de LO, souvent retraités)
la conscience (« essayer de faire progresser leur conscience
politique ») « au monde du travail de ces villes
moyennes » ; Guilluy doit être content, les bobos du
culte des forteresses ouvrières parisiennes s'intéressent désormais
aux ploucs racistes des « villes moyennes » !
Et
surtout par une opération mathématique que n'aurait point admise
Einstein mais certainement Antoine la magicien fumiste : « Toute
notre politique consiste à faire en sorte que le centre de gravité
de la combativité se déplace et que le prolétariat en devienne le
centre ». Essayons de traduire, j'essaie, « la
combativité », c'est à dire ce jus jaune, qui, tel le lait
renversé, irait abreuver un prolétariat devenant du coup la
principale vache à lait « combative » ! Ouf.
Nos chefs trotskistes retraités et masqués savent varier modestie et affabulations :
Nos chefs trotskistes retraités et masqués savent varier modestie et affabulations :
« Mais
dans l’état actuel des choses où le gros du prolétariat ne se
sent pas vraiment impliqué, nous n’avons ni la taille ni le crédit
pour influer dans ce sens. Mais notre priorité reste le
prolétariat concentré dans les grandes entreprises. Ces ouvriers
sont attirés par les gilets jaunes, à l’exception peut-être des
travailleurs immigrés, qui ont le sentiment de ne pas avoir leur
place dans un mouvement majoritairement blanc, et dont ils craignent
qu’il soit en partie raciste. On connaît dans bien des
entreprises des ouvriers qui, après le boulot, foncent sur tel ou
tel barrage, ne serait-ce que pour y passer un peu de temps. Autant
ils se posent le problème de participer aux gilets jaunes, autant
mener la bagarre dans leur entreprise, contre leur patron, leur
semble encore impossible ».
Ces
vieux filous de LO savent dire une chose et son contraire dans la
même phrase presque comme un pédagogue macronien. La glue jaune
attire quand même les travailleurs en général, sinon les sondages
mentiraient grossièrement, mais... mais... pas vraiment les
« travailleurs immigrés » ces potes des bobos des
grandes villes antiracistes et antifas de salon. Pourtant on a vu de
plus en plus de travailleurs ou petits entrepreneurs d'origine
immigrée venir se faire porte parole au demeurant très brillants de
la révolte en jaune ! Comme quoi l'on retrouve le curé trotskiste
antiraciste au même niveau que son confrère neuneu du NPA, limite
décolonialiste... pointant « un mouvement majoritairement
blanc ». On évite aussi d'expliquer pourquoi tant de
travailleurs « après le boulot fonçaient aux barrages »
surtout que « mener la bagarre dans l'entreprise...semble
impossible » ; si tant d'ouvriers se jetaient sur les
barrages c'est bien parce que les trotskistes de toutes les sectes ne
cessent de ridiculiser et tuer dans l'oeuf toute lutte de classe
sérieuse dans l'entreprise !
LO,
comme le lui répond Robert Paris, est bien plus soucieuse des
élections syndicales que de ces quelques discussions de militants
envoyés en estafettes sur les barrages, discussions faiblardes
« avec un milieu qui n'est pas politisé d'ordinaire ».
Le plus important, ce pour quoi LO passe à la TV et serre les mains
des ministres est ainsi résumé : « Il y a un tas de
choses à faire sur le terrain syndical et nous ne pouvons y
échapper.». Est-il utile de reproduire ici le traditionnel discours
faux-cul du trotskisme pour justifier sa bagarre pour glaner des
postes de permanents syndicaux :
« Que
l’on soit bien d’accord. Il ne s’agit absolument pas pour nous
de demander aux confédérations syndicales de prendre la tête de ce
mouvement. Nous sommes pour que les grévistes s’organisent
eux-mêmes et dirigent eux-mêmes leurs grèves. Et ce n’est pas
contradictoire avec le fait que nos camarades d’entreprise,
militants ou responsables syndicaux, se bagarrent contre l’attitude
timorée des confédérations, en discutent et prennent des
initiatives en tant que militants de la lutte de classe… ».
