(la muflerie de la mafia Fassin)
Dans un article récent, pour souligner l'implosion de la société, et pas prioritairement à cause de la pandémie, je dénigrais notre époque où domine l'ignorance totale des leçons du passé prolétarien « noyé » dans la racialisation, l'islamisation et la judiciarisation des rapports de classes (judiciarisation des grèves par la CGT) ; on voit nettement cette judiciariation de l'information et des relations sociales « à l'américaine » avec les dénonciation à tout va de viols de personnages publics (saltimbanques et politiciens) qui s'apparentent plus à des règlements de comptes entre clans familiaux, vengeance de personnes demi-manipulées demi-consentantes, enfin scandales qui détruisent plus telle réputation plus qu'ils n'honorent une justice de toute manière inexistante. Les Tron et Duhamel, règlements de compte sordides entre membres de l'élite ? Comme l'inévitable présidentiable Strauss-Kahn dont on ne m'ôtera pas l'idée qu'il a été piégé-éliminé de la course
Voici
l'islamo-gauchisme à nouveau en une des querelles de bistrot des
places médiatiques. Les islamo-gauchistes font mine d'être surpris
et accusent le gouvernement de dénoncer sans preuve et « sans
scientificité ». Or, cela fait des années qu'ils font de
l'islamo-gauchisme, c'est à dire une politique démagogique à visée
de racolage électoral, et surtout de falsification de
l'internationalisme, alors qu'ils sont tous des partis à base de
politique chauvine une fois au pouvoir, en draguant non seulement
l'électorat disons issu du colonialisme, mais pire encore en
flattant les lamentables sectes islamistes, voire en les mettant sous
leurs ailes. La première preuve de l'islamophobie gauchiste est
toute simple, ils ont accepté sans sourciller l'invention du terme
islamophobie, qui est du même tonneau que untermensch, terme
indiscutable inventé par les nazis. C'est comme une insulte, comme
facho ou collabo, ça ne se discute pas, c'est même un ordre.Le pouvoir médiatique soutient totalement l'islamo-gauchisme
En novembre dernier, l'islamo-électoral Mélenchon avait demandé des preuves de collusion de la France Insoumise avec l'islamisme. On lui avait répondu : sa participation à la manifestation du 10 novembre 2019. Une manifestation co-organisée par des dissous depuis et notamment par le Collectif contre l’islamophobie, proche des Frères musulmans et cheval de Troie de l’islamisme politique. Tout ce beau monde se flattant de frayer avec les divers communautaristes et autres indigénistes. Du côté de l'élite universitaire qui dénonce la non scientificité des termes islamo-gauchisme, qui pourrait pourtant reconnaître la non-scientificité de la caractérisation du RN comme hitlérien, les complices de radio France ont tout de suite fait appel à Eric Fassin dont je dénonce depuis des années la vilenie politique et sociologique. Voici comment la radio officelle présente la chose, mettant en première ligne une ministre dont on ignorait jusque là l'existence :
« Frédérique Vidal a provoqué la colère d'une partie du monde universitaire. La ministre de l'Enseignement supérieur a été recadrée par l'exécutif après avoir annoncé, mardi 16 février, une enquête du CNRS pour réaliser "un bilan de l'ensemble des recherches" qui se déroulent en France. Après avoir pointé du doigt sur CNews l'"islamo-gauchisme", l'objectif de la ministre était de trier le bon grain et l'ivraie, de distinguer ce qui relève de la recherche académique et ce qui correspond à du militantisme ».
