fan de tsar! soif de prières anti-communistes! |
(Les contorsions
grotesques de Loupiat II et ses iconneries)
"Le père Coughlin qui, apparemment, essaie de démontrer qu'une morale idéaliste n'empêche pas l'homme d'être le plus grand des coquins, a déclaré à la radio que, par le passé, j'ai reçu de la bourgeoisie juive des Etats-Unis d'énormes sommes d'argent destinées à la révolution. J'ai déjà démenti dans la presse. Je n'ai pas reçu cet argent, non pas bien sûr parce que j'aurais refusé un soutien financier à la révolution, mais parce que la bourgeoisie juive n'a pas offert ce soutien. la bourgeoisie juive reste fidèle au principe de ne rien donner quand bien même sa vie est concernée comme à présent". TROTSKI (Appel aux juifs américains menacés par le fascisme et l'antisémitisme, 22 décembre 1938).
Le révisionnisme réac n'a peur de rien en histoire, laquelle n'étant pas une science permet à tout représentant d'une classe, d'un clan ou d'une secte, de l'arranger ou la modifier à sa façon. Il faut reconnaître un certain culot au vieux pope Loupiat II de s'attaquer à la réputation universellement perdue du tyran Staline. Après avoir pour les deux tiers de son pensum de basse police espéré décrédibiliser le ministre Trotski en le décrivant poches et talons bourrés de dollars et au service de la finance juive américaine, il faut parvenir à démontrer comment un russe pur jus Staline n'aurait pas été mille fois pire que le massacreur de Kronstadt. C'est ce que nous propose le dernier tiers du pensum impérial pour éclairer un « mystère » de « portes historiques verrouillées » : L'ascension de Staline et les origines du stalinisme.
Le ton est donné dès
les premières phrases, malgré le coup de piolet, Trotski n'a-t-il
pas été qu'un « révolutionnaire mondain » ? Alors
que Staline, qui n'est pas vraiment à l'origine des premières
volontés de déchoir le tsar, « a toujours joui de la
confiance de Lénine », Lénine sachant que « Staline est
un bolchevik solide, et d'une fidélité à toute épreuve »,
j'ajouterai, même dans les attaques de banques du tsar. Alors que
Trotski « a fuit la Russie » pendant dix bonnes années,
Staline lui est resté sur le sol natal. La preuve, Trotski ne rentre
qu'en mai 17, soit : « trois mois après la chute de la
monarchie, alors que Staline est un des rares membres du Comité
central du Parti à être resté en Russie »1.
D'ailleurs, ajoute notre loupiat béni-oui-oui des mannes
tsarcomiques, il eût suffi que la venue de l'ignoble agent de
l'étranger eût été retardée pour que Staline joue le premier
rôle. Suffisait de l'imaginer ! Loupiat II émet son émotion à
l'égard de Staline « qui vit mal cette ascension fulgurante de
Trotski... nommé aussitôt numéro deux » ! L'espion
bourgeois Trotski se pavane orgueilleusement :
« Confortablement
installé à Petrograd, Trotski se jette à corps perdu dans la
tourmente révolutionnaire. Il tient tous les jours d'interminables
meetings enflammés à des meetings de masse, discours pas toujours
cohérents sur le plan conceptuel, voire sur celui de la logique
, mais qui plaisent aux
« masses révolutionnaires ». Staline remarque rapidement
cet enthousiasme et ce défaut de cohérence et saura en jouer plus
tard ». Le jugement de valeur du Loupiat II ne cite évidemment
aucun discours de Trotski, non parce qu'il n'était pas né ni
témoin, mais parce que les discours de Trotski ont certainement un
défaut en général, celui d'être très cohérent dans la défense
du communisme internationaliste.
Trotski, en s'alignant
aux côtés de Lénine , et non pas en se soumettant (car il a été
plus lucide sur la période avant Lénine), devient pour Loupiat II
et son pote Staline une girouette qui révèle un simple arriviste
opportuniste.