Bagerre « contre l'attitude timorée des fédérations »,
on l'a vue cette bagarre à la SNCF et sur les retaites, les ballons
de LO voisinaient avec ceux de la CGT, et les militants de LO
baisaient les mains des pires traîtres de la classe ouvrière. C'est
assez bien résumé par Robert Paris :
« Conclusion
: Lutte Ouvrière va faire de… la politique, c’est-à-dire se
mobiliser pour les élections bourgeoises en plein mouvement social
et insurrectionnel de masse qu’elle affirme ne pas intégrer sous
prétexte qu’il ne serait pas pur et contiendrait aussi des patrons
ou qu’une partie des travailleurs n’y adhère pas encore !!!Tout
en affirmant que l’essentiel serait que les gros bataillons de la
classe ouvrière entrent en lutte, ils ne les y appellent absolument
pas en restant eux-mêmes en dehors du combat !!! On remarquera que,
si ces opportunistes se prémunissent d’un développement du
mouvement dans les entreprises en disant tout et son contraire,
jamais, au grand jamais, la perspective révolutionnaire de classe,
celle consistant à former des comités de travailleurs n’est même
évoquée par l’organisation Lutte Ouvrière !!! Drôles de
révolutionnaires qui se placent en dehors de la révolution sociale
dès ses premiers balbutiements !!! ».
LO
a ses flics déguisés pour s'introduire tant chez les gilets jaunes
que dans les cercles où une pensée libre s'exprime. Alors, sur
facebook il en surgi un nommé GrdC, disons Grand con. IL vient
prendre Robert Paris par l'épaule. Il vient faire acte de copulation
fraternelle avec un raisonnement très pervers narcissique qui vise à
déstabiliser l'autre à la culpabiliser, technique habituelle de
tout syndicaliste trotskiste :(vous pouvez sauter tout ce
passage mielleux de tordu trotskien, sans doute un flic)
« Tu
t’en doutes, nous avons de grands désaccords sur ces
questions.
Mais il faut être clair , la polémique ne sert à rien si elle n’est ni honnête ni fraternelle.
Alors en guise d’introduction je dirai que je ne suis pas à LO mais que je considère les militants de LO comme des camarades. Je me sens, sans ambiguïté, du même camp. Sans ce préalable la discussion est inutile. En présupposant qu’on part sur cette base là, revenons sur des éléments qui relèvent du procès d’intention et je suis persuadé que tu sais que c’est faux.
1/ « en se plaignant des syndicats après les avoir cautionnés » . Tu lis assez la prose de LO pour savoir que cette organisation ne « cautionne » pas les syndicats. C’est quand même pas très honnête de confondre la volonté de l’orga d’avoir des militants qui se syndiquent (là où les travailleurs sont organisés, c’est quand même la base) avec l’idée de « caution ».
« [LO] se situe en dehors du mouvement des gilets jaunes » . C’est assez juste. Pour aller jusqu’au bout il faudrait quand même dire que LO participe aux rassemblement, défilés etc. des « Gilets Jaunes ». C’est donc un « en dehors » actif et solidaire pour le moins. C’est avec plaisir que je te montrerai ça sur place ;-)b) « place ses efforts pour que la classe ouvrière des grandes entreprises reste aussi en dehors » ça c’est clairement une connerie. Il te suffit de reprendre la chronologie des interventions & actions de JP Mercier chez PSA. Rappelle toi les préavis pour participer aux manifs etc.De plus, si tu as lu entièrement la LDC que tu cites, tu sais bien que le but de l’orga est clairement de faire que les travailleurs se servent de cet élan des GJ, de ce contexte de relative combativité, pour entrer en scène et donc en lutte. Le tout sur des mots d’ordres clairs, sans ambiguïté. Sur la question des salaires par exemple (échelle mobile etc. tu connais cela aussi bien que moi).c) Quel lien peux-tu bien faire entre la volonté des orgas réformistes et du gouvernement et la politique de LO ? Tu peux quand même avouer que les nerfs t’ont emporté et qu’il n’y a aucun lien à trouver !!! là c’est la confusion entretenue. Et tu le sais c’est pas génial pour polémiquer avec sérieux et fraternité. Un peu comme quand tu dis « sa revue mensuelle, fâcheusement intitulée « Lutte de classe » » . C’est le fâcheusement qui est en trop. Mais j’imagine que tu le sais ».
