(interprétations et
délires : tueur psychopathe ou soldat de daech?)
« Notre société est dirigée par des fous ayant des objectifs démentiels. Je pense que nous sommes gouvernés par des maniaques ayant des fins maniaques et je pense avoir des chances d’être mis à l’écart comme fou pour avoir dit ça. C’est ce qui est fou à propos de ça ». John Lennon
« Si le
peuple savait ce que nous avons fait, il nous poursuivrait dans la
rue et nous lyncherait ». (George H.W.Bush, décembre 1999).
On n'est pas en guerre.
Ceci est une invention du pouvoir pour justifier ses incursions
militaires au service de la bourgeoisie américaine et de ses
banques. Il y a complot et complot. Le complot du terrorisme sans
cesse avancé par nos gouvernants a du plomb dans l'aile. Par contre
le complot impérialiste est bien réel : trois curieux
militaires français tués, trois membres de la DGSE en vérité,
morts en « service commandé » sur un territoire où la
France n'est pas sensée être en guerre... Par ailleurs, même si
l'on fait la part de désinformation de l'agence d'Etat syrien, la
guerre « peu conventionnelle » de messieurs Hollande et
Valls ressemble bien à une guerre « de masse »
classique : « La Syrie demande à l'ONU de prendre des
mesures après qu'un raid aérien français a causé la mort de plus
de 120 civils le 19 juillet à la frontière turco-syrienne, selon
Damas, qui déplore en outre que la coalition soutienne des groupes
terroristes ».
Réponse du berger à la
bergère dans cette guerre de l'ombre les victimes sont des femmes et
des enfants syriens pas des familles de daech ! C'est pourquoi
l'argumentaire invoqué pour les radicalisations, selon experts et
gauchistes patentés, comme motivations à enrôlement par vengeance
ne tient pas la route. Et en quoi de petites racailles psychopathes
seraient-ils légitimés pour tuer des civils français et musulmans
innocents, qui n'ont donc rien à voir ni avec les exactions de
l'armée des industriels capitalistes ni une quelconque
responsabilité pour le tapis de bombes jetées au « front
syrien » ?
Finalement, la présumée
guerre contre l'obscur terrorisme, axe généraliste du mal, permet
tout en même temps : de faire passer au second plan les guerres
là-bas au service des fractions impérialistes US, allemande et
pétromonarchies, de justifier la prolongation et la répétition
incessante des meurtres de masse de civils, meutres auxquels « il
faut s'y faire » (déontologie du petit despote Valls qu'il
nomme « langage de vérité » pour « guerre non
conventionnelle ») ; la prolongation éternelle de la
situation dite d'exception a permis de dévitaliser toutes les
manifestations sociales avec la complicité moutonnière des
syndicats jusqu'au vide vacancier, les policiers harnachés ayant
tous les droits ; en nouveau plein deuil national, sans
vergogne, la principale attaque sociale depuis la vraie guerre
mondiale a été achevée dans le cadre des institutions minoritaires
et arbitraires de l'élite nationale des politiciens professionnels,
on se rappelle le Valls répondant aux manifestants lui disant qu'ils
ne voulaient pas de la loi contre le travail : « Vous la
voulez pas ? Eh bah vous l’aurez ! ». Toute
dictature est cynique1.
Nos inénarrables experts
n'ont pas marché une nouvelle fois dans la combine ministérielle,
estimant peu probable que les tarés de daech aient organisé
directement les récentes attaques en France ou en Allemagne restant
éventuellement source d'inspiration pour les débiles et récupérant
de façon opportuniste le bain de sang sur le sol européen.
Des interprétations de l'Etat à
géométrie variable :
L'idée d'un complot prémédité a toujours la
faveur du gouvernement et des gauchistes2...
qui se sont empaillés sur les réseaux sociaux entre ceux qui
imaginent un « projet politique » chez les psychopathes -
« abrutis endoctrinés » - donc gratifient les tueurs de
daech comme « soldats », et ceux qui comprennent que la
société produit des dépressifs dangereux qu'ils se nomment Andréas
ou Mohamed. Les premiers argumentant que daech ne s'était pas
réclamé du crash de l'avion de la germanwing, mauvaise pioche3.
Fous furieux ou soldats fous de dieu ?On est
presque soulagés... » décrète, sur France Info, un de ses
« grands spécialistes » médiatiques, suite à la
revendication par Daech de l'horrible attentat de Nice !
Ainsi, ce n'est plus « un simple
déséquilibré » surgi de nulle part, mais un « soldat
de Daech », qui a fait ce coup sordide et monstrueux. Nos
journaleux se retrouvent ainsi rassérénés, en terrain connu, pour
faire la propagande guerrière pour laquelle ils sont rémunérés...
En effet, comment expliquer à tout un chacun que le monde est devenu
une sorte de roulette permanente où à tout instant votre voisin de
palier, le quidam que vous croisez au volant, peut, sans le moindre
signe précurseur, se révéler être une bombe vivante, une arme
fatale improvisée, avec un minimum de moyens, constamment
disponibles autour de lui...