Question cohérence,
Loupiat II est imbattable, comme le fil conducteur de sa pensée est
la haine du juif apatride, il n'analyse rien, il ignore le massacre
mondial auquel se mêle son père spiritual Nicolas Poulidor, et la
misère et le meurtre des milliers de prolétaires et de paysans sont
le cadet de ses soucis. Pour dénier toute légitimité au
soulèvement des masses (qu'il ne conçoit qu'entre guillemets) il
trouve pour parade, non pas le soutien des milliers de socialistes et
prolétaires conscients du monde entier, mais un célèbre inconnu,
décrit historien et journaliste juif (membre de la direction du
Congrès juif russe...hé hé)2
qui « affirme qu'aucun leader des bolcheviks n'est un agent de
l'état-major allemand, comme on le dit à l'époque » ;
déjà « on le dit à l'époque », « on »
sait pas mais « on » le dit, voici une nouvelle preuve
pour Loupiat II.
Staline, le brave
bolchevique du terroir, sait lui : « Il sait que l'argent
peut venir tant des industriels russes sympathisants3
que des banques étrangères ou des attaques de trains postaux »4.
On passe encore et
toujours du coq à l'âne avec Loupiat qui s'énerve de la complicité
des trois marioles de l'internationalisme dans une filiation très
juive, un truc très capitaliste mondialiste au fond : « Tout
comme Karl Marx, Lénine et Trotski sont des mondialistes, des
globalistes ». Trotski veut carrément faire péter la sainte
Russie. Staline ferme sa gueule à la veille de l'insurrection, donc
ne se rend pas complice des Lénine et Trotski. C'est Trotski qui
fait tout le sale boulot. Pour atténuer son obsession anti-juive,
Loupiat fait un rond de jambe assez incroyable, il saute une
explication qui ficherait encore par terre son discours antisémite
incohérent, il ne dit pas pourquoi Trotski refuse le poste de
premier personnage de l'Etat prolétarien, mais il glisse une banane
pour ses lecteurs fachos plus instruits : « Ce beau geste
est apprécié de tous et en premier lieu de Lénine, qui sait au
fond de lui-même que Trotski a raison »5.
Puis on note sans analyser que le ministre des affaires étrangères
(sic) Trotski « ne signe qu'avec l'Allemagne, parce que les pays de
l'Entente souhaitent que la Russie reste dans la guerre ».
Loupiat II est du côté des gauchistes aventuristes apôtres de la
fable de la guerre révolutionnaire lors de cette « obscène »
paix de Brest-Litovsk, même si Staline s'est fait tout petit lors de
cet épisode, il y avait au moins un vrai russe non juif pour la
poursuite de la guerre.
Aucune analyse, il faut
égrener toujours d'incessants jugements de valeur, et faire porter
tous les crimes à Trotski, sautons maintenant, sans transition, dans
la séquence guerre civile : « Pendant la guerre civile,
Trotski fusille, gaze (?), marche sur les cadavres (?), au propre
comme au figuré. Rien ne l'arrête ». En tout cas rien
n'arrête notre loupiat menteur concernant les exactions du général
révolutionnaire Staline à Tsaristsyne, où Lénine se solidarise
avec Trotski contre les exactions du moustachu au bras court et fait
rappeler le tortionnaire Staline6
et ses séides.
L'épisode suivant touche
à la réorganisation du parti. Exit le juif Jacob Sverdlov, celui
qui, depuis son cabinet secret « nommait les bolcheviks
méritants à ses yeux aux postes-clefs de l'Etat », et qui
possédait « un carnet mythique »... Pendant que ce gros
bête de Trotski se distrait à la chasse, et qu'une série de nuls a
été incapable d'assurer la succession de Jacob S. un brave russe
naturel, méprisé de cette cohorte d'intellos occidentalistes, va
être à la hauteur de l'ingrat et rude labeur de commis d'Etat :
« Beaucoup de dirigeants bolcheviks, surtout ceux qui ont
connu l'exil dans les capitales d'Europe ou à New York, gardent des
réflexes gauchistes, bohèmes, hédonistes. Le travail quotidien,
administratif, leur paraît fastidieux, ennuyeux, et ils l'évitent.