Mais il faut être clair , la polémique ne sert à rien si elle n’est ni honnête ni fraternelle.
Alors en guise d’introduction je dirai que je ne suis pas à LO mais que je considère les militants de LO comme des camarades. Je me sens, sans ambiguïté, du même camp. Sans ce préalable la discussion est inutile. En présupposant qu’on part sur cette base là, revenons sur des éléments qui relèvent du procès d’intention et je suis persuadé que tu sais que c’est faux.
1/ « en se plaignant des syndicats après les avoir cautionnés » . Tu lis assez la prose de LO pour savoir que cette organisation ne « cautionne » pas les syndicats. C’est quand même pas très honnête de confondre la volonté de l’orga d’avoir des militants qui se syndiquent (là où les travailleurs sont organisés, c’est quand même la base) avec l’idée de « caution ».
« [LO] se situe en dehors du mouvement des gilets jaunes » . C’est assez juste. Pour aller jusqu’au bout il faudrait quand même dire que LO participe aux rassemblement, défilés etc. des « Gilets Jaunes ». C’est donc un « en dehors » actif et solidaire pour le moins. C’est avec plaisir que je te montrerai ça sur place ;-)b) « place ses efforts pour que la classe ouvrière des grandes entreprises reste aussi en dehors » ça c’est clairement une connerie. Il te suffit de reprendre la chronologie des interventions & actions de JP Mercier chez PSA. Rappelle toi les préavis pour participer aux manifs etc.De plus, si tu as lu entièrement la LDC que tu cites, tu sais bien que le but de l’orga est clairement de faire que les travailleurs se servent de cet élan des GJ, de ce contexte de relative combativité, pour entrer en scène et donc en lutte. Le tout sur des mots d’ordres clairs, sans ambiguïté. Sur la question des salaires par exemple (échelle mobile etc. tu connais cela aussi bien que moi).c) Quel lien peux-tu bien faire entre la volonté des orgas réformistes et du gouvernement et la politique de LO ? Tu peux quand même avouer que les nerfs t’ont emporté et qu’il n’y a aucun lien à trouver !!! là c’est la confusion entretenue. Et tu le sais c’est pas génial pour polémiquer avec sérieux et fraternité. Un peu comme quand tu dis « sa revue mensuelle, fâcheusement intitulée « Lutte de classe » » . C’est le fâcheusement qui est en trop. Mais j’imagine que tu le sais ».
LO
reste une pourriture clandestine stalinienne prête à tout pour
aider la bourgeoisie. Cette secte tient un langage typiquement
pervers narcissique. C'est le langage du petit intermédiaire,
autrement plus dangereux que nos compagnons petits entrepreneurs
apolitiques, petit intermédiaire qui veut faire de la politique pas
pipole mais en se chargeant de saboter la spontanéité de la classe
ouvrière, en prétendant en prendre la tête pour mieux l'enfermer
dans ses catégories. Nous n'enfermons pas les gilets jaunes ni dans
une « interclasse » ou nouvelle classe introuvable (dixit
Morin en 68) mais nous le considérons comme une étape, souvent joyeuse, vers un mouvement de révolte croissante et
historique qui est en train de bouleverser toutes les classes en
abordant des questions cruciales qui fichent en l'air les ornières politicardes du plus petit
politicien trotskien au taré ultra droite :
- mouvement de lutte indépendant et incontrôlable
- délégués simples porte voix révocables à tout moment
- refus des partis politiques et de syndicats
- transparence de toutes les négociations avec l'Etat
- (plus lointain) destruction de l'Etat bourgeois avant la mise en place d'une véritable démocratie directe.
ECHANGE
AVEC ERIC DROUET
En
fait ce ne fut pas un véritable échange. Drouet avait posté ce
message ce matin sur face book et, malgré l'expression faible et une
goujaterie à laisser tant de fautes, je lui réponds par après, en
ne soulignant pas assez que cette défense d'un bizarre droit
démocratique « à commettre des fautes d'orthographes »,
est à mettre sur le compte de l'INDIVIDUALISME qu'autorisent les
réseaux sociaux : j'écris ce que je veux, comme je veux,
j'insulte comme il me plaira à défaut d'argumenter etc. ».