Mohamed Lahouaiej Bouhlel, un « abruti
endoctriné » ? radicalisé en quelques jours seulement?
La thèse a fait long feu pourtant. Une semaine après l'attentat
du 14 juillet qui a fait 84 morts et des dizaines de blessés, le
procureur François Molins a annoncé que son auteur prévoyait son
acte depuis des mois, mais ni dans une parano religieuse, ni avec
l'aide indirecte des pourvoyeurs turcs ou allemands d'armes létales,
mais à la ramasse dans un milieu de petites racailles où un couple
d'albanais minables revend une ferraille dans un négoce où chti
Mohamed et une autre racaille sont en train de s'imaginer en pleine
gloire. Cette version « soudaine » détruit la fausse
piste lancée par le gouvernement comme d'habitude d'une brusque
radicalisation, imbécillité qui avait pourtant fait s'indigner
jusqu'au spécialiste Filiu. Une fausse piste habituelle qu'avait
déjà emprunté le procureur le jour de l'assaut donné contre les
auteurs de l'attentat du 13 novembre, à Saint-Denis. Comme quoi le
complot terroriste sert toujours à justifier l'impuissance de l'Etat
bourgeois à protéger la population, mais au moins ne fait plus de
ses flics des héros, « orfèvres » de la sécurité plus
préoccupés de tabasser les manifestants ouvriers, de commettre des
bavures qui restent
impunies.
Récapitulons. Pour les commis d'Etat bourgeois
anti-ouvrier, Valls et
Hollande il faut jeter la confusion dès le lendemain du meurtre de
masse : l'auteur de l'attentat de Nice "est un
terroriste sans doute lié à l'islamisme radical", quand le
sous-fifre de l'Intérieur assurait que rien ne permettait pour
l'instant de l'affirmer. Les jours passant, le despote Valls
a cherché à désamorcer toute critique en niant toute faille des
forces de sécurité. Mais ne fallait-il pas bloquer les accès à la
promenade des anglais qui allait accueillir 30 0000 personnes
autrement qu’avec un véhicule de police municipale et des plots en
plastique sur la promenade et absolument rien pour bloquer les
trottoirs adjacents ? Quand Mohamed Lahouaiej Bouhlel est arrivé
au volant de son camion fou, il lui a suffi de passer sur
le
trottoir pour contourner l'obstacle...
Apparemment ni des chicanes constituées de blocs
en béton, ni des herses au sol pour bloquer tout véhicule forçant
le passage n’ont été envisagées par la police nationale et
le Préfet ou par la police municipale et la mairie de Nice. Les
services de vidéo surveillance, chers au président du conseil
régional et ancien maire de Nice, Christian Estrosi, n'ont même pas
été capables de repérer un camion normalement interdit de
circuler ce jour là... présumé livreur de glace sans glacière.
C'est la raison pour laquelle plusieurs familles de victimes portent
plainte à la fois contre l'Etat et la mairie de Nice.
Plus les jours passent plus les manquements des plus
hautes autorités qui nous promettent toujours plus de meurtres de
masse et toujours plus de policiers qui ne servent à rien, plus il
faut cacher l'incompétence et leur jem'enfoutisme. A croire qu'ils
aiment tant jouer les croque-morts et les éloges funèbres en
chaire4.
Alors comme jadis au pays de Brejnev ou chez Erdogan le terroriste,
il suffirait d'effacer les traces de la gabegie gouvernementale et
des politiciens de droite locaux :
« Panique et
incompréhension à la mairie de Nice. Mercredi à 11 heures, la
sous-direction antiterroriste (SDAT) a envoyé aux agents qui gèrent
la vidéosurveillance de la ville une réquisition citant les
articles 53 et L706-24 du code de procédure pénale et de l'article
R642-1 du Code pénal leur demandant l'effacement «complet» de 24
heures d'images provenant de six caméras nommées et numérotées,
mais aussi de toutes les scènes depuis le début de l'attentat ayant
eu lieu sur la promenade des Anglais, dans la nuit du 14 juillet.
Contacté par Le Figaro, le parquet de Paris a confirmé
l'information et précisé: «cela a été fait dans ce cas précis
pour éviter la diffusion non contrôlée et non maîtrisée de ces
images». Du côté de la police nationale, on rappelle que «sur les
mille caméras installées à Nice, 140 présentaient des éléments
d'enquête intéressants. La police judiciaire a récupéré 100% des
vidéos de ces dernières. La PJ et le parquet ont donc demandé
d'effacer les images de ces 140 caméras afin d'éviter l'utilisation
malveillante de ces dernières par souci de la dignité des victimes
et pour éviter la reprise de ces images par les sites internet
djihadistes à des fins de propagande». Enfin, à la chancellerie,
on précise que la demande d'un effacement «complet» s'explique par
l'impossibilité de procéder à des destructions partielles sur ce
type de matériel ».