Alors que Joseph Staline est tout différent. Issu d'une famille
pauvre des frontières lointaines de l'empire, il est parfois snobé
par ses « camarades » aux origines bourgeoises7,
voire aristocratiques8,
ayant fait de bonnes études et sachant jouer au piano Les Nocturnes
de Chopin ».
Comment ne pas vanter, à
l'instar du célèbre (?) historien poutinien Oleg Nazarov, cet
admirable « travail de fourmi » de ce fils de pauvre.
Staline n'a peut-être pas le bagage scolaire des juifs du CC, mais
il est plus malin. L'histoire ne va pas tarder à rendre hommage à
cette fourmi russe garantie : « Un mois après la
nomination de Staline au poste de secrétaire général, Lénine
subit son premier AVC ». Manque de pot pour « l'orgueilleux
Trotski », toujours à se distraire à la chasse, « plongé
dans une vie de repos et de loisirs », Staline présumé
bureaucrate sans envergure va manipuler deux autres juifs du CC pour
empêcher ce jouisseur de Trotski d'accéder au poste où il vaut
mieux ne pas avoir d'AVC. Rebond ! Lénine qui se remet de son
premier AVC et « voit la nature bureaucratique du pouvoir
grandissant de Staline sur le parti ». Loupiat II ne se relit
pas, il démolit complètement la fable qu'il nous avait contée une
cinquantaine de pages auparavant, selon laquelle le testament de
Lénine était un faux, or il valide là le fond dudit testament !
Incapable
intellectuellement d'analyser la prégnance croissante de
l'Etat-parti sur la révolution décroissante – et qui ne se résume
pas à la méchanceté de Staline ou à la juiverie de Trotski –
Loupiat nous fait passer désormais le tyran plouc chauvin pour plus
intelligents que ces idiots d'intellectuels juifs, qui font du
bla-bla face aux foules et pis c'est tout. Or, seuls des prolétaires
conscients et des combattants marxistes de nos jours peuvent analyser
ce renforcement de l'Etat anti-ouvrier contre une révolution
prolétarienne qui s'amenuise, et cela on ne peut l'expliquer en
observant (superficiellement) des itinéraires individuels. La
réalité n'est pas en soi l'incapacité de Trotski à magouiller
pour continuer à diriger un Etat – qui échappait déjà à Lénine
et au parti – mais de féliciter Trotski pour rester avec les
masses contre un Etat qui ne pouvait pas rester prolétarien, et où
le parti avait commis l'erreur fatale de s'identifier à lui.
Loupiat, ce fan des
tyrans russophiles, félicite Staline malgré son « système
inédit » car les « plans quinquennaux » ont fait
de la Russie « un pays industriel ». Les gens du tsar
n'ont-ils pas triomphé finalement grâce au pope Staline ?
« Les idées
cosmopolites, internationalistes, globalistes de Trotski sont
totalement étrangères (sic) à ces gens qui ne rêvent ni de
révolution mondiale, ni de révolution permanente, ni de guerre
totale à livrer au capitalisme, mais qui veulent « vivre
normalement, ici et maintenant ». Bé ouais quoi !
Creusons un peu plus avec
notre cher nationaliste Loupiat II. Ou résumons plutôt.
Heureusement dès le début de la révolution, il y avait deux sortes
de bolcheviques : les mondialistes « issus de
l'immigration politique » et les autres, passés du front
tsariste à l'Armée rouge ! C'est à dire des étrangers
profiteurs et ceux qui avaient risqué leur peau. Suivez le regard
alcoolisé de Loupiat. La preuve ? Cette trouvaille provient de
l'« l'historien Serguei Kara-Mourza », un impartial bonze de
l'académie des sciences de la Russie éternelle, les seconds c'est
cette base « qui a fait Staline » ; donc
d'authentiques russes qui, eux, avaient risqué leur peau pour leur
beau pays.Le « chef naturel » Staline avait mieux compris
que Lénine les intérêts de la Russie éternelle. D'ailleurs un
autre historien indiscutablement russe, un certain Oleg Nazarov, bien
connu des émissions d'Hanouna et de C'est à Lire, résume la
situation « en disant que Staline est, tout simplement,
beaucoup plus organisé et intelligent que Trotski ». Et il
faut le dire, finalement c'est Trotski qui a inventé Staline avec ce
culot et cet orgueil (typiquement juif?) : « Jamais il ne
reconnaîtra sa responsabilité historique dans l'invention et la
mise en œuvre du stalinisme »9.