J'imagine que s'il tombe sur les féministes trotskistes commerciales
de l'écriture inclusive il se fera sermonner plus fort que moi, et
avec une fessée au derrière.
POST
D'ERIC DROUET
Des
fois, les gens m'attriste !!
Dans
un mouvement aussi grand que le notre des personnes cherche encore la
petite erreur de Français, la faute commise en postant un article (
oui, ça, c'est moi ) , le moindre truc pour montrer qu'il existe et
son peu être un peu mieux éduquer ou doué en grammaire ? Je ne
sais pas !
Aujourd'hui,
je pense qu'on doit arrêter de s'attarder sur des choses qui ne nous
font pas avancer ! Nous venons de tous d'horizon différent !
Certains diplômer, certains pas , certains ouvrier , certains cadre
, certains noir , certains blanc etc etc etc
Ici,
nous sommes tous citoyens tous gilets jaunes !! Et c'est la seule
chose a prendre en compte !!!
Celui
qui n'avance pas dans ce sens n'a pas ça place ici, je pense !!
Je
vois beaucoup de personne qui donnerais beaucoup pour leur ami gilet
jaune alors qu'il ne se connaissait pas y a encore deux mois et c'est
ça notre force !! Une famille voilà ce que nous somme !!!
Si
des gens doutent encore de mes intentions c est qu'il ne me connaît
pas au quotidien !!
Si
je j'ai commencé tout ça, c'est en pensant aux autres avant de
penser a moi !! Et je continuerais tant qu'il le faudra !!!
Je
vous souhaite a tous une très bon état soirée
L'apologie
de l'orthographe déglinguée, ou le culte de l'individualisme ?
si
c'est toi Eric, tu m'attristes, je ne tolère pas le culte de
l'ignorance, en plus à ton niveau pondre un tel texte, alors que tu
sais si bien te servir des réseaux, avec autant de fautes, confine
au pédagogue ridicule qui écrit au tableau noir en conseillant à
ses élèves de faire des fautes pour mieux exprimer leur liberté!
Je fais partie de ceux qui sont outrés par les avalanches d'insultes
pipi caca qui salissent ce site, et des gens qui font de grands
placards avec d'immenses fautes qui décrédibilisent aussitôt leur
propos même s'il est sensé. Dans le débat accéléré je me fiche
en général des fautes de frappe ou de français, mais lorsque l'on
prétend s'adresser au plus grand nombre il faut se donner les moyens
de ne pas faire rire de soi; pour un tract, une affiche on se met à
plusieurs pour sortir une copie propre! Nos ennemis esthètes
bourgeois sont trop contents de nous faire passer ensuite pour des
sous-développés. L'expression de la colère ou du désaccord est
aussi une question de forme et de respect de l'autre. Ton exaltation
démagogique d'une orthographe massacrée n'est pas à ton honneur,
tu peux alors aussi dire bravo au chapelet d'insultes pathologiques
qui sont certes l'expression d'une haine contre le pouvoir
capitaliste mais n'indiquent pas une propension à la réflexion.
Pour l'instant vous êtes tous au cul des épiciers petits bourgeois
ou du chiméRIC facho, nuls en histoire au point de vous modeler sur
la révolution bourgeoise de 1789, mais nous dans le mouvement
ouvrier antisyndical et antiparlementaire nous avons toujours su
qu'il ne faut pas négliger la forme et la manière. Nous ne sommes
plus au siècle des ouvriers illettrés, mais par ex le premier
conseil ouvrier en Russie avait délégué un avocat Kroustalev
Nossar, et j'ai remarqué que nombre de prolétaires en GJ
souhaitaient des porte parole qui parlent bien! Ceci dit cela
n'empêche pas même ceux qui nous massacrent la langue française de
s'exprimer, mais aussi de savoir qu'il y a de très bons correcteurs
d'orthographe gratis. Un dernier mot je te félicite pour avoir
détruit le train-train des réunions secrètes en filmant le
ministre. Mais je t'avais précédé comme délégué de classe en 68
en enregistrant clandestinement le conseil des profs pour le bac et
en diffusant le contenu à ma classe. Et tu n'as rien inventé car
les ouvriers polonais en 1981 avaient imposé micros dans la salle de
négociations et répercussion par hauts parleurs dans les usines.