Il n'y a pas de preuve scientifique que la ministre ait été recadrée, sauf à savoir que la radio gouvernementale doit tenir un ton ambigu sur les sujets délicats, en l'occurrence l'effort pour la clique Macron de rameuter l'électorat Le Pen en faisant semblant de prendre en compte son reflet de l'opinion eu égard à la goujaterie et prévarication des milieux de « chercheurs » (avec nos impôts) où ces derniers ne cherchent rien de bien sérieux. Les roucoulades entre Darmanin et la mère Le Pen ont fait rire la France entière. C'est de bonne guerre, la compétition électorale est une affaire de mauvaise haleine. Eric Fassin, sans son frère, la joue victime, a-t-il si peur qu'il le dit ? En tout cas pas peur d'exsuder son cynisme habituel :
« Il s'agit d'une chasse aux sorcières ! Ce n'est pas un bilan des recherches, mais un tribunal de "l'islamo-gauchisme", comme l'annonce clairement Frédérique Vidal sur CNews. Or ce mot n'a rien de scientifique : c'est un slogan polémique venu de l'extrême droite. Certes, à l'Assemblée nationale, la ministre change de lexique et parle de "post-colonialisme", mais quand Jean-Pierre Elkabbach lui parlait sur CNews de "race, genre, classe", elle approuvait aussi. C'est tout et n'importe quoi ! Cela fait peur : (…) on comprend que nos maigres financements pourraient être menacés. C'est le spectre de la censure. Qui est visé ? Quiconque déplaît au gouvernement, ou à Valeurs Actuelles ».
Pas de problème, à tout reproche ce genre de fonctionnaire vous taxera de facho ou d'abruti de Marianne ou Valeurs actuelles. Soit. Ce qui ne m'empêchera jamais de penser, moi qui pensait être l'auteur du néologisme depuis des années que je l'utilise, de penser que l'xtrem gauche actuelle est plus dangereuse que le RN actuel ; dans les années 1930 c'est le nazisme qui était la principale menace (maiaspas la seule). L'islamo-gauchisme est bien plus dangereux pour le prolétariat que le RN, il est la dissolution en marche de toute conscience de classe : les Fassin et Cie qui portent haut les débilités de l'intersectionnalisme et du racialisme à l'envers ont été parmi les premiers sociologues à avoir décrété la fin de la classe ouvrière (française en tout cas).
Eric Fassin, à la suite de ses amis Hamon de la secte Génération S, Faure de la secte PS et Picketty de la secte des batteurs de femmes, a pris position, en tremblant face à la « chasse aux sorcières » ; tous ont assuré aussi avec l'islamo-socialiste Mélenchon que les termes islamo-gauchisme ne sont pas un concept scientifique ; Fassin non comme sociologue de boudoir mais comme victimologie gémit : « Le risque, c'est l'intimidation. Par exemple, j'ai participé avec une collègue, Caroline Ibos, à un rapport du CNRS sur la pandémie de Covid-19. Nous y avons parlé d'intersectionnalité. Pourquoi ? Parce qu'il est clair que, dans le monde entier, le coronavirus touche davantage les classes populaires et les minorités raciales ; et en France comme ailleurs, les soignants sont souvent des personnes appartenant à ces mêmes catégories. Est-ce que la ministre demande au CNRS de renoncer à en parler ? ».
Franchement si ce n'est pas une resucée d'ouvriérisme stalinien, je veux bien qu'un de mes lecteurs me le démontre... scientfiquement. C'est con comme la lune et hors sujet ! Justement le covid-19 montre qu'il n'y a ni classe ni.. frontières, que bourgeois comme prolétaires on peut tous y passer, que ce phénomène inattendu oblige à tout repenser en faveur d'un questionnement humain pour l'avenir de la planète humaine. Et ce chercheur surtout de subventions, après avoir nié le prolétariat, vient nous parler au nom d'un prolétariat plutôt musulman, plutôt arabe et noir, etc. C'est le déplacement sémantique pour ne pas dire tiers-mondiste sur le retour typique de tous les enfants ou petits enfants du stalinisme et du trotskisme. Il avoue de toute manière qu'il est bien un islamo-gauchiste pleurant pour que nous continuions à subventionner sa supercherie « scientifique »
« De quoi parle-t-on ? Moi, je travaille sur l'intersectionnalité, mais ce n'est pas la même chose que les études postcoloniales ou décoloniales. Admettons qu'on mette tous les savoirs critiques dans le même sac… Il n'empêche : cela ne représente pas beaucoup de monde, peu de financements, aucun laboratoire, aucun master ».
