« Quand
vous avez des problèmes, montez vers les sommets ». De Gaulle
« L'envie
de pénal a remplacé l'envie de Pénis ». Philippe Muray
"Les femmes étaient inviolables chez les Troglodytes des qu'elles s'interposaient entre les combattants, ils cessaient de tirer leur flèche"(Diodore de Sicile cité par Paul Lafargue).
"Les femmes étaient inviolables chez les Troglodytes des qu'elles s'interposaient entre les combattants, ils cessaient de tirer leur flèche"(Diodore de Sicile cité par Paul Lafargue).
«Pour
arriver, en littérature, une seule recette: dire très haut qu'on a
du génie. Ça marche. Vous le répétez inlassablement et, à la
fin, on vous croit. “Ils ” ont tous fait ça: Breton,
Malraux,
Aragon,
Claudel... ».
Emmanuel Berl
Ajout
: gros dommage collatéral dans cette campagne féministe
bourgeoise depuis Hollywood: Tariq Ramadan. Que ce bateleur de foire
islamique soit bien défendu ou pas comme DSK, le masque est tombé. Le principal pape de l'islamisme convivial en Occident est cuit! En même temps que l'eggregore daesch? Bizarre, vous avez dit bizarre? Mauvais ramdam pour Ramadan Toujours le soupçon
restera. Pour ses naïfs fans (synonyme de bigot) qui noyaient you tube depuis des années
sous des tonnes d'éloges pour sa capacité à "casser"
tout contradicteur "ça fait chier", alors ils se répandent
en propos antisémites et orduriers sur le "complot". Les
services numériques dominés par big America n'allaient pas laisser
ce pitre PN se pavaner éternellement, aussi l'ont-ils flingué comme
tout politicien de bas étage devenu inutile. Toute cette boue révèle
une chose: les djihadistes de Panurge sont dans la merde! Et ce sont
des milliers de merdes qui défendent le viol d'une "salope
vénale". Leurs arguties sont de la même teneur que
l'exaltation des châtiments corporels (lapidation, etc.) prévus contre les femmes dans
leur religion. Lire ici:
http://www.lemonde.fr/societe/article/2017/10/28/plainte-contre-tariq-ramadan-l-antisemitisme-se-dechaine-envers-henda-ayari_5207247_3224.html
Il
paraît que Madame la guillotine a tué le « père de la
nation » en coupant sèchement la tête du bon roi Louis le
dernier. Et que mai 68 ne fût que la révolte d'une société sans
père... ni repère. Laissons les sociologues à leurs spéculations,
mais concédons que le rejeton du trotskysme le plus caméléon et
attrape-tout des modes successives de l'idéologie bourgeoise, le NPA
(ex LCR mais toujours affilié secrètement à un 4e Internationale
troglodyte1)
a définitivement tué le père Marx (un sale mec macho et
manipulateur comme dit le camarade Wolton) et n'est plus gouverné
que par des mémères féministes. Et avec ça elles le proclament,
elles dont du génie.
« Construire un mouvement de masse contre les violences faites aux femmes ». C'est avec ce titre racoleur et pitoyable que le réformisme radical s'est placé au cul de la campagne bourgeoise, qui ne dénonce pas les (belles) femmes journalistes ou actrices qui couchent (volontairement) pour réussir, mais contre le « harcèlement » de celles, qui ont certes subi mais se sont tues pendant des années (après avoir réussi) après ce fort pistonnage. Le déballage des turpitudes de Weinstein sur le corps de tant de célèbres actrices a totalement ému le comité central du (de la?) NPA, composé(e) essentiellement de féministes, au point qu'il(elle) a décidé(e), en un(e) geste hollywoodien(ne), de le(la) transformer en mouvement de masse. Pourtant il ne sera pas question de défendre principalement la pauvre femme seule dans le bureau d'embauche qui n'a que le tort d'être encore belle à 30 ou 40 ans, ni celle qui, ayant trois enfants à charge, et seule, va finalement « se laisser faire ».
Cette
proposition de « lutte » est typique du réformisme
radical, vide et lamentable. On est dans quelle société ? Une
société humaine où il serait possible d'un coup de défendre les
opprimés et les offensé(es)2.
Ou dans une société capitaliste perverse et cynique, cruelle et sans limite dans l'ignominie et la violence tout azimut? Nos matriarches procèdent avec le même calque que leur antifascisme de salon. On propose de
lutter contre des moulins à vent3.