Enfin bravo pour ton courage et ta pugnacité, il faut constituer un
comité de soutien pour ton procès en juin, les avocats ne suffisent
pas et je demanderai à en faire partie.
PS :
Comme vous l'avez sans doute remarqué, Eric adopte une attitude
pontifiante, au-dessus de la mêlée des fauteurs d'orthographe et de
leurs éventuels rectificateurs ; il ne m'a évidemment pas
répondu. La notorité gonfle les chevilles et vous interdit de
descendre dans l'arène. Il
reste cependant cet honneur inoubliable à Eric d'avoir dès le début refusé
de cautionner des réunions avec le gouvernement des pourris, il
avait finalement refusé, arguant qu’«aucune
délégation n’a encore le rôle de représenter les gilets
jaunes».
Et appelant à «continuer
le combat».
Depuis, il n’a rien lâché, participant à toutes les
manifestations, quitte à incarner en partie la «radicalisation» du
mouvement. Soupçonné d’antiparlementarisme après avoir déclaré
dans une vidéo «je
ne crois plus en cette République»,
et appelé au «renouveau» ;
on l'accusa de faire des concessions au
complotisme. Comme
dans
une vidéo où il évoque le «pacte
de Marrakech»,
signé par Emmanuel Macron «pour
faire venir 480 millions d’immigrés en Europe»
et «qui
vend la France», ce en quoi il montre à sa manière le faux
internationalisme de la bourgeoisie financière qui méprise les
ouvriers « blancs » et les remise en province.
Ou dans cet autre message où il évoque l’influence des médias
sur la dernière présidentielle : «Les
candidats n’ont pas les mêmes moyens financiers car les banques
achètent les médias pour faire monter les candidats»…
Pas de quoi prouver pour autant un quelconque lien avec
l’extrême-droite.
ENCORE
UNE PRISE DE POSITION DE MA PART SUR LA FABLE DU REFERENDUM POPULAIRE
La
fable du référendum citoyen est une entourloupe de première comme
de croire que les pétitions seraient désormais le nec plus ultra de
la radicalité. A mon avis on n'est pas prêt de revoir une pétition
aussi efficace que celle de Priscilla, pas parce que c'est une belle
femme noire ni parce que, elle, elle écrit sans fautes (et respecte
ses lecteurs) mais parce qu'elle est tombée à point nommé de la
révolte latente contre le prétexte écologique pour faire payer la
classe ouvrière et accessoirement épiciers et flics. La pétition
"extraordinaire" pour "punir" le gouvernement
pour non assistance à écologie en danger m'a fait éclater de rire,
conçue pour "effacer" celle de Priscilla, elle revient à
faire croire que le capitalisme pourrait se soucier de pollution et
pas de profit! ahahahaha! Elle a fait trop plaisir au petit Rugy.
Mais ce pétitionisme dans lequel vous baignez tous n'est que la
queue du citoyennisme petit bourgeois. Comme disait mon cher Lénine,
dont je n'ai pas retrouvé la citation exacte: "je veux bien
d'élections, mais en terrain neutre, sans financements
disproportionnés des uns et des autres, sans grandes messes
électorales. Tous les candidats sur le même pied d'égalité
propagandiste, avec présentation d'un programme clair, sans
trucages". Si vous croyez que RIP, RIC et chiméRIC peuvent être
mis en place sous le contrôle de l'Etat bourgeois, hors des circuits
financiers et de la manipulation totale des médias, je vous dis:
banco! sinon vous pouvez toujours vous gratter!
Sur
la proposition d'une godillot macronienne pour une manif
néo-gaulliste en défense du soldat Maron en perdition
J'ai
assez vite démoli le projet : faire venir la bobologie
macronienne en masse place de la République le 20 janvier 19 ? assez modeste!
