Présenté
par David
Pujadas,
accompagné d’Yves Thréard, ponte du Figaro,
et d’un journaliste de RTL, Gilets
jaunes: la grande explication mettait en présence une brochette de
ministres secondaires, de larbins divers du despote de l'Elysée face
à six porte-voix des gilets jaunes.
Une des voix de son maître, avait fait savoir que Emmanuelle Wargon,
secrétaire d’Etat à la Transition Ecologique et solidaire,
apporterait les réponses du gouvernement au cours de
l'émission. Je ne prends que quatre réactions avant de résumer ce
qui s'est passé et d'afficher mon avis.
-
Excellente émission !!!! Les politiques en ont pris plein la figure
et les gilets jaunes que nous soutenons ont été dignes et exprimé
ce qu'ils avaient au fond du cœur !!!!!! Je pense que ça va barder
samedi dans toute la France et nous seront là avec eux !!!!!!!!
-
Les élites de certains pays européens étaient présents sur le
plateau pour nous dire que nous français, nous devons être heureux.
Quelle honte. Mais que faisait ce producteur de spectacle sur le
plateau, scandaleux, encore un bien dans sa vie, son seul slogan, les
autres n'ont qu'à crever ! Aucune réconciliation possible avec ce
genre de personnage.
- Dumontet, Goupil, Fesneau, LAMENTABLES SOUTIENS DE "LE ROI EMMANUEL MACRON" (LREM)qui sont venus pour descendre plus bas que terre des gens honnêtes et non politisés, j'ai vu des manifs où les forces de l'ordre forçaient les manifestants à agir et les précipiter dans des embuscades profitant au pouvoir!
- Je pense que Mme O'Petit député de l'Eure très agressive car elle doit s'en prendre plein la tête dans sa circonscription. Mais il me semble qu'elle l'a voulue cette place donc elle assume. Les députés LE REM essaient d'enfumer les gilets jaunes. Je ne parlerais pas de ce Goupil qui a fait mai 68 et qui vient se permettre de donner des leçons de moral, qui dit que les gilets jaunes sont anti démocratiques et vient dire à un gilet jaune de se taire. Qui sont ces bobos parisiens comme ce producteur de spectacles qui sont invité ! Manipulation.
Dans ces réactions de spectateurs sont contenues une grande partie
des indignations que nous prolétaires ressentions face aux
humiliations ininterrompues à laquelle se livre, même si elle ne
peut naturellement pas faire autrement de par sa nature de classe
exploiteuse, l'élite bourgeoise antiraciste de salon, antifasciste
d'opérette et millénariste écologique. Le salon de Pujadas avait
le mérite d'opposer deux mondes étrangers l'un à l'autre, two
nations comme disait Marx en débarquant à Londres, deus langages
différents ; d'un côté le mépris total, de l'autre une
expression vivante, passionnée et encore trop aimable de la révolte
ouvrière, que la dictature médiatique s'obstine à nommer classe
moyenne ; mais c'est déjà mieux qu'ils utilisent le terme
classe, et moyenne sert à éviter de montrer trp clairement le
mépris que ce terme sous-entend : basse classe, autrement dit,
comme les experts sont chargés de le répéter : couche
périphérique abandonnée. Deux armées se faisaient face : six
prolétaires jeunes et à qui on ne la fait pas, et une sélection du
multiculturalisme mondialiste macronien.
C'EST AU PIED DU MUR QU'ON VOIT LES TRAITRES
Un rebellocrate, rangé des voitures brûlées de 68, Romain Goupil,
ancien trotskiste, barbon à tête de flic, s'en particulièrement
distingué en exsudant toute la haine des possédants, en tutoyant
ces êtres inférieurs, en aboyant bien que tenu en laisse par
Pujadas et les ministres. Les autres chiens de garde du roi, élus
par effraction en 2017 pour renouveler un système politique
bourgeois à bout de souffle, n'étaient eux que des recyclés des
partis traditionnels, anciens commerçants au langage populiste et
aussi haineux que le rebellocrate Goupil1.