Au culot de la
destruction policière s'ajoute le langage d'adjudant de Valls :
« Je n'accepterai jamais les propos honteux qui insinuent que
tout cela aurait pu être évité, car dire cela, c'est discréditer
nos forces de sécurité qui se battent chaque jour et qui obtiennent
des résultats ». Des résultats probants pour le troisième
épisode de la série « Vies humaines fauchées »:
pratiquement 100 morts et plus de 300 blessés ! Pas la peine de
se flatter de pointer l'ignominie du meurtre de centaines de noirs
par la police démocratique américaine !
Plusieurs «failles» présumées
La question des moyens déployés pour le 14 Juillet
à Nice a été relancée après la parution mercredi soir d'une
enquête de Libération.
«Contrairement à ce qu'a affirmé le ministère de l'Intérieur,
l'entrée du périmètre piéton de la promenade des Anglais n'était
pas protégé par la police nationale», assure le journal. Seule une
voiture et deux policiers municipaux barraient la zone au moment où
est arrivé le camion conduit par Mohamed Lahouaiej Bouhlel.
Mercredi, le Canard Enchaîné pointait déjà d'autres
«failles» dans le dispositif de sécurité. L'hebdomadaire
satirique souligne par exemple que l'idée de disposer des chicanes
en béton sur la promenade n'avait pas été retenue. Un système de
«filtration du public (avec palpation et ouverture de sacs)» a
aussi abandonné au profit de «contrôles aléatoires».
Attaqués pour leur
incompétence, les despotes Hollande,Valls, Cazeneuve hurlent au
complot contre...eux. L'autocrate Valls dégaine une vieille affaire,
il nous sort un success histoire de bien nous montrer qu'ils sont sur
le coup. On hésiterait presque à le feliciter. Il « confirme »
lundi soir que la France a échappé à un attentat qui aurait pu
être «particulièrement meurtrier», à l'occasion du Championnat
d'Europe des nations. Il s'agissait en réalité de l'arrestation du
djihadiste présumé Reda Kriket. Complètement décalé et hors de
propos. Je reprends complètement à mon compte le commentaire de cet
habitant de Saint-Denis :
« Le tueur de
Nice n'était pas un terroriste islamiste mais un suicidaire
psychopathe. DAESH n'a pas planifié ce crime de masse et ce n'était
pas un attentat terroriste.
Lorsque je dis cela, c'est-à-dire, lorsque
j'écris que DAESH a revendiqué par opportunisme et le type agi dans
une phase destructrice et autodestructrice de son désespoir, sans
doute puisant la "conversion" de son suicide en carnage de
masse dans la psychose ambiante, on me demande ce que ça change.
Deux choses.
1/ Le terrorisme est un acte idéologique : on
cherche à changer un état de société, aliéner un mythe ou
attirer l'attention médiatique sur un conflit idéologique en
choquant l'opinion par un acte violent. Un système de pensée et une
alternative au monde tel qu'il est attaqué régissent et conduisent
l'agression. C'est ce qu'on appelle une "revendication". Ce
n'est pas le cas ici.
2/ Il est impossible de récupérer politiquement
un suicide élaboré en massacre de masse. Car, non, la
"radicalisation en deux semaines", cela n'existe pas. On ne
se convertit pas à la volonté de tuer en deux semaines. En cela,
l'État français par ses différentes voix, est coupable
d'instrumentaliser un drame suffisamment douloureux pour qu'il ne
soit nul besoin d'en rajouter.
DAESH a profité de l'aubaine, la détresse
pathologique du meurtrier a été influencée par une psychose. C'est
tout. »
SOMMES-NOUS
A NOTRE TOUR GOUVERNES PAR DES PSYCHOPATHES ?
Toujours réfractaire au
Hollande bashing je ne suis du genre à croire qu'une démission de
ces cuistres changerait le mode de domination de la classe
bourgeoise. Ils ne sont que les délégués « provisoires »
des grands intérêts des banques, de l'industrie d'armement, des
obligations US et de leurs soumissions au fric des roitelets du
pétrole. En tant qu'individus ils ne sont pas des Himmler ou des
Hitler, mais ils servent un système qui lui est clairement
psychopathe, destructeur avec des ravages collatéraux dans l'esprit
de nombre d'individus.
La faconde, l'arrogance
et le mépris, qu'ils affichent comme gouvernants, reflètent
pourtant autisme, cynisme et terreur du pouvoir. Sans qu'on puisse
vraiment les comparer aux nazis ou aux chefs obscurs de daech, ils
cautionnent un système destructeur du même ordre. Valls en répétant
sans cesse qu'il faut s'attendre au pire se sert de daech comme
vecteur de terreur importée. A France télécom comme dans les
hiérarchies administratives ou policières les sommets regorgent de
psychopathes. On prétend mettre en examen en ce moment ceux qui ont
produit tant de suicidés à France télécom, y a du pain sur la
planche partout. Mais cela concerne les psychopathes pervers
intelligents et protégés. A côté, il faut bien reconnaître, sur
le terrain de la guerre que les psychopathes sortent du bois. Ces
supplétifs des gouvernants en costard-cravates et des banksters ont
besoin d'un certain type d'individus, mieux encadré que Mohamed de
Nice. Suivons l'analyse passionnante et révélatrice de cet auteur
américain :
"Les institutions militaires sont faites sur mesure
pour les tueurs psychopathes. Les 5% environ d’hommes qui ne
ressentent aucun remords à tuer leurs semblables font les meilleurs
soldats. Et les 95% qui sont extrêmement réticents à tuer font de
mauvais soldats – à moins de leur laver le cerveau avec des
méthodes modernes hautement sophistiquées qui les transforment
(temporairement, on l’espère) en psychopathes fonctionnels.