Place de la Ripoublique, c'est donc qu'elle n'espère pas grand monde
la dame. le 30 juin 68, après hésitation et peur de l'échec les
godillots gaullistes avaient misé sur les Champs!
FRANCIS
COUSIN M'ECRIT SOUS UN PSEUDONYME
Je
ne juge pas utile de répondre à ce courrier écrit par une belle
plume de faussaire, mais je la livre au milieu maximaliste, qu'on
nommait naguère ultra-gauche. On se souvient de certains brulôts ou
petits cercles et il est intéressant de voir la trajectoire vers le
modernisme, en particulier de « guerre de classe ». Je ne
savais pas que Cousin s'était formé à travers tous ces petits
cénacles, mais je me souviens avoir bataillé contre tous ces
« modernistes » anti-marxistes dans le CCI déjà contre
l'aile anarchiste du CCI qui croyait que c'étaient des "frères de
classe ". Cousin un frère de classe, pfuit ! Je ne suis pas
étonné que tout cela grenouille aux marges de l'ultra doite, qui ne
dit pas d'ailleurs que des bêtises, mais comme je l'ai répondu aux
staliniens de LO et au CCI, les classes ne sont pas étanches, les
milieux politiques non plus.
Bonsoir
Monsieur Roche,
Georges picot
22 déc. 2018 20:01 (Il y a 4 jours)
Bonsoir Monsieur Roche,
Georges picot
22 déc. 2018 20:01 (Il y a 4 jours)
Bonsoir Monsieur Roche,
Je
viens là humblement vous aider à mettre à jour votre système de
fichage de ceux qui sont là, ailleurs ou totalement autre part ou
bien encore beaucoup plus loin.
Je le fais d'ailleurs en un curieux moment où vous crachouillez sur Cousin en ce temps où vos textes sur les Gilets jaunes bien que moins maximalistes, recoupent cependant les textes et les vidéos de ce dernier sur le sujet...
Je le fais d'ailleurs en un curieux moment où vous crachouillez sur Cousin en ce temps où vos textes sur les Gilets jaunes bien que moins maximalistes, recoupent cependant les textes et les vidéos de ce dernier sur le sujet...
Cousin
vient de l'anarchisme ouvrier anti-syndicaliste, pas des bobos
hallucinogènes de l'actuelle mouvance libertaire à écriture
servile inclusive. Il a été notamment membre du groupe Commune de
Kronstadt de la FA avant de rejoindre le PIC - Jeune Taupe. Il s'est
toujours inscrit dans la perspective communiste de l'abolition de
l'argent et de l'État et a notamment appartenu au groupe Guerre de
Classe. Je l'ai rencontré dans les années 80 à une Fête de LO
alors que j'étais moi-même sympathisant du FOR. Nous nous étions
perdus de vue et je l'ai retrouvé au printemps dernier lors d'une de
ses conférences à Nantes où il était invité par Egalité et
Réconciliation (horresco referens !). Cette conférence sur la
radicalité ouvrière de 68 où il y avait affluence était
particulièrement intéressante. On la trouve d'ailleurs sur
internet. Cousin l'a d'ailleurs commencé en se démarquant de ses
hôtes tout en les remerciant de l'accueil et en précisant qu'il
acceptait par principe le débat avec tout le monde, même ses
antipodes, puisqu'il récuse tous les interdits du système
idéologique contemporain.
Il
vous a fallu beaucoup de temps pour quitter physiquement le
sectarisme de RI mais visiblement vous n'êtes pas encore totalement
sorti des pesanteurs du sectarisme mental qui vous a structuré
durant de longues décennies de pathologie missionnaire. Vous
bricolez sur Cousin à partir de 3 ou 4 bouts d'intox méchamment
rafistolés, une bien mauvaise fiche qui parle de lui, non point à
partir de qu'il dit ou fait mais à partir de ce qu'en disent
quelques officines de l'extrême gauche de la mythologie démocratique
contemporaine qui ne l'ont au surplus jamais lu. Visiblement, une
partie importante de vous-même n'est pas encore sortie de cette
crânerie lourdaude qui caractérisait si bien les messes
psychotiques du samedi après midi de l'avenue de Choisy.