Loupiat II, trouvant n'en
avoir pas fait assez, va nous en rajouter une louche : Réalité
et métaphysique de la terreur. L'idée de terreur est inséparable,
comme chacun sait, de l'idée de 'communisme'. Il y eût bien sûr la
« terreur blanche », mais il ne faut pas la confondre
avec la « terreur rouge », laquelle : « ...violence
bolchevique n'était pas dirigée contre une résistance concrète,
ciblée, mais contre des couches de la population dont la seule faute
était d'exister. Des couches proclamées d'emblée hors la loi :
les aristocrates, les propriétaires terriens, les officiers, les
prêtres, les koulaks, les industriels et même les savants »10.
En effet c'est sans doute la raison pour laquelle, comme nous l'avait
expliqué Loupiat II tant de patrons avaient financé le parti de la
terreur bolchevique !
La jeunesse des
historiens poutiniens est une garantie de recul historique et de
colossales découvertes : Pour ces historiens dont bon nombre
sont jeunes et n'ont pas d'expérience personnelle adulte de la
réalité soviétique, les bolcheviks adeptes de la terreur suivent
les développements théoriques de Karl Marx qui disait que « seule
la terreur révolutionnaire peut abréger les souffrances sanglantes
du peuple ». En toute objectivité l'histrion de radio
Notre-Dame commence ses révélations : « Les gardes
rouges n'hésitent pas à exécuter des personnes âgées, des femmes
et même des enfants. En province, dans les villages un peu
reculés... ». « Nul ne le nie aujourd'hui »,
nouvelle version du « on dit que » !
Nuançons : « Quels
que soient les chiffres exacts, tous les historiens sont d'accord
(sic) pour dire que la barbarie et l'étendue de la terreur
généralisée menée sur fond de guerre civile de tous contre tous,
ont rendu folle la société russe ». Tiens tiens ! La
terreur était donc tombée du ciel ? Pourquoi « tous les
historiens » (y inclus les poutiniens) ne réfléchissent-ils
pas plutôt au fait que la boucherie mondiale qui a rendu folle toute
la société11,
guerre qui n'était pas terminée, quand pendant qu'elle durait –
sans compter que la paix ne fut jamais signée pour mieux recommencer
en 1939 - un million d'arméniens étaient massacrés par les turcs,
des millions tués sur le champ de bataille principal en France, et
que l'isolement de la Russie - plus les attentats anarchistes
(adoubés par les puissances impériales et capitalistes) –
impliquait de laisser les russes mijoter dans leur sang ? C'est
la politique d'étranglement impérialiste de l'Entente
(impérialiste) qui pourrit la situation en Russie, pas même la
théorie défensiste violente et légitime du parti bolchevique, au
début.
Loupiat II ne pouvant pas
justifier la pérennité de la tchéka et son héritière le FSB, où
il a tant de potes, se contente encore du plus plat jugement de
valeur, toujours pas démontré, qui dit tout mais ne dit rien :
« Personne ne peut s'imaginer aujourd'hui ce qu'a représenté
pour la Russie l'horreur de la révolution et ses conséquences ».
C'est pas vrai, nous on réalise l'étendue des mensonges et
falsifications de notre brave loupiat si orthodoxe dans les clichés religieux et conservateurs du capitalisme pieu.
