"Il faut, avant tout, peupler les colonies" |
10 leçons de la nouvelle infamie militaire
israélienne et l’honneur perdu des juifs nationalistes
1. 1.
La
démocratie massacre comme n’importe quelle dictature militaire. Israël se
targue d’être une démocratie et la seule du Moyen Orient ; son armée sale
tsahal a tué sans vergogne près de deux mille palestiniens dont une majorité de
civils, femmes et enfants, sans compter les milliers de blessés et les
centaines de milliers de « déplacés ». En comparaison les pertes
israéliennes sont dérisoires. Il est vrai qu’un mort israélien équivaut à mille
morts palestiniens selon la conception hitlérienne de l’Etat « juif ».
Les destructions sont incommensurables. Aucune démocratie occidentale n’a
réellement protesté ni engagé des mesures de rétorsion, au moins du même type
que les sanctions contre le promoteur de guerre civile en Ukraine Poutine.
2. 2.
Un
petit pays artificiel qui ne produit que des olives peut être abondé gratos en armes
ultra-sophistiquées par le complexe militaro-industriel américain sans qu’aucune
démocratie n’y trouve à redire. Trois vieilles démocraties – Etats Unis,
Angleterre et France – sont au top des ventes d’armement dans le monde.
3. 3.
Sous
le triste vocable de « communauté (hypocrite) internationale » l’ONU
se rend tous les jours complice des pires massacres depuis le début du XXIème
siècle. Lors de ce nouveau massacre de palestiniens par l’armée des colons
juifs jamais n’a été invoqué l’envoi de casques bleus comme force d’interposition,
au moins pour protéger les civils.
4.
En
cette année de commémoration patriotique pleurnicharde des deux guerres
mondiales, la démocratie bourgeoise confirme ce qui a été le fait marquant des
deux boucheries de 14 et de 39 : les civils doivent rester la principale
chair à canon.
5.
Les
deux nationalismes en lice sont aussi criminels ; si le nationalisme juif
est arabicide, le nationalisme arabe est judéocide. Tous deux sont de nature
capitaliste et c’est bien pour cela qu’ils négocient ensemble, massacre achevé.
Pour les mettre d’accord il faudrait d’abord jeter en prison tous les chefs
cachés du Hamas et l’ensemble du gouvernement criminel de guerre israélien.
6.
Le
nationalisme juif se confond avec une idéologie communautariste planétaire vecteur
d’antisémitisme quand le nationalisme djihadiste représente les pires
arriérations actuelles. Ils ne sont que les VRP de bandes organisées
mafio-bancaires parallèles et opaques, confirmant l’adage : l’argent mène
le monde.
7.
Par
ses massacres répétés, la bourgeoisie juive nationaliste d’Israël aura finalement
contribué à remiser la shoah au musée de la victimologie hypocrite et niveleuse
de l’histoire réelle de la lutte des classes. Et chacun de ses meurtres de
masse vient populariser les bandits armés du Hamas et de toutes les cliques
djihadistes. Les juifs contiennent autant de crétins, de nationalistes et
débiles mentaux que les autres franges de la population. Et les crétins « démocrates »
qui gouvernent Israël mentent sur la raison de leur occupation terroriste des
derniers bantoustans palestiniens, ces débiles rêvent de « foutre les
arabes » à la mer.
8.
En
manifestant pour soit disant soutenir le peuple palestinien et pour la minable
perspective d’un nouvel Etat arabe, les différents partis de gauche, NPA et
Assocs charitables ne font que se mettre au cul des bandits armés djihadistes
professionnels, en confortant la dimension communautariste du conflit
nationaliste retro.
9.
Du
point de vue du prolétariat la revendication d’un nouvel Etat n’est pas
acceptable, tout comme la nécessité de la destruction de l’Etat juif n’est pas
négociable pour un remplacement par un Etat « djihadiste ». L’aberration
régnante sur le monde d’aujourd’hui fait croire qu’il faudrait conserver
éternellement tous les Etats bourgeois, démocrates comme terroristes qui
mettent à feu et à sang tant de lieux sur la planète. L’Etat colon israélien
procède, avec ses colonies en expansion permanente, de la même logique
impérialiste et éliminationniste que l’Etat nazi, que le boucher Assad ou le
criminel Poutine en Ukraine.
10.
Les
grandes puissances ne sont plus que les filiales des lobbies pétroliers et
bancaires, et des milliardaires, y inclus les milliardaires juifs. Les divers
Etats ne sont que les missi dominici des régents opaques de l’ordre capitaliste
sanglant, prédateurs ultra-protégés dont la lâcheté et l’inconscience n’ont d’égale
que leur autisme et leur rouerie.