C'est en effet une minorité d'excités à mentalité totalitaire qui veulent faire la pluie et le beau temps dans les sphères de la misère intellectuelle. L'université française est devenue une des principales portes de Pôle emploi, doublée d'un enseignement débilitant et mensonger de l'histoire. Il est devenu coutumier à cette engeance de contrôler si tel exposant, tel cours est bien dans la ligne. La police de la pensée c'est eux. Ce n'est pas nouveau, le gauchisme après 68 ridiculisait déjà l'intérêt d'aller étudier dans les facs. Un ancien camarade de la Gauche Marxiste, Fanch m'a rappelé récemment qu'un de nos leaders, Poupoune, entrait dans les salles de cours, inopinément et criait « grève »... et ça ne marchait pas, mais les fous du maoïsme et du trotskisme faisaient de même, et c'est pourquoi nous les enfants d'ouvriers ont a fui ces enceintes à dingos... J'avais même théorisé le fait que les facs trostko-gauchistes servaient à sélectionner pour éliminer plus rapidement par l'éjection des fils de « prolos » pas plus bêtes que les autres pourtant...
Mais il y a pire, et c'est l'oubli des déclarations qui disqualifient les négateurs professionnels de l'islamo-gauchisme, en l'occurence Fassin soi-même. En juin 2011, critiquant l'ouvrage du collectif islamo-gauchistes emmené par les frères Fassin, j'avais noté ceci : « Les présumés ex-colonisés éternels, voyous odieux ou petits cons menaçants, ont droit à la compassion éternelle des sycophantes. La palme de la puanteur de l'islamo-gauchisme revient au sociologue Eric Fassin concernant les violeurs de Cologne : « A qui s'en sont-ils pris ? A des femmes allemandes blanches. Ils ne sont pas allés violer des prostituées. Cela donne un sens à leur violence » (p.428). Ce genre de connard n'est nullement interdit d'antenne pour des propos aussi répugnants ». Mais toujours considéré comme personnage respectable qui a tous les droits pour étaler la victimologie de son misérabilisme politique !
QUAND LA RACE PRIME LA CLASSE, le découplage bourgeois obtient une nouvelle fois la négation du prolétariat. Agitateurs gauchistes et chercheurs planqués s'arrogent cette étrange logomachie politique des cavernes qui les autorise à défendre la pire des religions arriérées au prétexte qu'elle plaît encore aux déshérités du monde entier, ou en partie, ou pas du tout. Ils dénoncent le colonialisme d'il y a un siècle mais oublient de dénoncer le colonialisme/impérialisme de l'Etat français en Afrique. De peur de perdre les subvenstions pour leurs recherches et affabulations troglodytes ?
Pourtant toute cette marmelade d'idéologies féministes sadiques, d'écologistes pitoyables et infantiles, de danseuses du ventre de l'islam, d'écriture inclusive et de n'importe quelle lubie à la mode, finit par chatouiller le prolétariat et au-delà. Je conserve une poignée d'amis universitaires de haut niveau, et non français, qui m'ont témoigné de leur dégoût devant les pratiques délétères de leurs collègues islamo-gauchistes français, comme d'ex-camarades au turbin qui se sentent étrangers à tous ces battages merdiatiques. Ces bandes, ces clones et clowns se ridiculisent de plus en plus en révélant qu'ils ne servent que leurs propres obessions ou fabulations hors de la réalité, quand même avec une ingénierie défaillante, l'Etat du libéral Macron gère la crise pandémique du mieux qu'il peut, hors des picrocholines dérives débiles des islamo-gauchistes, et il ne faut pas avoir peur de le constater, d'une manière plutôt « socialiste ».
La vanité et surtout vacuité de l'islamo-gauchisme demande une réflexion plus approfondie sur ce qu'est devenue la fonction d'opposition à l'Etat à l'époque moderne, opposition du même ordre, morale bourgeoise au nom de tous, chantage au fascisme disparu comme si l'antiracisme était devenue la méthode scientifique pour contester l'ordre capitaliste. Or l'islamo-gauchisme est totalement hors du prolétariat, est nuisible au prolétariat, mais parce qu'il est porté par des couches intermédiaires qui méprisent le prolétariat. J'y consacrerai une analyse approfondie à partir de l'oeuvre de l'historien Paul Bénichou – non reconnu par notre establishment universitaire bureaucratique – qui a analysé les acteurs du champ de bataille du pouvoir au 17 ème siècle. La configuration des forces antagonistes était assez semblable à ce que nous vivons, la majorité reste spectatrice quand des larrons en foire se croient les rois du monde :
« Pendant toute cette époque, la rébellion politique fut avant tout le fait de la haute noblesse. C'est aussi vrai dans la littérature que dans la réalité ; ici comme là, ce sont les grands qui ont maille à partir avec les rois, et qui contestent les maximes de l'absolutisme (…) La bourgeoisie ne prit qu'une part timide à l'agitation contre la royauté ; dans la Fronde parisienne, elle ne se souleva un instant contre la cour que pour regretter bien vite son insubordination et manifester à nouveau un loyalisme actif ». (Morales du grand siècle, page 69).