Goupil donne bien l'image lamantable et servile de l'aboutissement du
gauchisme réformiste radical et de l'ultra-gauchisme bobo du NPA au
CCI qui ignorent également avec dédain cette révolte de masses de
« gilets jaunes », qu'on continue à nommer ainsi, alors
qu'elles sont pourtant composées essentiellement d'ouvriers,
d'employés et surtout de nombreux retraités qui trouve là un moyen
d'exprimer leur révolte autrement sérieusement que dans les
promenades gériatriques syndicales. Il y a aussi des petits
bourgeois dynamiques (je pense au barbu du Jura, entrepreneur) qui
font totalement partie du mouvement et leur apportent généreusement
leurs capacités personnelles ; je le précise contre tous nos
silencieux bobos d'ultra-gauche, mais pas de ceux qui prendraient un
risque à mettre une cagoule, et qui ont toujours imaginé une classe
ouvrière étanche.
Jamais on n'eût même à l'époque de mai 68 un tel débat, mettant
aussi en évidence la fracture des classes, quand bien même les
« plébéiens » étaient sans cesse traités comme moins
que rien, confus et « protéiformes ». Pourtant c'est
bien cet aspect protéiforme qui les rend forts, et cette
détermination farouche qui fait que les flics idéologiques de
Macron ne savent pas par quel bout les ficeler. Ils sont divers et
inattendus dans leur accoutrement : les femmes sont joiles et
intelligentes, les gars gardent casquette, barbe et sourire éternel
au coin des lèvres, et, plus étonnant ne s'énervent jamais, sauf
l'entrepreneur du Jura mais parce que c'était justifier et avec une
colère froide, contrôlée contre les insultes du flic Goupil et le
langage des technocrates.
Toute l'élite antiraciste bourgeoise était là. Inutile d'étaler
les ridicules de la charitable ministre qui demandait à Ingrid
d'acheter une bagnole neuve alors qu'elle ne dispose plus que de
vingt euros à la fin du mois. La médiacratie tangua soudain face à
la question troublante à la ministre : combien gagnez-vous
après que l'on ait vu le salaire misérable d'Ingrid. Que de rond de
jambes pour finir par savoir qu'un serviteur de base de Macron
dépasse les 7000 euros, tout cela vaut bien de se mettre à quatre
pattes, n'est-ce pas Goupil, vieux renard du gauchisme bourgeois ?
Le défenseur des animaux, Bougrain-Dubourg sembla vouloir défendre
ces « braves gens » en estimant « qu'on ne fait pas
d'écologie le vendre vide », avant d'aboyer avec les autres.
Mais ces étonnants prolétaires, car il faut bien les nommer comme
membres de cette classe marronée, en se fichant de la messe
écologique bourgeoise, avaient aussi des arguments confondants pour
leurs donneurs de leçon de morale élitaire. Pour extraire
matériaux, comme les terres rares en Afrique, il y a plus grave que
la pollution, la surexploitation des enfants pour que les riches en
Europe roulent avec une voiture électrique aussi polluante (et
individualiste) qu'avec les autres sortes d'énergie ; ce à
quoi la pauvre ministre répondait : inondations, incendies en
Californie, qui ne sont que constats du pompier de service.