Dans « On Killing », le Lt. Col.
Dave Grossman a ré-écrit l’histoire militaire, pour souligner ce
que cachent les autres histoires : le fait que la science militaire
est moins concernée par la stratégie et la technologie, que
surmonter la réticence humaine instinctive à tuer des membres de sa
propre espèce. La vraie « Révolution dans les Affaires Militaires
» ne fut pas l’impulsion de Donald Rumsfeld vers la haute
technologie en 2001, mais la découverte dans les années 1940 du
Brigadier général S.L.A. Marshall que seulement 15 à 20% des
soldats de la Seconde guerre mondiale sur la ligne de feu
utiliseraient leurs armes : « Ceux (80 à 85%) qui n’ont pas tiré
ne se sont pas enfuis ou cachés (dans beaucoup de cas ils étaient
prêts à se mettre en grand danger pour leurs camarades, prendre des
munitions, ou transmettre des messages), mais ils ne tiraient pas sur
l’ennemi, même quand ils étaient confrontés à des vagues
répétées d’attaques furieuses » (Grossman, p. 4)
La découverte et la recherche subséquente
de Marshall prouva que dans les guerres précédentes, une minorité
minuscule de soldats – les 5% qui sont des psychopathes innés, et
peut-être quelques imitateurs temporairement fous – a causé
presque tous les meurtres. Les gens normaux passaient à
travers les mouvements et, si possible, refusaient de prendre la vie
d’un soldat ennemi, même si cela signifiait perdre la
leur. L’implication : les guerres sont des massacres
de masse de non-psychopathes ritualisés par des psychopathes.
L’ouvrage de Marshall apporta une révolution
copernicienne à la science militaire. Dans le passé, tout le monde
croyait que le soldat voulant tuer pour son pays était la norme
(héroïque), tandis que celui qui refusait de se battre était une
(lâche) aberration. La vérité était que le soldat normatif
provenait des 5% psychopathologiques. La saine majorité préférerait
mourir que combattre.
Dans « Ponérologie
Politique », Andrzej Lobaczewski explique que les
psychopathes cliniques jouissent d’avantages même dans des
compétitions non-violentes pour grimper les échelons dans les
hiérarchies sociales. Parce qu’ils peuvent mentir
sans remords (et sans le stress physiologique révélateur qui est
mesuré par les tests au détecteur de mensonge) les psychopathes
peuvent toujours dire tout ce qui est nécessaire pour obtenir ce
qu’ils veulent. Au tribunal, par exemple, les psychopathes
peuvent dire des énormes mensonges de manière plausible, tandis que
leurs adversaires sont handicapés par une prédisposition
émotionnelle à rester à portée de la vérité. Trop
souvent, le juge ou les jurés imaginent que la vérité doit se
trouver quelque part au milieu, et ensuite prennent les décisions
qui bénéficient au psychopathe. Comme avec le juge et les
jurés, la même chose est valable pour les responsables des
décisions concernant qui promouvoir et qui ne pas promouvoir dans
les hiérarchies des entreprises, de l’armée et du
gouvernement. Le résultat est que toutes les
hiérarchies deviennent inévitablement surchargées à leur sommet
par des psychopathes.
Les soi-disant théoriciens du complot, dont
certains méritent la connotation de ce terme suremployé, imaginent
que des sociétés secrètes de juifs, Jésuites, banquiers,
communistes, Bilderbergers, extrémistes musulmans, papistes et ainsi
de suite, contrôlent secrètement l’Histoire, en faisant des actes
sournois et/ou menaçant de prendre le monde en mains. En tant que «
théoricien du complot » majeur selon Wikipedia, je me sens
éminemment qualifié pour offrir une théorie du complot alternative
qui, comme la théorie du complot alternative du 11 septembre, est à
la fois plus simple et plus précise que la sagesse courante : La
seule conspiration qui importe est la conspiration des psychopathes
contre le reste d’entre nous ».
Laissons cette dernière considération
stupide à l'auteur, ce qui importe c'est de comprendre que c'est le
capitalisme qui est devenu psychopathe5.