ANNEXE
RAPIDE SURVOL et extraits DE QUELQUES-UNS DE MES ARTICLES DENONCANT L'ISLAMO-GAUCHISME
vendredi 30 octobre 2020
LES SINGERIES DE L'ISLAMO-GAUCHISME
(…) On ressort la vieille quincaillerie immigrationniste des belles années de la reconstruction et même des années 1980, où le capitalisme était quand même en meilleur état, où il n'y avait pas un projet de généraliser la charia en Europe, même de la part des ayatollahs, et où les idiots utiles de l'islamo-gauchisme n'avaient pas encore remplacé un internationalisme, plus ou moins marxiste, par cette merde de décolonnialisme raciste, qui n'est autre que la resucée de la vieille fausse conscience bourgeoise qui nie l'histoire (cf. Gabel). Tiens en voilà un qui va nous éclairer hors des plateaux télé.
A la suite de Lukacs, Gabel pense que la connaissance de la vie sociale et historique n'est pas science, mais conscience, ce qui est totalement antinomique aux conceptions staliniennes et trotskiennes qui ont inventé un marxisme « scientifique » ; un acte de foi immanente qui n'est d'ailleurs que chapelet de leçons de morale : antiracisme, obsession du fascisme disparu, humanitarisme immigrationniste, etc. C'est dans la dialectique individuelle de l'intégration sociale que l'individu peut chasser les fantômes mystiques et se sentir étranger à l'oécuménisme abstrait des curés de l'Xtrem gauche bourgeoise. Pour le vrai marxisme, comme méthode, la conscience est déterminée par l'être et non pas l'avoir. Mais Gabel se refuse à faire porter sa dialectique sur une position « privilégiée » du prolétariat, et récupère la catégorie confuse de totalitarisme.
(…) En conclusion, et cela je vais être amené à le développer plus souvent et plus longuement, l'opposition factice GOUVERNEMENT/ ISLAMISME – indépendamment de cette guerre de faux-culs à laquelle l'islamo-gauchisme participe tête baissée en introduisant un autre larron, comme possible outsider, le RN mais côté gouvernement (LO met plutôt le RN avec les islamistes) – est grossière mais sous-estimée. Elle sert d'une part à signifier qu'il y aurait un bon, le gouvernement, face à des méchants, les islamistes. Elle peut servir à recouper ou recouvrir qu'il n'y aurait comme alternative que le monde actuel ou la barbarie islamiste. On laissera de côté les plus stupides islamo-gauchistes et les plus compromis, ce pour quoi ils sont en train d'éclater, le NPA qui lui imagine la classe ouvrière aux côtés des islamistes contre le « gouvernement facho ».
- mercredi 21 octobre 2020
Les porteurs de valises islamo-gauchistes et l'amalgame islamiste
(…) LES TRIBULATIONS DE PADAMALGAM
Jacques Julliard m'a précédé dans la caractérisation de cette vielle notion passe-partout usée et archi-usée par tous les bords politiques, au point qu'on soupçonne presque automatiquement celui qui l'utilise, de se cacher derrière. Dans Marianne en septembre 2016, il posait le lieu de la principale mouvance réactionnaire :
« D'ordinaire, ce parti est d'extrême droite et se confond avec la réaction. Aujourd'hui, il est d'extrême gauche. C'est le parti du «pas d'amalgame» à tous crins ; du «vivre ensemble» à tout prix ; de «la faute aux cathos» quand les islamistes égorgent ; c'est le parti de la minimisation («quelques actes isolés sans signification»), de la psychiatrisation («une poignée de déséquilibrés»), de la contextualisation («des victimes du racisme ambiant»), de la diversion («les fruits du colonialisme»), de la banalisation («le burkini est un vêtement comme un autre»). Tout est bon pour suggérer que ces crimes ne sont pas des crimes, mais des conséquences. Quand la France connut en 1940 les jours les plus noirs de son histoire, le parti de la soumission, avec à sa tête le maréchal Pétain, ne trouva qu'une explication : la France est dans le malheur parce que la France est coupable ! Coupable du Front populaire, coupable de son esprit de jouissance, coupable de son esprit d'insubordination ».