Mais hélas cela n'apparaît que comme un des multiples relais de la
campagne « féministe » de l'ordre dominant qu'on prétend
combattre :
« Dans
ce genre d’horreurs, qu’elles concernent des personnalités
publiques ou des inconnus, nombreux et nombreuses sont ceux et celles
qui savent mais se taisent. Quelle surprise quand on voit le
traitement médiatique qui est réservé à celles qui osent parler :
on n’oubliera pas les larmes de Sandrine Rousseau ni le
qualificatif de « troussage de domestique », employé par
Jean-François Kahn pour parler du viol de Nafissatou Diallo par DSK.
Et on n’oubliera pas que, sous couvert de résistance au
« traitement horrible » que subirait Betrand Cantat, dont la
violence aura été jusqu’à tuer Marie Trintignant, les
Inrocks
lui ont offert la « Une », lui ont donné une tribune, et ont
jeté à la figure de toutes les femmes un symbole de la violence
conjugale, des féminicides, de la négation de la parole des femmes,
quand Marie Trintignant, elle, ne pourra plus jamais avoir de
tribune4.
Il ne s’agit pas d’un nom ni du
nombre d’années de prison. Ce n’est pas un problème d’individus
mais bien du patriarcat. En ce sens, les réseaux sociaux ont permis
de visibiliser cette violence en pointant une oppression
structurelle, et ont permis aux femmes de se solidariser les unes des
autres. Mais la réponse durable ne viendra pas des réseaux
sociaux : il faut reprendre la rue contre les violences, en
commençant dès le 25 novembre prochain ».
Nos
trotskiens girouettes, qui ont tant contribué à l'écriture
inclusive (féministe) viennent d'inventer le « féminicide »
car le mot homicide était trop injurieux pour les femmes. Le comité
central féminiseur anti-paternel ne dénonce plus le salariat ou le
capital mais le patriarcat. Nuance chers frères et sœurs !
(NDLR : rappelez-vous le père de la nation a eu le quiqui
coupé). Les « réseaux sociaux » sont devenus vraiment
le véhicule de la révolution féministe ; ils « visibilisent »
(néologisme typiquement féministe) les violences faites aux femmes
(toutes?), et, merveille des merveilles « ont permis aux femmes
de se solidariser les unes des autres ». Ce qui est formidable
avec le féminisme radical bobo c'est qu'il triomphe, sermone,
vitupère hors de la réalité et sans rien y changer. Après le
credo de Besancenot, voici les versets féministes : « violence
conjugale », « négation de la parole des femmes »
(une pipe sinon rien?), « oppression structurelle ». Et
LA solution : la manif de rue programmée comme n'importe quel
enterrement syndical. Solidarité avec les actrices renommées, et
pendant ce temps femmes anonymes battues anonymement continuez de
pleurer et de panser vos blessures dans la solitude5.
Avant
la journée de lutte internationale des femmes, il faut dénoncer
dénoncer répète la féministe stalinienne de service. Et pas se
gêner : « Ce #balancetonporc a eu quelque chose
d’incroyablement positif : montrer, rendre visible un problème
structurel. Il a permis aux hommes de ne plus pouvoir se cacher
derrière des excuses. Il a permis d’ouvrir les yeux. Il a permis
aux femmes de parler, de ne plus se taire, de prendre conscience
qu’elles ne sont pas seules, de leur force collective en tant que
femmes ». La lesbienne
corbeau explique que les hommes ne sont pas des porcs mais... des
porcs quand même : « Il ne faudrait pas fuir la
réalité : les hommes qui agressent ne sont pas des « porcs ».
Ce sont des agresseurs, des violeurs, des harceleurs. Ce sont des
hommes construits par le système patriarcal. Ce mot de « porc »,
qui tend à souligner une « animalité » distincte de
« l’humanité », voire une « monstruosité »
permet de mettre une distance en eux et nous, nous faisant oublier
que ce sont notre entourage, notre frère, notre pote, notre fils,
notre père, un militant… ». Ensuite
« libérer la parole des femmes » dans un cadre
« non-mixte » et ensuite construire le « mouvement
de masse pour changer la société6 »,
mais elle ne nous dit pas si c'est en jupe ou en pantalon, avec ou
sans voile intégral ? Enfin il faudra encadrer les
« balances », un tribunal révolutionnaire exclusivement
féminiphile ?
Cette
inclusion du féminisme trotskien dans la campagne morale bourgeoise
(sans changer leurs habitudes de « couchages ») est bien
sûr honteuse, de la même manière que le NPA s'était bouché les
yeux sur la misère sexuelle des migrants à Cologne (pourquoi un
immigré se gênerait-il de violer une blanche colonialiste?), mais
surtout parce qu'on fait silence sur le machisme islamique et leur
pédophilie maritale ! Hein, qu'est-ce que c'est ce pays qui
interdit aux femmes de porter burkini et voile ? Hein au nom de
quoi se permet-on d'aliéner la liberté de ces femmes, psalmodie le
NPA depuis l'été.