POST SCRIPTUM : quelques autres
trouvailles pour réfléchir
Considérez comment les
gangs et les sociétés secrètes (les guildes de psychopathes
déguisées) recrutent de nouveaux membres. Les méthodes de
radicalisation (qui prennent du temps...et de l'argent) ne sont pas
nouvelles, ni musulmanes ni produites par daech. Certains gangs
criminels et congrès satanistes exigent que les candidats à
l’admission commettent un meurtre pour « gagner leurs galons. »
Skull and Bones, la société secrète basée à Yale qui
approvisionne la CIA avec des trafiquants de drogue, des violeurs du
mental, des violeurs d’enfants et des tueurs professionnels,
requiert que les néophytes s’allongent nus dans un cercueil et se
masturbent devant les membres plus anciens en récitant toute
l’histoire sexuelle du candidat. En forçant le néophyte à
s’engager dans un comportement ritualisé qui serait horriblement
honteux dans une société normale, la guilde de psychopathes détruit
la personnalité normale du candidat, en supposant qu’il en ait eu
une au départ, et transforme l’individu en une ombre cooptée,
corrompue, dégradée de son moi précédent – un psychopathe
fabriqué ou un apprenti psychopathe.
Dans les faits – rappelez-vous les Béria et
Himmler - il apparaît que Che Guevara avait lui aussi une
personnalité psychopathique, eu égard (entre autres choses) aux
nombreuses exécutions qu’il a lui-même perpétrées, contre ceux
qu’il qualifiait « d’ennemis » ou de « traîtres » à la
Révolution, et pour lesquelles il n’a jamais exprimé de remords.
L’ouvrage de Jacobo Machover « la Face cachée du Che » est très
instructif de ce point de vue.
Les psychopathes ne font d’alliances que tant que
cela sert leurs buts personnels et qu’un psychopathe peut en
éliminer un autre.
« Pris par
l’exaltation et la folie de la guerre, nous sommes capables du
pire », dit Jean-Claude Guillebaud. Avec Simone Weil il invite
à « regarder en face les monstres qui sont en nous ».
Une thèse développée dans son dernier ouvrage, Le Tourment de
la guerre, aux éditions L’Iconoclaste.
Résister à la violence nécessite donc que
l’homme réapprenne la guerre et ait conscience de ses failles
? Pour la philosophe Simone Weil, il faut « regarder
en face les monstres qui sont en nous ». Lorsque j’ai couvert
la guerre du Liban, j’ai pris une grande leçon. C’est là que
j’ai vu le plus de sauvagerie. J’ai compris que n’importe qui,
même le plus gentil et le plus doux des hommes, pouvait devenir un
tortionnaire. Pris par l’exaltation et la folie de la guerre, nous
sommes capables du pire. Il est essentiel d’en avoir conscience.
Cela pour ne pas s’engager dans des voies comme celle de George W.
Bush lorsqu’il évoquait, en 2002, une « croisade »
contre « l’axe du Mal ». Cela consiste à penser que ce
Mal nous est toujours extérieur et que, si l’on tue ceux qui
l’incarnent, alors on en sera débarrassé. C’est une folie?!
Face aux actions de
Daesh, l’Occident doit-il porter la réplique ? Mon
expérience de reporter, les discussions avec mes amis, tout aurait
dû me pousser à devenir pacifiste. Mais je ne peux pas me résoudre
à baisser les bras devant des types qui décapitent des captifs en
les filmant. Vais-je rester l’arme au pied en me disant
non-violent?? Ce n’est pas possible. Cela fait d’ailleurs aussi
partie de mon tourment. En même temps, on voit bien que la réponse
à apporter est particulièrement complexe, et qu’il existe une
gêne américaine car tout cela est la conséquence directe de la
folie de George W. Bush en 2003 [ndlr : l’intervention
militaire en Irak]. Tous les chefs de Daech se sont connus dans les
prisons américaines en Irak?!
Comment jugez-vous la grande difficulté de
l’Union européenne à gérer la question des migrants ? C’est
effrayant?! L’Europe a montré qu’elle était divisée et
incapable de courage. En étant organisé, il est tout à fait
possible d’accueillir un million de migrants, alors que nous sommes
environ 500 millions d’Européens?! Au fond, tout cela procède
là aussi d’une incapacité à penser la guerre et ses
conséquences. Rappelons-nous qu’il y a eu nombre de migrations
massives durant la Seconde Guerre mondiale?! Et, comme nous sommes en
paix, l’Europe se « hérisse », les pays rétablissent
leurs frontières, installent des barbelés… L’Europe a perdu son
âme dans cette histoire, mais également son rayonnement sur le
monde. Elle ne pourra désormais plus se permettre de donner des
leçons de philosophie ou de démocratie.
D’autres armées se
sont appuyées sur le banditisme, de façon opportuniste, sans penser
aux conséquences ( ou peut être que si, dans leur cynisme....) Je
pense à l’armée américaine qui s’appuya sur la mafia
sicilienne pour préparer le débarquement en sicile. Mafia
moribonde, mise à mal par Mussolini qui ne supportait pas trop la
concurrence.
Non seulement ça, mais les marines débarquèrent un parrain, sorti de sing-sing, Lucky Luciano, pour organiser les soutiens, qui devait ensuite rester au pays de ses ancêtres, et faire fructifier son petit commerce mafieux, les us leur laissant même des marchés après la libération.
Non seulement ça, mais les marines débarquèrent un parrain, sorti de sing-sing, Lucky Luciano, pour organiser les soutiens, qui devait ensuite rester au pays de ses ancêtres, et faire fructifier son petit commerce mafieux, les us leur laissant même des marchés après la libération.