Cet aimable journaliste bourgeois a ses propres références limitées, et gauche rose bonbon, limite chauvin. Il est plus intéressant de souligner que les islamo-gauchistes, pâles élèves de leurs parents staliniens, savent surtout pratiquer l'amalgame, et à fond la caisse, et systématiquement, ce qui est la meilleure technique, comme nous le disions au début de cet article, d'empêcher de penser. Voyons voir...
Un œil légèrement embué, car le prof assassiné fait partie de la confrérie les plus ergoteuse dans tous les partis politiques et esprit syndical corporatif oblige. Il ne faut pas se couper de l'indignation générale et justifiée des enseignants et mettre un bémol au gadget islamophobie. L'islamo-gauchisme a adopté le profil bas. Le minimum syndical, LO et NPA chuchotent : « Pas d'amalgame ! ». Le type a tué et décapité au nom d'Allah, mais c'était un mauvais croyant, il ne faut pas « essentialiser » (= rendre essentiel ou généraliser) ; ce serait du seul domaine du « fait divers ».
Le 11 décembre 2015, un mois après les attentats, un meeting « Pour une politique de paix, de justice et de dignité » rassemblait à Saint-Denis les groupuscules islamo-gauchistes des sections syndicales, des représentants de la Ligue des Droits de l’Homme, autour des collectifs décoloniaux, du Parti des Indigènes de la République, du CCIF, des universitaires militants, etc. L’invité d’honneur était le violeur Tariq Ramadan. Entre deux motions de soutien à la Palestine, on dénonça une justice d’exception et une police raciste. On retrouvera plusieurs des orateurs, dont certains ont des liens directs plus ou moins avoués avec la mouvance des Frères musulmans pour, soi-disant, lutter contre le racisme et les préjugés, C'est à dire bénéficier de financements publics du gouvernement « anti-raciste ».
- lundi 26 octobre 2020
DE LA NEGATION DU PROLETARIAT A L'ATTENTAT INDIVIDUEL ISLAMISTE
- vendredi 23 octobre 2020
Les agents trotskistes de l'islam
- lundi 23 novembre 2020
AUX ORIGINES DE L'ISLAMO-TROTSKISME
(…) Vous ne trouverez pas le compte-rendu de la présence du NPA en 2003, (parce qu'il est encore dans les limbes, il naîtra en 2009), mais sa maman la LCR est bien là à l’occasion du Forum social européen de Saint-Denis. Des centaines d’ONG, des dizaines de milliers de militants sont réunis lors de ce grand rassemblement altermondialiste. Mais c’est la présence d’un homme qui va créer à elle seule la polémique : le théologien musulman Tariq Ramadan, invité à débattre avec José Bové, de la Confédération paysanne, et Daniel Bensaïd, de la Ligue communiste
révolutionnaire. Vous ne retrouverez pas la photo de Bensaïd aux côtés du justiciable Ramadan, devenu la honte des féministes bcbg du NPA1.
Vous ne trouverez pas plus le compte rendu ni les clichés de ce qui s'est passé le vendredi 6 mars 2015 à la Bourse du travail de Saint-Denis. L’appel à tenir meeting « contre l’islamophobie et les dérives sécuritaires », avait été signé par 88 associations (et relayé par Mediapart). La salle était pleine avec un public, genre jeune lycéen éduqué, des keffiehs et un certain nombre de femmes voilées, plus quelques tee-shirts « Va t’faire intégrer » ou « Free Palestine ».