Quand
Sabatier produisait un article dans la revue social-démocratique
Spartacus, il ne sombrait point dans une dérive néo-pivertiste. Il
utilisait sans illusion une tribune afin d'ouvrir des portes
radicales. Quand Cousin accorde sans illusion des entretiens à la
revue nationale-proudhoniste Rébellion, il ne sombre point dans le
corporatisme social, il ouvre explicitement un chemin vers
l'abolition du salariat et de l'État. Et en quoi Rébellion serait
plus moche ou crapoteux que Spartacus, si l'on comprend et notamment
à la suite de Bilan que du point de vue de la lutte des classes,
aucune fraction du Capital n'est pire que les autres puisque le
communisme les éradiquera toutes.
Cousin
est pour la fraternisation révolutionnaire universelle. Il n'a
jamais eu d'œillères névrotiques contrairement à nombre de
militants totalement dévorés par la schizophrénie mégapolitaine
de leur impuissance infinie en la misère contemporaine. Il a
toujours accepté de parler à tous et à chacun. Il a fréquenté
Camoin même quand celui-ci sombrait dans une phase
lénino-bordiguiste particulièrement excitée alors que, lui-même,
a toujours été foncièrement anti-bolchévique. Il a été copain
de Ratier, méchant droitiste extrême, alors que, lui-même, a
toujours opposé aux travaux réactionnaires de Dumézil sur les
indo-européens, les recherches révolutionnaires d'Engels sur la
marche germanique.
Je dois là d'ailleurs ajouter pour être honnête que dans la nauséabonde librairie facho de Ratier, on trouvait quand même à côté de Maurras et Mussolini ; Luxemburg, Bordiga, Marx et Malatesta alors que lorsque je me suis l'année dernière rendu à Publico, l'on n'y trouvait même pas le Munis-Perret sur les syndicats et le brave camarade vendeur vaguement LGBTiste ne savait même pas de quoi il s'agissait.
Je dois là d'ailleurs ajouter pour être honnête que dans la nauséabonde librairie facho de Ratier, on trouvait quand même à côté de Maurras et Mussolini ; Luxemburg, Bordiga, Marx et Malatesta alors que lorsque je me suis l'année dernière rendu à Publico, l'on n'y trouvait même pas le Munis-Perret sur les syndicats et le brave camarade vendeur vaguement LGBTiste ne savait même pas de quoi il s'agissait.
Bref,
au lieu d'épingler Cousin débilement sur des morceaux amputés et
d'ailleurs sortis de leur contexte global, il aurait été
intelligent de mettre en ligne, non pas la courte introduction du
début de sa contribution sur le communisme publié par
Rébellion...mais surtout les longues lignes qui suivent qui
démontrent immédiatement le côté ridicule, prétentieux et
inculte de votre dialectique tchékiste du ciseau manipulateur qui
écarte ainsi toute la réflexion sur la communisation, la crise du
Capital, l'autonomie ouvrière et la fin de la politique...
Si
on lit les bouquins de Cousin, si on écoute ses conférences et que
l'on analyse ses textes sans les estropier, tous disent, redisent et
insistent toujours sur la nécessité radicale de détruire le monde
de la marchandise, du salariat et de l'État...Mais surtout et c'est
là que le bât blesse, Cousin qui n'a pas changé d'un iota depuis
le PIC, refuse de gober les obligations religieuses des modes
actuelles du mensonge obligatoire sur le chaos migratoire et le chaos
terroriste d'État. Il ne veut pas les analyser du point de vue
humanitaire du fétichisme de la marchandise émotionnelle mais au
strict regard de la lutte des classes. Dès lors, la mouvance
bobo-libertaire de la gauche du Capital qui est totalement intoxiquée
par le mythe anti-fasciste est incapable de lui répondre. Elle est
donc contrainte de sombrer dans le grotesque crétinisme du point
Godwin...Quand on ne peut se confronter publiquement et sereinement
par l'analyse à quelqu'un, il ne reste plus que le postillonner
acide et fiévreux en chambre close et venimeuse.