Les allemands n’ont
fait finalement en france, à une autre échelle, que de développer
la politique qu’ils avaient en Allemagne, pour remplir les
bataillons SA puis SS : Ouvrir les prisons aux psychopathes les
plus notoires !
D'UN AUTRE
COMMENTATEUR :
Révélateur de ce que
fut ce projet militaire : Un casse du millénaire, tout autant
du fric que des valeurs morales. Jamais la confiscation des avoirs de
pays concernés n’a jamais été si planifié que par ces
gangsters, qui ont défini leur idéologie en partie avec les
intérêts sonnants et trébuchants qu’ils pouvaient en tirer. La
nuit de cristal fut pour les juifs, le commencement de l’exil, sans
contrepartie, avec encore l’assurance de garder leur vie, mais plus
pour très longtemps. Ils laissèrent ainsi des biens considérables
derrière eux, que bien peu purent récupérer par la suite.
La 36e division ss dite
Brigade Dirlewinger était composée de droits communs pour la
plupart issu de la wehrmacht ou de la ss . C’était une
pratique courante dans les armées européennes : les
batd’af français, la légion étrangère ou les tercios
de la bandera espagnole. Les droits communs provenant de la
wehrmacht partaient pour les camps sous le
vocable Spezialabteilung.
En octobre 1944, un millier de « volontaires » communistes et un millier de « criminels », prélevés dans les camps de concentration, furent mis à la disposition de Dirlewanger . Les autres recrues de Dirlewanger étaient en majorité des criminels (voleurs, souteneurs, sadiques, coupables d'attentats aux moeurs, quelques assassins). Il y avait aussi des hommes de la Wehrmacht et de la SS, coupables de désobéissance ou de lâcheté, condamnés par des conseils de guerre et purgeant des peines de prison. On y ajouta même des Russes, des Ukrainiens.Quant aux cadres de ce ramassis de gibier de potence, les sous-officiers étaient en majorité d'anciens braconniers et d'anciens gardiens de camp de concentration ; les officiers, pour la plupart, avaient été dégradés, à la suite d'un passage devant un conseil de guerre, et ne portaient pas l'insigne correspondant au commandement qu'ils exerçaient.
La discipline était terrible. Dirlewanger détenait, de Himmler lui-même, pouvoir de vie et de mort sur ses hommes, ce qu'aucun chef SS n'avait. Les punitions disciplinaires pleuvaient : coups de gourdins, cellule sans lit et sans fenêtre, où l'homme puni devait se tenir debout jour et nuit ou tout simplement : Umlegen (abattre d'une balle dans la nuque)...
En octobre 1944, un millier de « volontaires » communistes et un millier de « criminels », prélevés dans les camps de concentration, furent mis à la disposition de Dirlewanger . Les autres recrues de Dirlewanger étaient en majorité des criminels (voleurs, souteneurs, sadiques, coupables d'attentats aux moeurs, quelques assassins). Il y avait aussi des hommes de la Wehrmacht et de la SS, coupables de désobéissance ou de lâcheté, condamnés par des conseils de guerre et purgeant des peines de prison. On y ajouta même des Russes, des Ukrainiens.Quant aux cadres de ce ramassis de gibier de potence, les sous-officiers étaient en majorité d'anciens braconniers et d'anciens gardiens de camp de concentration ; les officiers, pour la plupart, avaient été dégradés, à la suite d'un passage devant un conseil de guerre, et ne portaient pas l'insigne correspondant au commandement qu'ils exerçaient.
La discipline était terrible. Dirlewanger détenait, de Himmler lui-même, pouvoir de vie et de mort sur ses hommes, ce qu'aucun chef SS n'avait. Les punitions disciplinaires pleuvaient : coups de gourdins, cellule sans lit et sans fenêtre, où l'homme puni devait se tenir debout jour et nuit ou tout simplement : Umlegen (abattre d'une balle dans la nuque)...
Par contre, la Brigade
Nord Africaine a été créée par le truand H. Lafont et
le nationaliste marocain Al Maadi. et se composait de 200
crapules marocaines et algériennes.
Le comble, elle était financée par le milliardaire juif roumain Joseph Joinovici....http://lemussidanaisdanslasecondeguerremondiale.over-blog.com/article-
Le comble, elle était financée par le milliardaire juif roumain Joseph Joinovici....http://lemussidanaisdanslasecondeguerremondiale.over-blog.com/article-
GUERRE ESPAGNE : mon
livre démontre que sous couvert d'anarchisme ou de communisme russe,
l'Etat républicain a laissé libre cours à une noria de
psychopathes...
"Les cas des tueurs
de Nice et Orlando appartiennent-ils à une nouvelle forme de
terrorisme ?