Les organisateurs : l’UOIF (Union des organisations islamiques de France), Oumma.com, le collectif Mamans toutes égales et l'organisme louche, pas encore déniaisé, le CCIF (Comité contre l’islamophobie en France). Les associés : le NPA, Attac, le Syndicat de la magistrature, Alain Gresh du Monde diplo, l’Union juive française pour la paix, le PCF, le FDG. Au centre l'oecuménique jeune Parti des indigènes de la République, qui préside en sous-main la soirée. EELV s'était intelligemment retiré de l'invitation à cette sordide rencontre de faux-culs.
Je concluais : « Avec cet article, j'ai voulu montrer le visage de tous ces idiots utiles de l'islamisme, non pas un aveuglement par rapport à des crimes innommables ni un simple déni, mais une complicité politique inadmissible, pour lever le voile sur cette gauche avilie par l’islamo-gauchisme. Il y aura un avant et un après Samuel Paty dont l'islamo-gauchisme ne se relèvera pas indemne. Bon courage vous les profs pour la rentrée du 2 novembre. Courage aussi aux élèves qui apprendront à résister à l'islamo-gauchisme sans baisser la garde et sans céder au chantage au meurtre ».
(…) Avec l'Adresse de la CGT au monde du travail, et les autres communiqués en compagnie du NPA, qui doit croire avoir supplanté le PCF, on s'aperçoit que l'idéologie islamo-gauchiste vient faire de la lutte de classe un combat anti-raciste stérile, qui vient plus sûrement opposer ouvriers « blancs » contre ouvriers musulmans. Pourtant l'auteur de l'article cite le passage de l'appel du syndicaliste (arabe) CGT qui contient pourtant la merde susdite : « Après l’effroyable assassinat de Samuel Paty et les attentats de Nice, des positionnements politiques qui cumulent les amalgames, la stigmatisation des musulmans et les remises en cause de l’État de droit se multiplient. On ne défend pas la République en la vidant de ses valeurs ! » .
Un syndicrate trotskiste arabe qui se prétend révolutionnaire en défendant les « valeurs » de la République bourgeoise !
- mercredi 13 janvier 2016
Badiou et sa résurrection de Lazare Staline
(…) Je ne cesse depuis longtemps de souligner que l'islamisme mondialiste est venu suppléer à la carence du stalinisme, mais pas pour tout le monde. Deuxième invention du maoïste Badiou : l'islamo-terrorisme viendrait « offrir à la jeunesse mondiale, frustrée par un capitalisme qui ne tient pas ses promesses, une alternative idéologique ».
Certes cette alternative mobiliserait selon des chiffres douteux de sociologues islamo-banlieusards environ 30% de jeunes français de souche et de toutes classes sociales, mais qu'on me permette de douter qu'elle constitue une séduction crédible à la majorité des prolétaires musulmans ou non, en France ou ailleurs, jeunes et vieux. Qu'on me permette de douter que l'attirance pour un soi-disant instinct de mort puisse véritablement prendre la place de l'ancienne volonté de transformer un monde pourri par le capitalisme. Qu'on me permette de rappeler que la plupart de ces engagés sont d'anciennes petites racailles et que leur « révolte » est celle d'un lumpen plus intéressé à profiter des besoins inventés par le capitalisme qu'à aider l'humanité à retrouver ses véritables besoins, plus proche de la destructivité nazie que de la vraie révolte contre toute la machinerie capitaliste du hautain chef d'Etat capitaliste qui fait bombarder à distance comme des services secrets turcs ou saoudiens qui envoient des pauvres types au casse-pipe.
Et en remontant dans le temps
- lundi 27 novembre 2017
La résistible ascension du racialisme, du féminisme et du nazislamisme gauchiste
- jeudi 1 septembre 2016
CONTRE LE BURKINI
LAICITE, EXTREME GAUCHE, LUTTE REVOLUTIONNAIRE
par Eric Aucordier (mais oui bon article de cet olibrius avant qu'il ne devienne irréméiablement taré)
LES INSULTES rétro-bobos DES "malgré nous" AYATOLLAHS GAUCHISTES CONTRE UN "ROUGE-BRUN"
- vendredi 2 janvier 2015 : là c'est moi qui suis traité de facho.
L'HYSTERIE DES COLLABOS ISLAMO-GAUCHISTES
- mercredi 28 octobre 2020
Mélenchon 5ème colonne de Erdogan ?