Le
mouvement national féminiphile ne se construira pas de toute façon,
et reste totalement étranger et à la lutte de classe et au
prolétariat. Ce n'est qu'une plaisanterie, une pénible distraction
organisée par une poignée de rigolotes petites bourgeoises, pour
les raisons que l'une d'elle liste, et qui nous font pisser de rire à
chaque phrase. Vous rectifierez vous-même en parcourant ce tissu
d'âneries (je rappelle qu'en Mai 68 le féminisme était inexistant
tout comme en Octobre 17). Liste des problèmes de ces malheureuses
bourgeoises :
« Le
premier est le lien avec le mouvement féministe. Ce n’est pas un
secret : ce mouvement est, en France, très divisé, avec d’un
côté le mouvement féministe structuré issu des années 1970 et,
de l’autre, des organisations radicales, et souvent l’impossibilité
à agir ensemble (deux manifestations le 8 mars, par exemple).
Mais cela n’en fait pas un mouvement inexistant, ni qu’il
faudrait balayer d’un revers de la main. Ainsi le mouvement issu
des années 1970, s’il s’est trop instutionnalisé, a des liens
forts avec le mouvement ouvrier, notamment syndical, et mène un
travail essentiel dans l’accueil de victimes de violences.
D’ailleurs, dans certaines villes, ce sont ces cadres déjà
existants qui appellent au rassemblement, comme à Marseille où le
rassemblement est appelé par le collectif 13 Droit des femmes.
Le
deuxième problème, et pas des moindres, est le cloisonnement de
l’organisation de ces rassemblements. Il est difficile de s’en
emparer et de créer une dynamique réellement collective pour le
moment, toutes les décisions sont prises par en haut avec des
systèmes de référentEs pour à peu près toutes les questions.
Pour construire un mouvement de masse qui soit collectif et durable,
et non un mouvement ponctuel initié d’en haut, il faut absolument
développer des structures d’auto-organisation : assemblées
générales, collectifs de quartiers, etc.
Enfin, le dernier problème est l’idée de
rassemblement « apartisan », qui n’est pas la même chose que
ce qu’on appelle mouvement autonome : autonome des organisations
du mouvement ouvrier certes, mais évidemment pas autonome de la
lutte des classes…Ces trois problèmes doivent être résolus, en permettant l’unité du mouvement féministe autour des rassemblements du 29 octobre, avec en perspective la manifestation du 25 novembre, en favorisant l’auto-organisation et, enfin, en faisant le lien entre oppression des femmes et lutte des classes. Ainsi, nous pourrons vraiment dire « nous toutes ensemble » .
Et « toutes
ensemble » aller vous faire foutre !
NOTES
1Laquelle,
comme le coucou, fait des apparitions sporadiques sur le site du
NPA, avec les mêmes adages guévaristes que lors de la jeunesse
ébouriffée des Krivine, Ben Saïd et Weber : « Une,
deux, trois Catalogne », par exemple comme je l'ai rappelé
dans un récent article ; un tel slogan, vu les errements du
nationalisme catalan et la stupéfaction du peuple espagnol,
confirme l'imbécilité politique invétérée du trotskysme
tiersmondiste. Pour relativiser leur soutien et exhiber leur vision
saugrenue de la réalité (oubliant les errements de la faction
nationaliste) est interviewé un cam (e?) espagnol (membre de la 4e Internationale, assoc de femmes libérées).
«La situation reste incertaine : le gouvernement central a
ralenti sa prise de contrôle de la Catalogne, craignant que cela
provoque des réactions de masse. Le gouvernement de la Generalitat
de Puidgemont, lui, est coincé entre l’énorme pression
nationaliste espagnole et la pression populaire. Nous faisons ce
point ce lundi soir 23 octobre... ». Appuyant
un Podemos à la démarche incertaine le plumitif de la 4e NPA ne
peut qu'encourager le bordel ambiant en promettant la grève
générale de la semaine prochaine victorieuse, mais victorieuse sur
quel plan ? Indépendamment de ces clowns embourbés dans le féminisme bourgeois qui ne changera jamais rien à la condition de la femme sous le capitalisme, il faut lire Paul Lafargue: LE MATRIARCAT : https://www.marxists.org/francais/lafargue/works/1886/10/matriarcat.htm. Il faut savoir ceci: "
"Les femmes étaient inviolables chez les Troglodytes des qu'elles s'interposaient entre les combattants, ils cessaient de tirer leur flèche"(Diodore de Sicile).
"Les femmes étaient inviolables chez les Troglodytes des qu'elles s'interposaient entre les combattants, ils cessaient de tirer leur flèche"(Diodore de Sicile).