Ce sont des profils psychologiques perturbés, qui
montent une action pour se faire tuer, comme un suicide déguisé,
et pour tuer un maximum de gens dans le même temps, afin d’avoir
une espèce de gloire post-mortem. Je crois que leurs cas doivent
être comparés à celui du pilote allemand qui a tué tous les
passagers en faisant chuter son avion. C’est un phénomène qui
est tout à fait différent d’une quelconque radicalisation, dont
on ne retrouve pas le schéma classique. Il faut voir cela sous un
angle psychopathologique, car la dimension idéologique y est
totalement absente. Ce n’est même pas sûr que l’on puisse
parler de terrorisme : le terrorisme, c’est l’idée de
terroriser l’autre pour aboutir à un projet de société
différent, par le biais d’actions rationalisées effectuées au
sein d’une organisation. Ici, à Nice, Orlando et dans le train
bavarois, on voit des formes de violences qui aboutissent à des
massacres, mais pas du terrorisme, sinon n’importe qui pourrait
devenir terroriste en commettant un meurtre et en se revendiquant
de Daesh."
« Il semble qu’il se soit radicalisé très
rapidement », déclarait Bernard Cazeneuve le 16 juillet,
au sujet de Mohamed Bouhlel, l’auteur de l’attentat de Nice. Un
non-sens pour Farhad Khosrokhavar, sociologue et directeur d’études
à l’EHESS, auteur de Radicalisation en 2014 et Le
Jihadisme (co-écrit avec David Benichou et Philippe Migaux) en
2015. Selon lui, les tueries d’ Orlando
et de Nice,
où les auteurs n’ont jamais été formés sur le territoire de
l’Etat islamique, ne doivent pas être confondues avec les actes
terroristes et idéologiques comme ceux du 13 novembre
2015.
Se revendiquer de Daesh ne serait qu’un prétexte pour passer à l’acte ?
Les attentats du 13 novembre étaient un réel
exemple de radicalisation djihadiste. Abaaoud
et les autres avaient un projet, et étaient donc animés par une
idéologie. Dans les cas qui nous intéressent, le lexique du
djihadisme et de la radicalisation est à mon avis inapproprié. Ce
sont des gens psychologiquement perturbés et très influençables.
Prenons le profil d’ Omar
Mateen, l’Américain-Afghan qui a tué une cinquantaine
d’homosexuels. Il
était lui-même homosexuel, et c’était une manière pour lui
de laver la honte qu’il ressentait à cela. Mohamed Bouhlel faisait
une profonde dépression. Son psychiatre a dit qu’il était
quasiment dans une phase psychotique, qu’il était fasciné par la
violence. Qu’est-ce qu’on a déniché en retraçant son
parcours ? Il a eu une
vie sexuelle exaltée et tourmentée, il consommait de l’alcool
et de la drogue, ne faisait pas le ramadan. Tout ça, on aura beau le
chercher dans l’Islam, on ne le trouvera pas. On dit qu’il a été
radicalisé rapidement, en dix jours. Mais un adulte ne se radicalise
pas comme ça, il doit étudier l’idéologie avant, cela prend
quelques mois au minimum. A la limite, on pourrait y croire si
c’était un adolescent, avec la possibilité qu’il y a à cet
âge-là d’une adhésion affective précipitée. Dans le cas d’un
adulte, s’il s’est vraiment radicalisé en dix jours, cela
signifie qu’il était mentalement déséquilibré.
Ils sont donc mus par la quête d’un quart d’heure de gloire morbide plus que par cette « révolte nihiliste » dont parle le politologue Olivier Roy au sujet des djihadistes ?
Le nihilisme était un courant et surtout une
manière d’exprimer sa révolte. Ici, ce n’est même pas une
révolte : c’est une manière de se mettre à mort, un
suicide déguisé en geste « héroïque ». C’est une
dépression profonde qui se traduit en acte destructeur autant pour
soi-même que pour les autres, dans une ultime démarche de
glorification narcissique. J’ai l’impression qu’ils se servent
de Daesh pour cette gloire, mais ils ont surtout des problèmes
mentaux. Leur côté influençable et leur environnement social
créent cela. Ils sont immergés là-dedans. Ils savent très bien
que s’ils se revendiquent d’une organisation terroriste, le
lendemain toute la presse parlera d’eux. Quand il n’y avait
personne à qui s’identifier, ces gens-là se suicidaient seuls
sans causer de torts autour d’eux. Le cadre qui les pousse
désormais à se revendiquer de Daesh, c’est la société
française actuelle, électrique, exaltée. Ce sont des gens
instables, qui se nourrissent de ce qu’ils voient à la télé et
entendent à la radio. Tout ce qui fait masse les attire.
CE QUE FONT LES PROTEGES DE L'US ARMY
Un groupe rebelle soutenu par les Etats-Unis a
annoncé aujourd'hui mener une enquête après la diffusion d'une
vidéo montrant
la décapitation d'un jeune garçon par un homme identifié comme
appartenant à son mouvement. Les images d'un combattant
découpant au couteau la tête du garçon atteignent le niveau
d'atrocité de celles qu'a diffusées l'Etat islamique au cours des
trois dernières années. D'autres images montrent le garçon avant
sa mort, à l'arrière d'un pick-up et des hommes l'accusant
d'appartenir à un groupe de Palestiniens combattant au côté des
forces de Bachar al Assad.