(…) la culture stalinienne de l'oubli. On a pu lire un édito sur RTL qui résume à peu près la honte qui a saisi le politicien Mélenchon :
«Le leader de La France Insoumise ne supporte pas le procès en islamo-gauchisme que lui intente le gouvernement. Un procès qui était plutôt lancé jusque-là par Marine Le Pen. Et c’est vrai aussi que l’accusation d’islamo-gauchisme est portée sans aucune nuance par les ministres Gérald Darmanin et Jean-Michel Blanquer. La France Insoumise serait quasiment devenue co-responsable de l’attentat immonde de Conflans-Sainte-Honorine. Mais la réaction de Jean-Luc Mélenchon montre que ces membres du gouvernement ont touché un point sensible. Est-ce qu'il y aurait une ambiguïté de la France Insoumise avec l’islamisme ? Oui… Jean-Luc Mélenchon demande des preuves. Il y en a une. Même s'il s'en défend : sa participation à la manifestation du 10 novembre 2019. Une manifestation co-organisée par des infréquentables et notamment par le Collectif contre l’islamophobie, proche des Frères musulmans et cheval de Troie de l’islamisme politique.l y a aussi dans les rangs de la France Insoumise des communautaristes et autres indigénistes que Jean-Luc Mélenchon accepte sans problème ».
Un autre prof aurait dû être égorgé avec la même indifférence de ses collègues, il s'appelle Robert redecker :
« Note sur Robert Redeker : dont je n'ai pu lire tout l'article qui est payant sur Le Figaro et qui m'a agréablement surpris : « L'antifascisme de confort est de retour. Il l'est dans les médias, il l'est sur les réseaux sociaux, il ne l'est pas au café du coin. Il l'est dans des groupes humains bien intégrés, bien protégés. Il ne l'est pas dans les classes populaires qui fournirent jadis l'essentiel des troupes de l'antifascisme, quand la chose était dangereuse. Il l'est du côté des éternels donneurs de leçons à la vie facile, il ne l'est pas du côté de ceux qui souffrent. La force du FN tient à avoir réussi à se faire passer pour la voix de ceux qui souffrent, la voix vivante du peuple. Un post revient de façon récurrente sur Facebook et Twitter insistant sur le faible niveau de diplôme des électeurs du FN. Ce courrier, présenté sous la forme d'un tableau statistique, complète cette information par la ventilation des électeurs selon les catégories socio-professionnelle (les CSP).C'est la gauche désormais ... ».
- mardi 1 septembre 2020
Danièle Obono une esclave de la bourgeoisie islamo-gauchiste
(…) une gauche bourgeoise qui se couche devant toutes les nouveautés islamo-compatibles. Je rappelle aussi comment la bande à Adama a jugé avec mépris l'égorgement de Samuel Paty.
- jeudi 15 janvier 2015
LES CHINOISERIES D'UNE RELIGION A VOCATION... STALINIENNE
L'islamisme radical un héritier du stalinisme plus que du fascisme
- dimanche 26 juin 2011
CRISE DE LA PETITE BOURGEOISIE ET OSTRACISME DE CLASSE
DE LA QUESTIONSOCIALE A LA QUESTION RACIALE est un ouvrage collectif sous la direction des frères Fassin qu’il faut néanmoins lire absolument (poche La découverte 2009).
Cette poignée d’intellectuels coalisés prétend s’ingénier à démontrer que la question sociale est aussi une question raciale. Certes. L’analyse est complexe et fouillée mais se situe entièrement hors du marxisme, comme dans le cas de ce pauvre Wieviorka, et de la conception de la classe ouvrière comme révolutionnaire. Ils adoubent l’article de 1995 de la philosophe nord-américaine Nancy Fraser : « On serait passé d’un combat contre l’inégalité économique à une lutte pour la reconnaissance de la différence » (p.257). Ce nouveau paradigme de la reconnaissance aurait eu lieu grâce à une relecture de Hegel…
Révélons d’emblée que dans sa conclusion le maître d’œuvre frère Fassin donne une explication partielle qui n’est pas accompagnée par une remise en cause argumentée de l’idéologie multiculturaliste nord-américaine conjuguée à la sauce antiraciste par la gauche oligarchique et ses petits gauchistes et anarchistes humanitaires (...)
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