2Ceci
est écrit en littérature inclusive, hi hi. Les journalistes
bourgeoise soumises à de mâles députés et l'Académie semblent découvrir cette transformation
féministe gogole qui est usitée depuis des années par le
révisionnisme orwellien suiviste des trotskiens et de leurs suiveurs
anars et libertaires en tout genre.
3C'est
pourtant toujours les mêmes ficelles et le même simplisme qui va
dans le sens des campagnes « démocratiques » de l'Etat
bourgeois, sur le plan de l'immigration heureuse comme pour toujours
trouver un vilain facho au coin de la rue responsable de tous les
malheurs du monde. Un article nuançant est consacré à charger le
jeune zigoto qui voulait assassiner Mélenchon, en reconnaissant que
la mouvance d'extrême droite tue surtout... par les mots, mais pas
un mot sur le procès de la famille d'assassins les Merah qui
assument sans honte les assassinats d'enfants juifs et de soldats
arabes « collabos » . Pas un mot sur les attentats
successifs des tueurs islamistes depuis des années sur le site du
NPA, qui est comme « Je suis partout » partisan du
silence (les pétainistes c'était sur les camps de gazage) sur les massacres de juifs et de
leurs enfants par des arabes « opprimés » et le meurtre
de populations indistinctes à Nice ou à Berlin car ces gens ne sont-ils pas les héritiers
de ces salauds de colonialistes? On n'attend plus que les
syndicalistes du NPA protestent contre la suppression des allocs aux
djihadistes « réfugiés » en Syrie et contre leur
internement à leur retour en France. Cette dite extrême gauche est
finalement pire que l'actuelle extrême droite puisqu'elle reprend
le même type de comportement que les pétainistes au pouvoir :
par leur silence ils soutenaient les tueries d'Hitler, par leur
silence nos trotskiens soutiennent les tueries islamistes par
tolérance envers une religion … de paix quoique plutôt létale et raciste, dont les
électeurs sont si nombreux désormais en banlieue. Faut se
souvenir... Malgré l'affaire ridicule de Carpentras éventée (deux
merdeux avaient saccagé le cimetière pas le FN et Mitterrand avait
entraîné derrière lui non seulement la LCR mais des milliers de
bons antifascistes), lors des premiers meurtres du salaud Merah, la
police, elle-même contaminée par la croyance que les fachos
seraient derrière tous les attentats, avait tardé à rattraper le
tueur en négligeant ces milieux islamistes qu'elle était pourtant
chargée de pister, laissant le tueur commettre de nouveaux crimes ;
pareil pour le petit Ilan Halimi à Bagneux. La focalisation sur le
diable FN avait permis jusqu'ici aux partis bourgeois classiques de
jouer aux pères la morale républicaine, tout comme à l'extrême
gauche « antifa »de collaborer à la messe sur le
terrain de la rue et parmi la jeunesse estudiantine. La montée du
populisme, qui n'est pas le fascisme, qui se moque de l'ignominie
gauchiste, est donc naturelle et compréhensible. Ce qui ne veut pas
dire qu'elle contient LA solution.
4Voir
l'excellente charge de la chanteuse Lio contre une écrivaine
neuneu : https://www.youtube.com/watch?v=2fWVQVsI-F4
5Evidemment
que je pense que ces féministes grossières du NPA sont toutes des
salopes, des blablateuses, des gouines attardées, qui ne font et ne
feront rien pour les milliers de femmes meurtries, et qui les
enfoncent un peu plus dans leur « spécificité » de
femmes alors que cette violence nous indigne et nous concerne
tous, Femmes comme hommes, homos ou transgenres. Dans ma carrière
professionnelle je suis intervenu plus d'une fois pour défendre ou
voir comment protéger des femmes prolétaires battues et j'ai vu
que police et assocs féministes ne sont que des bon(nes) à rien.
La police à chaque fois : « on n'y peut rien ».
L'assoc Femmes battues de Nanterre : « elle a qu'à venir
porter plainte ». Même stupidité et indifférence que les
flics au syndrôme de Stockolm. J'ai raccroché en leur criant
« salopes » ! La question des femmes n'est pas un problème féminin mais de société qui produit la barbarie!
6J'imagine
mon lecteur(trice) se gratter la tête quand à ce changement de la
société : de nouvelles lois confiées à des femmes avocates
instaurant une égalité rassurante, une égalité réelle des
femmes et des hommes (écrire toujours femmes avant hommes), un
défilé de soldats uniquement féminin(es) le 14 juillet, un
conseil des ministres non mixiste (néologisme involontaire dû à
mon clavier inclusif), composé uniquement de lesbiennes ?
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