Puis les chiens de l'ordre macronien, choisis chacun dans sa
catégorie aboyèrent à tour de rôle. On mentionnera juste pour le
fun la liste des corrompus :
- la petite commerçante, Mme O'Petit – le nom ne s'invente pas – donc O petit commerce, comemerçante donc promue députée, à peu près du niveau moyen des godillots macronesques, qui avait promis de « se faire » les gilets jaunes, et qui fît pitié ;
- le collabo noir de service, jeté là comme représentant du multiracialisme macronien, dont le
ce ne sont pas nos camarades de la Réunion - Goupil fût le plus hystérique – que ne ferait pas un ancien gauchiste pour lécher le maître et qu'il lui accorde des faveurs qui l'élève au-dessus de la niche – vous êtes un mouvement adémocratique (terme élitaire) sans notre bon assembléisme en 682, partout vous avez des insultes hyper-racistes... ; Eric le premier délégué envoyé chez Rugy, et qui ne participa pas partiquement au débat (par timidité ou dégoût) le recadra pourtant gentiment : « vous faites le jeu des médias » ; le barbu du Jura se ficha de la gueule du vulgaire Goupil et de son accusation de racisme, et sans se départir de son humour « oui nous sommes tous des terroristes » et « cessez de me tutoyer » ; sans oublier le barbu roux avec sa casquette de travers qui fût le principal interlocuteur avec Ingrid, la petite brune et Jacline (très posée et convaincante). Tous faisaient des réponses inelligentes et décrivaient de façon si émouvante leur situation qu'on voyait parfois la rangée des bourgeois et des valets de Macron bouche ouverte et yeux écarquillés. (la langue du pauvre Goupil fourcha, révélant la base de la cuisine multiculturaliste des flics télévisés, il dit « gilets roses » au lieu de gilets jaunes et de la voix forte de n'importe quel premier flic de France, il tonna à un moment : « c'était une manif non autorisée contre les CRS », puis à un autre « c'est incroyable il y avait une intention de marcher sur l'Elysée » !). Ce Goupil n'est pas un renard très futé.
- Le deuxième député présent, Ramos, faux-cul de première de la bande à Bayrou, réussit à se faire applaudir par les prolétaires, avec un discours qui mêlait soutien moral et exigences fiscales ;
- le plouc de service, qui sert de porte-plume au Figaro pour dénoncer les élites antiracistes, Mathieu Bock-Côté se révéla comme à côté de la plaque en expliquant qu'il s'agissait d'un particularisme à la française, il apparut pour ce qu'il est vraiment : un beauf canadien inculte ;
- venant remplacer la ministre Wargon qui avait fait pâle figure, son collègue Marc Fesnau fût encore plus navrant et impuissant sauf à rappeler le « vote révolutionnaire de 2017 ».
- Un certain Arrnaud de Montchalime, serviteur macronesque lui aussi, rappela ce qui émeut toujours le peuple, qu'il avait eu faim et que sa mère était infirmière.
- Des sous-titres décrédibilisant les gilets jaunes défilaient à l'écran pendant la confontation, ah que le subliminal est sublime dans sa bêtise !
- Le jeune roux avec sa casquette nous faisait penser que les roux sont souvent à l'avant-garde par sa pugnacité tranquille reléguant Cohn-Bendit aux vieux roux compromis et vendus à l'occupant capitaliste, il faudrait citer toutes ses interruptions pour leur lucidité et fermenté : « je suis abasourdi par votre bla-bla » ; et il eût cette envolée : «On maintient le cap ! ...Vous maintiendrez finalement que NOUS on reste au fond ! M.Macron est Grand et Fort ? Marron est le roi, il est avec les Nobles, il n'est pas venu ce soir. En nous ignorant, il ne fait que gonfler, gonfler, gonfler le problème. E.Philippe a dit aussi, on ne donnera pas un coup de pouce ! ».
- Il ne manquait plus que le photographe de l'idéologie écologiste interclassiste, Arthus-Bertand qui exhala sa mauvaise haleine d'élite puante : « nous on se bat pour des choses un peu plus haute ».
- Jacline les laissa tous pantelants et incapables de répondre : « et si on mutualisait les achats de barils de pétrole ? ».
- l'excellent Thomas Porcher3, bien que membre de l'intelligentisia écologiste et proche de Mélanchon, fût toujours pertinent même s'il n'est pas vraiment avec les ouvriers : « pourquoi toute la transition écologique repose sur le consommateur ? ».