L’ARGENT MÈNE LE MONDE
Par Jean-Claude St-Louis
C’est sous le règne de Napoléon Bonaparte que le
système bancaire que nous connaissons, vit le jour, le 18 janvier 1810. En
autorisant les petites banques privées à se regrouper pour former une banque
centrale, Napoléon permit la création d’un monopole qui n’a jamais cessé de
prendre de l’ampleur. Napoléon en devint le premier actionnaire. Il faut
préciser que l’empereur avait besoin de sommes colossales pour mener à bien ses
guerres en Europe. Cette banque centrale devint toute-puissante puisqu’elle
avait le pouvoir de créer la monnaie et de la prêter avec des intérêts. Par la
suite, ce système s’étendit à toute l’Europe. Le traité de Maastricht vint
confirmer la suprématie des banques, puisque aucun État ne fut autorisé à créer
sa propre monnaie.
De leur côté, les banquiers formèrent des
puissantes familles qui, opérant dans l’ombre, détenaient le pouvoir absolu.
Ces familles purent choisir leurs hommes de confiance pour en faire des chefs
d’État dans toute l’Europe et ensuite, en Amérique, exemple: la famille
Rothschild. D’autres puissantes familles vinrent s’ajouter, comme la famille
Rockfeller des États-Unis. Cette famille contrôle aujourd’hui, la Réserve
fédérale des États-Unis (la FED), via la Chase Manhattan Bank et la CityBank,
où les Rockfeller détiennent la majorité des actions. Ce sont ces deux banques
qui ont le contrôle sur la FED. Au Canada, la famille Desmarais, propriétaire
de Power Corporation, en mène large puisque le père est surnommé: “le faiseur
de premiers ministres”.
En 1857, les puissantes familles se réunirent à
Londres dans le but d’étendre leur emprise sur le monde. Elles en vinrent à la
conclusion que pour accroître leur pouvoir, elles devaient créer des guerres,
puisque c’était la meilleure façon de s’enrichir. Les guerres nécessitent des
sommes colossales et comme ces familles avaient le pouvoir de créer la monnaie
et de la prêter, elles pouvaient s’enrichir fabuleusement. Et c’est ainsi que
depuis Napoléon, toutes les guerres ont été créées par les puissances de
l’argent. Si les motifs n’existaient pas, on les inventait tout simplement. On
ne doit pas oublier que ces puissantes familles n’avaient pas de compte à
rendre à qui que ce soit. Elles étaient les maîtres du monde et n’obéissaient
qu’à leurs propres lois.
La guerre civile américaine fut l’oeuvre des
puissantes familles du Nord qui voulaient mettre la main sur les richesses du
Sud. La libération des esclaves ne fut qu’un prétexte puisque ces derniers
étaient sur le point d’acquérir leur liberté. Les puissantes familles, de
connivence avec les usines d’armement, furent à l’origine de cette guerre qui
fit des milliers de victimes, d’un côté comme de l’autre. Évidemment qu’aucun
fils de ces familles ne risqua sa vie sur les champs de bataille. Seul le
peuple servit de chair à canon. Mais qu’importe la mort de milliers de gens
puisque seul l’argent compte. Même un chef d’état comme Abraham Lincoln, qui
voulut implanter un système permettant à l’État de créer sa propre monnaie, fut
assassiné, non pas par un fou, mais par un tueur à gage. La pitié pour les
puissances de l’argent qui mènent le monde, n’existe tout simplement pas.
La première guerre mondiale de 14-18, qu’on
appela la Grande guerre, fut créée par les puissants
Vallotton |
La deuxième guerre mondiale fut l’oeuvre des
grandes banques d’Europe et d’Amérique. Qui finança Adolf Hitler, ce petit
peintre sans le sou, dans sa folie de grandeur et de conquêtes? Encore une
fois, les grandes banques du monde le financèrent, puisque Hitler n’aurait
jamais pu mener cette guerre, qui fit plus de 60 millions de victimes. C’est le
pouvoir financier international, basé à Londres et à Wall Street, qui permit à
Hitler d’entraîner le monde dans le pire conflit de son histoire. Le pouvoir
financier international, opposé aux méthodes de Théodore Roosevelt, choisit
d’encourager la création de gouvernements fascistes en Italie et en Allemagne,
afin de mieux contrôler le système financier mondial. Les gouvernements
fascistes voulaient imposer une politique de pillage et de répression
meurtrière en créant des guerres, ce qui faisait l’affaire des banquiers qui
espéraient s’enrichir de cette façon. Lorsque Heinrich Himmler, chef des SS,
avait besoin d’argent, les puissantes banques déposaient l’argent dans un
compte servant à financer les nazis. Même après l’entrée en guerre de
l’Angleterre et des États-Unis contre l’Allemagne, les grandes banques, dont la
Banque des règlements internationaux, (la BNI) de Londres continuèrent à
financer le régime nazi. Toutes les matières premières, dont l’acier, qui
manquaient à Hitler, lui furent livrées par bateaux.
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