Après un dernier coup de
pied au derrière à Staline (il ne faut pas croire que Staline
aurait soutenu les blancs croyants orthodoxes), et pour ne pas passer
pour antisémite en fin de compte, Loupiat II s'appuie sur la
« juive » (cf. c'est précisé en note) Angelica
Balabanoff qui dénonça le sadique Félix Dzerjinski, hélas pas
juif, mais peut-être pire, polonais !
Enfin, tout est révélé
au final, comme on le subodorait tout le long, le féodal Loupiat II
ne pouvait qu'être en même temps admirateur du tsar Staline :
« La plupart des problèmes auxquels a dû faire face la
Russie... ne viennent pas du stalinisme...mais de la révolution en
elle-même ». La révolution et la guerre civile ont divisé
les peuples ; il est précisé en note qu'il n'existait pas de
classes ni de bourgeoisie ni de prolétariat : « La Russie
a toujours été un pays multiethnique et multiculturel ». Le
pope brandit le crucifix soudain : « la foi des
révolutionnaires russes était un peu la foi des démons » !
Gare ! Gare aux blasphémateurs ! Méfiez-vous !:
« d'autres révolutions sont en cours ou à venir. Comme la
révolution russe, elles ont et auront le soutien du grand capital,
des banques, du capitalisme mondialisé ». La modernité de la
révolution russe est djihadiste, qu'on se le dise : « Comme
les djihadistes modernes, les révolutionnaires russes aimaient la
mort... Mourir pour la révolution est le suprême et le plus sublime
des sacrifices. Tuer pour la révolution c'est la plus magnifique des
transgressions ».
Le pope Loupiat II reposa
alors le saint crucifix, front en sueur et bave aux lèvres, pendant
que les bigotes orthodoxes, voilées en couleur contrairement à
leurs soeurettes en religion mahométane, se penchaient
frénétiquement d'avant en arrière, en murmurant « Victor on
t'aime, tu nous fais trop jouir à la fin de chacun de tes sermons,
Dieu bande grand mais pas communiste ».
NOTES PEU ORTHODOXES:
1Ce
qui signifie que la plupart des autres (tous juifs) réfugiés hors
de Russie poue échapper aux geôles de son altesse urbi et orbi
Nicolas II, étaient devenus des … agents de l'étranger !
2Et
évite de rappeler que les principaux chefs du Bund, ou les
mencheviks comme Martov se sont opposés à la prise du pouvoir
bolchevique et sont partis à l'étranger.
3Le
lecteur ne doute pas un seul instant que ces patrons humanistes et
sincèrement bolcheviques devaient être nombreux !
4Loupiat
nous fait passer Staline pour un second couteau, effaçant le fait
qu'il était à la tête des attaques de banques, avec l'aval de
Lénine, et que, tiens donc, les juifs Rosa Luxemburg et Trotski,
parmi d'autres socialistes, dénoncèrent ces méthodes fort peu
socialistes, et que le théoricien Lénine dût renoncer à soutenir
ces pratiques à la suite d'une résolution d'un congrès socialiste
international.
5Or,
tout lecteur qui a lu au moins deux ou trois histoires de la
Révolution russe, sait que Trotski a refusé ce poste pour ne pas
favoriser l'antisémitisme encore très présent dans ce pays
arriéré, encore sous l'influence des popes fachos.
6Je
dévoile cet épisode dans mon livre « La guerre
révolutionnaire de Robespierre à Lénine ».
7Comprenez :
juives...
8Venant
d'un suce-boule du tsar cela vaut le parfum d'un samovar ou son
poids d'iconneries.
9Comprenez :
stalinisme n'étant pas équivalent au « chef naturel »
Staline ! Mais encore un sale coup des juifs !
10Et
pour ceux qui n'auraient pas compris que le camp de terreur que le
petit télégraphiste du tsar aurait choisi , il l'indique
clairement p.186 : « Jamais les services des Blancs
n'atteindront le niveau de cruauté, ni le professionnalisme de la
Tcheka ».
11D'ailleurs
même Loupiat a pu concevoir cette idée puisqu'il l'évoque sans
discernement dans sa conclusion : « le mépris pour la
vie humaine hérité de la Première Guerre mondiale »
(p.174).
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