Pujadas reste piloté par l'Elysée pendant toute cette émission qui
fait évidemment un carton sur les ondes. Jamais on n'avait vu jadis
une émission où, malgré une invitation fixe, les intervenants
gouvernementaux ne pouvaient être remplacés. Mais là, comme pour
un match de foot on voyait arriver des « remplaçants »
qui n'étaient pas là depuis le début. Aussi vit-on arriver
l'arrière latéral droit, pas un M'Bappé, mais un vulgaire Rabiot,
l'animateur des spectacles de Chirac passé producteur de clowns
macroniens, un certain Dumontet4
qui se démonta très vite. Le collabo débarqué fissa pour tenter
de sauver la fragile embarcation étatique à 23H15, fût incapable
de récupérer le ballon et ballot déclara à l'arbitre complice
Pujadas penaudement : « on veut diaboliser le
gouvernement », « la colère ne sert à rien »,
« arrêtez avec vos théories complotistes ».
Les gilets jaunes pouffaient et nous aussi. Le jeune roux dit,
laconique dans son pauvre l'angage d'ouvrier en CDD : « Macron
est un arriviste ». Ingrid ajoutait sans se démonter :
«j'ai voté Macron et je m'en excuse ...en nous ignorant vous
gonflez le mouvement et, ne vous méprenez pas, on ne veut plus
mendier ». La brunette s'emporta : « vous nous
faites marrer avec vos 20 euros par ci 20 euros par là, on fait quoi
avec ça ?
Sur la polémique sur les casseurs membres de l'ultra-droite, Pujadas
nous fit vraiment plaisir : « la plupart étaient des
gilets jaunes », sachant que ce n'était pas non plus pour les
blanchir.
Dernière contre-attaque après l'échec du zozo du monde du
spectacle qui reste très dépendant du pouvoir, le barbu du Jura
avait fort bien fermé la bouche au Dumontet démonté : « vous
les gens du spectacle vous êtes payés par l'argent public ».
Un bonze de Doctissimo – la révolte est-elle une maladie à
guérir ? - un certain Laurent Alexander, envoyé en remplaçant
arrière gauche en fin de partie, prit un ton de docteur autoritaire
pour, avec ce ton indigné préparé à l'entrainement, pour soupeser
les « chances de la France dans la compétition économique
mondiale », vanter la compétitivité de NOS entreprises
négligée par l'Etat. Lorsque la caméra passait sur les visages des
prolétaires en gilets, on voyait la moue ou les secouements de tête.
Tout le discours montebourien voire chevènementiste était pourtant
détruit par notre étonnant rouquin à casquette : « oui
on voit bien que ça ruisselle de milliards, et çà vous côuterait
quoi de plus de nous redonner 300 euros de plus par mois ? ».
Pujadas donna ensuite la parole aux représentants de l'étranger,
c'est à dire aux mêmes crevures des élites mondaines italienne et
anglaise qui tentèrent d'inscrire l'avenir en gilet jaune dans la
même daube que le mouvement cinq étoiles, mais c'est le journaliste
italien qui ressemblait le plus au clown Beppe Grillo (grillé avec
son collègue d'extrême droite) avec cette saillie très class :
« les français sont les champions du monde de
l'Etat-providence », variante des « gaulois
rouspéteurs » ; le bellâtre italien se fit rhabiller par
notre robuste jurassien : « on est surtout champions du
monde des prélèvements obligatoires »
La bourgeoise britannique fut encore plus ridicule : « attendez
trois mois, c'est rien et pour recevoir les subventions auxquelles
vous n'evez pas droit ». En gros ces deux journalistes de
l'élite mondaine souhaitaient faire croire que les peuples européens
n'étaient pas comme ces typiques français des bordéliques, quoique
nous sachions par-dessus ces larbins que les prolétaires européens
collés à leur écran jouissent de la « jacquerie » et
ne rêve que de l'imiter.