Radio
Courtoisie est une radio réac où tout est assez souvent très
chiant mais parfois il s'y passait quelque chose et d'ailleurs Ratier
avait eu, malgré tous leurs désaccords, la finesse d'inviter
plusieurs fois Cousin... Radio libertaire est une radio progressiste
où tout est tout le temps chiant et où il ne se passe jamais autre
chose qu'un long soliloque pluriel d'acceptation maladive de tous les
dogmes de l'humanitarisme de la marchandise...C'est normal, le camp
capitaliste des vainqueurs de 45 a construit une hystérie
totalitaire qui ne peut accepter qu'un seul cheveu dépasse...Le camp
capitaliste des vaincus de 45 est beaucoup plus désordonné et bien
moins paranoïaque. C'est pourquoi finalement une radio comme
Méridien zéro est capable d'inviter Cousin pour s'entendre dire que
le fascisme est une illusion capitaliste parmi d'autres alors que la
pauvre Radio Libertaire est incapable d'organiser le moindre débat
contradictoire au sujet des ministres de la CNT.
Rubel est passé chez Pivot à Antenne 2 pour parler de Marx...Était-il un suppôt de l'État et de ses publicités ?
Cousin est passé Sur TV Libertés pour parler de Marx...Est-il un suppôt du droitisme conservateur et de ses publicités ?
La vraie vie est plus complexe que ces fausses questions qui finalement enferment toujours le questionneur dans un salmigondis illusionniste destiné à faire oublier que la lutte contre l'État et le Capital se joue partout et qu'il ne saurait exister de lieu social chimiquement pur.
Vieil ami de Marine...C'est idiot et faux...La Marine en question a un jour dans un bouquin cité Cousin pour en dire à la fois du bien et du mal...Comme son père d'ailleurs qui a commis un mémoire universitaire sur le mouvement anarchiste...Et où cela nous amène-t-il ? Nulle part, un peu comme avec Trotsky qui voyait des gardes blancs partout à Kronstadt...
Rubel est passé chez Pivot à Antenne 2 pour parler de Marx...Était-il un suppôt de l'État et de ses publicités ?
Cousin est passé Sur TV Libertés pour parler de Marx...Est-il un suppôt du droitisme conservateur et de ses publicités ?
La vraie vie est plus complexe que ces fausses questions qui finalement enferment toujours le questionneur dans un salmigondis illusionniste destiné à faire oublier que la lutte contre l'État et le Capital se joue partout et qu'il ne saurait exister de lieu social chimiquement pur.
Vieil ami de Marine...C'est idiot et faux...La Marine en question a un jour dans un bouquin cité Cousin pour en dire à la fois du bien et du mal...Comme son père d'ailleurs qui a commis un mémoire universitaire sur le mouvement anarchiste...Et où cela nous amène-t-il ? Nulle part, un peu comme avec Trotsky qui voyait des gardes blancs partout à Kronstadt...
Donc,
mon Cher Roche si vous ne voulez pas mourir idiot et raconter
simplement les lieux communs de la mystification généralisée du
penser asservi, lisez un peu plus, creusez, allez voir les vidéos de
ceux que vous critiquez avant d'en parler abruptement et dernière
info, le blog Aufheben n'existe pas...c'est le site aufhebung qui
contrairement aux autolâtres modernistes de la survie spectaculaire
webisée exprime, lui, une œuvre collective de critique effective de
l'économie politique...Ce qui en dit long sur votre capacité de
vérification des âneries de la boboïtude libertaire du réformisme
parisien extrême.
Au regard de votre histoire personnelle, je vous conseille de relire les pages 24 et 25 du Jeune Taupe N ° 8 de Décembre 1975 ( R.I. : La chasse au PIC !). Ce texte explique finalement beaucoup de choses sur la capacité et l'incapacité, les maladies narcissiques du Capital et toutes les falsifications et frustrations qui en résultent.
Au regard de votre histoire personnelle, je vous conseille de relire les pages 24 et 25 du Jeune Taupe N ° 8 de Décembre 1975 ( R.I. : La chasse au PIC !). Ce texte explique finalement beaucoup de choses sur la capacité et l'incapacité, les maladies narcissiques du Capital et toutes les falsifications et frustrations qui en résultent.
Bien
à vous, Cher Monsieur Roche