"Voici un prisonnier de la Brigade Quds. Ils n'ont plus d'hommes, alors ils nous envoient des enfants", dit l'un des hommes."Ce sont tes chiens, Bachar, les enfants de la brigade Quds", lance un autre homme. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, ces hommes appartiennent au Mouvement Nouraldine al Zinki, un groupe rebelle qui a reçu des équipement américains, notamment des missiles TOW. Un porte-parole du département d'Etat a dit que Washington enquêtait sur "ces informations répugnantes" et que ses livraisons d'équipements seraient suspendues si les faits étaient avérés.
"Voici un prisonnier de la Brigade Quds. Ils n'ont plus d'hommes, alors ils nous envoient des enfants", dit l'un des hommes."Ce sont tes chiens, Bachar, les enfants de la brigade Quds", lance un autre homme. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, ces hommes appartiennent au Mouvement Nouraldine al Zinki, un groupe rebelle qui a reçu des équipement américains, notamment des missiles TOW. Un porte-parole du département d'Etat a dit que Washington enquêtait sur "ces informations répugnantes" et que ses livraisons d'équipements seraient suspendues si les faits étaient avérés.
“Plus largement, la France n’est pas
crédible dans ses
relations avec l’Arabie saoudite . Nous savons très bien
que ce pays du Golfe a versé le poison dans le verre par la
diffusion du wahhabisme. Les attentats de Paris en sont l’un des
résultats. Proclamer qu’on lutte contre l’islam radical tout en
serrant la main au roi d’Arabie saoudite revient à dire que nous
luttons contre le nazisme tout en invitant Hitler à notre table.”
[Marc Trevidic, juge antiterroriste français, 15/11/2015]
Notes:
1Comme
n'importe quel roitelet du pétrole ou sinistre Erdogan, le despote
« républicain » est fort avec les faibles, il fait
licencier par ses obligés municipaux un employé qui s'était moqué
de son despotisme. L'employé
municipal, qui occupait un poste d'animateur, avait partagé sur son
compte Facebook une image injurieuse à l'encontre de Manuel Valls,
grimé en Hitler. Il
a été révoqué mardi de son poste
d'animateur pour avoir partagé sur son compte Facebook une image
injurieuse envers le Premier ministre. Le quadragénaire, en poste
depuis de nombreuses années, a été démis de ses fonctions à
l'issue d'un conseil de discipline engagé par la mairie, composé
d'élus et de représentants du personnel à part égales et présidé
par un magistrat du tribunal administratif de Versailles (Yvelines).
2Un
célèbre auteur de roman policier pour clientèle anarchiste et NPA
a même pris la défense de Valls face aux huées à Nice, prévenant
sur FB qu'il s'agissait seulement de sifflets de l'extrême
droite...
3En
réalité, non seulement parce que le pilote kamikaze n'était pas
arabe (ce qui aurait affaibli le nationalisme terroriste) mais
parce que daech n'est pas en guerre avec l'Allemagne... et qu'il est
fort possible que la bourgeoisie teutonne soit avec une fraction US
plutôt aussi derrière daech (via son allié turc). Dans la même
veine, la presse bcbg antiraciste a tenu à souligner combien les
allemands avaient réagi sans émotion à l'attaque à la hache d'un
réfugié, blessant gravement trois ou quatre passagers d'un train,
presque avec... sérénité. Bah oui, la presse aux ordres
d'Outre-Rhin a eu consigne de ne pas dramatiser... le taré à la
hache a eu beau se réclamer de daech, lequel ne lui avait
certainement rien demandé (pas plus qu'à Mohamed de Nice), ni de
frapper en Allemagne, pays si compréhensif avec l'envoi massif de
réfugiés (et de terroristes planqués) via le taxi turc ! Un
attentat bévue en quelque sorte, mais confirmant l'expansion
souvent incontrôlables des psychopathes modernes.
4On
remarquera la légèreté de la mère Touraine qui assure à chaque
fois que les caisses d'assurance vont dédommager les victimes, avec
la largesse d'une donzelle qui ne sera plus ministre dans quelques
mois. On laisse piller les caisses de l'Etat en pensant que les
électeurs auront oublié. Or il y a tant de victimes, et tant de
collatérales victimes, que les caisses d'assurance ont été vidées
et que tous les charlots associatifs locaux ont lancé des quêtes à
hue et à dia... tant et si bien que les prochaines victimes
pourront être assurées non secourables !
5Il
nous faut quand même garder les critères marxistes d'analyse
politique pour le fonctionnement du capital, mais en gardant un
partie pour l'aspect « fou » du capital décadent, sans
délirer comme le triste sire Francis Cousin qui invoque une mixture
de Debord, Rosa Luxemburg et « la crise de la domination
réelle du capital » sur son site « France-nation »,
auquel vous pouvez vous reporter si vous voulez rire un bon coup :
http://www.transparenceverite.com/2016/07/francis-cousin-analyse-et-propos-sur-l-attentat-de-nice-du-14-juillet-2016.html
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