La conclusion confiée au sinistre Thénardier du Figaro fût
empreinte de cette condescendance pour les pauvres en salaire et en
langage – il s'excusa d'avoir usé du mot codicille – il évoqua
les invisibles mais enfin on ne change pas la France en 18 mois (on
n'est pas loin de la promo du grade deux de la légion d'honneur), il
faut un moratoire (discussion entre experts et autorités
syndicales), l'écologie s'est imposée comme la référence
fondamentale, il faut réduire a voilure de l'Etat car il y a
beaucoup trop de fonctionnaires. Une conclusion qui ne reprenait
aucun des termes de la confrontation mais les soucis des larbins de
droite du Figaro. Dernière génuflexion de Pujadas : « merci
aux ministres d'avoir eu le cran de venir ». Il leur en fallait
du cran pour venir dans leur propre salon. On ne remarqua point
qu'ils étaient en sueur à la fin du match. On avait oublié les alertes successives de Jacline en vue de la situation très dangereuse "qui vient".
NOTES
1Le
bobo Goupil est membre du Cercle
de l'Oratoire
qui
a donné naissance à la revue d'orientation néo-conservatrice Le
Meilleur des mondes.
Dans un autre livre toujours co-rédigé avec Pascal Bruckner et
d'autres personnages complices dans les milieux de l'élite réac,
il exprime son soutien en faveur d'une intervention militaire contre
l'Iran, à travers le Comité
de soutien français au Mouvement des étudiants pour la démocratie
en Iran.
Pour une biographie plus complète de ce chien de garde belliqueux,
ancien conseiller de Coluche, wikipédia et
http://www.revolutionpermanente.fr/Romain-Goupil-De-militant-de-Mai-68-a-chien-de-garde-de-Macron
2En
effet le culte des AG de bla-bla fût une des caractéristiques du
mai 68 emmené surtout par la petite bourgeoisie estudiantine, même
si la classe ouvrière a brièvement montré sa force plus que son
intelligence politique. Le mouvement des gilets jaunes souffre plus
la comparaison avec juin 36 qui fût en effet plus ouvrier que 68,
comme tant de vieux de la vieille du maximalisme me l'ont souvent
répété. Souvent les mouvements révolutionnaires n'ont pas besoin
de délégations formelles pour se déployer au début, c'est une
règle acquise par nous depuis 50 ans de trahisons des syndicats et
des gauchistes : une oragnisationite trop empressée est en
général celle des récupérateurs en tout genre qui veulent faire
avaler leur pédagogie pour se mettre devant. CF. l'ex classique de
Noske en Allemagne en 1918 contrôlant finalement des ouvrièrs et
toutes les grèves syndicales et gauchistes en France depuis 50 ans.
3
Habitué des médias, il est membre du collectif Les
Économistes atterrés.
il fait partie des économistes les plus suivis sur Twitter
au niveau mondial. Il se place 38e sur 1 068 économistes
recensés.
4Jean-Marc
Dumontet,
né le 17
février
19661
à Bordeaux,
est un producteur français de spectacles et de théâtre. Il
possède Le
Point-Virgule,
Le Grand Point-Virgule, Bobino,
Le
Comédia
et, en association avec Laurent
Ruquier,
le Théâtre
Antoine.
Il est notamment le producteur des humoristes Nicolas
Canteloup,
Alex
Lutz
et Bérengère
Krief. Il a animé un meeting de Jacques
Chirac devant 15 000 personnes à Bordeaux. Lors
de l'élection présidentielle française de 2017, Jean-Marc
Dumontet soutient Emmanuel
Macron
dont il vante la « modernité » et l'« audace
folle ». Il s'interroge dans le journal Le
Point,
s'il n'y a pas « du Bonaparte
chez ce candidat ». Pour lui, ce qui sous-tend le candidat
d'En marche ! serait « révolutionnaire ». Dumontet
conseille le candidat pour ses meetings (mise en scène, langage
corporel...)11.
Il ambitionnerait de devenir son ministre
de la Culture.
Ce trouble personnage n'est que l'expression du milieu artistique
totalement complice de l'idéologie de cabaret antifacsiste et
antiraciste, rétribués par les offinces indirecte de l'Etat (comme
cette merde de canal + qui a initié dès les 80 la vogue de
l'ouvrier beauf et raciste avec Charlie Hebdo). La sanction est là,
en 2017 la majorité des ouvriers ne vont plus au cinéma, ce cinéma
idéologique bourgeois qui ne traite que des sujets pour bobos
prétentieux !
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