« Economistes
et terroristes s’inclinent devant deux pôles opposés de la
tendance spontanée : les économistes devant la spontanéité
du « mouvement ouvrier pur », les terroristes devant la
spontanéité de l’indignation la plus ardente d’intellectuels
qui ne savent pas ou ne peuvent pas lier en un tout le travail
révolutionnaire et le mouvement ouvrier ». Lénine
« (les
régimes les plus démocratiques) ont su mettre en évidence que ce
ne sont pas des piqûres de moustique de quelques éléments
désespérés issus de la décomposition des couches petites
bourgeoises qui sont visées par les campagnes officielles actuelles
mais bien la classe ouvrière dont la révolte nécessairement
violente va constituer, lors de son réveil, la seule menace
sérieuse pour le capitalisme ».
Marc
Chirik (Terreur, terrorisme et violence de classe, 1979, p.251 de Marc Laverne et le CCI, tome II).
Chapeauté
intellectuellement par les éditions La Fabrique, le milieu marginal
contestataire, nommé black blocs ou ultra-gauche, vous le présentez
comme dangereusement anti-social voire pire que le covid de l'an 19.
Pourtant, politiquement et socialement tout ce milieu n'est qu'un
résidu dépassé de l'anarchisme, dont le seul horizon reste bloqué,
et confiné à un 1789 épique et joyeusement sanglant, résolument amnésique concernant le dérangeant Octobre 1917. Ce n'est
qu'une simple contestation anarchiste. Vous vous trompez de cible,
c'est mon milieu maximaliste qui est vraiment le courant le plus
dangereux à long terme contre votre règne, et qui possède la
guillotine théorique et politique qui permet d'échapper à vos
mensonges et à ceux de vos collaborateurs syndicaux, aux gauchistes et à leurs petits apprentis terroristes de papier.
Vos
policiers de l'ombre sont de bons voyeurs mais de parfaits imbéciles.
Dans les années 1970, face à la vague de terrorisme des désespérés
de l'après 1968, nous avions mis en évidence que le terrorisme
petit-bourgeois, que vos prédécesseurs ont si habilement exploité
n'était pas ni une avant-garde ni un éveil de la révolution, mais
bien l'expression de l'absence du prolétariat sur la scène, ou même
simplement d'un reflux de ses luttes propres. En cela nous suivions
les analyses si lucides et encore utiles de nos glorieux ancêtres
marxistes, Marx, Engels, Lénine et Trotsky1.
LES
INQUIETUDES DU GOUVERNEMENT « REVOLUTIONNAIRE » DE MACRON
Le
Point qui est en général un des meilleurs porte-parole du
gouvernement Poulidor, veut nous faire croire qu'il craint un nouveau
complot de Batz, en livrant généreusement l'article suivant
(article payé par les ex-RG et non payant pour tout lecteur) :
« Déconfinement : le renseignement craint une deuxième vague de Gilets jaunes. Les autorités s'inquiètent de la radicalisation de certains Gilets jaunes lors du confinement. Le service central du renseignement est sur le qui-vive ».
La
preuve : « Dès
la fin du confinement, le 11 mai, des militants qui se réclament
du mouvement des Gilets jaunes ont tenté de se rassembler, notamment
à Paris.
Les mesures de déconfinement prises dans le cadre de l'état
d'urgence sanitaire proscrivent pourtant ce type de regroupements. Le
Service central du renseignement territorial (SCRT) qui suit les
mouvances politiques radicales n'a pas été surpris pour autant ».
Le
journaliste du Point a eu sous les yeux la fiche des services en
question laquelle certifie que les services de l'ombre « ont
l'oeil » même sur la lâcheté des comploteurs jaunes :
« Dans
la partie prospective de sa note sur « l'impact du Covid-19 sur
la mobilisation des mouvances contestataires » datée du 6 mai,
le Renseignement faisait déjà état de ce retour : « Le
sujet de l'après-confinement est de plus en plus évoqué. Les
Gilets jaunes font preuve d'une certaine prudence : ils
craignent une contamination par le virus dans l'hypothèse de futurs
rassemblements et ne veulent pas se lancer dans la “bataille contre
le gouvernement les premiers” en dépit de leur impatience de
manifester sur la voie publique. » Certains aimeraient
relancer la mobilisation : « La deuxième vague arrive,
celle des Gilets jaunes et de la haine de ce pouvoir… ! ! ! »
Lors
du rassemblement d'une poignée de ces contestataires place de la
République, au jour J du déconfinement, un gardien de la paix est
cité comme ironisant : « ils se
sont dispersés à l'arrivée des policiers de la Direction de
l'ordre public et de la circulation, par « crainte [aussi bien]
de la contamination que de la verbalisation ».
Pourquoi
ces activistes de l'ombre sont-ils en colère ?
« Les
agents du Renseignement ont noté les principaux motifs de la colère
post-confinement des Gilets jaunes. Ils mettent en avant « la
contradiction entre la prolongation de l'état d'urgence sanitaire et
le déconfinement » : « État d'urgence sanitaire
prolongé et à côté de ça, on envoie nos gosses comme chair à
canon à l'école. » L'absence de quarantaine pour les
Européens entrant en France
les
choque : « Macron autorise les Européens à venir et
circuler librement dans toute la France et on nous interdit de faire
plus de 100 kilomètres. » S'insurgeant contre la
vente de masques par la grande distribution, certains Gilets jaunes,
par le biais des réseaux sociaux, évoquent l'hypothèse d'actions
contre les supermarchés qui en proposent ».
Les
blacks terroristes auraient même des gosses et se soucieraient de
leur exposition... au retour en classe ? Pas en classe ouvrière
bien entendu. Ils seraient aussi doués d'un instinct de protection
« nationale » contre le virus international. Une aile
gilet jaune de cette mouvance regretterait que le petit commerce soit
floué par les grandes surfaces pour la vente des masques... Passons
à leurs méthodes :
« La
méthode est indiquée sur leurs réseaux sociaux : « Il
existe des actions de blocage de caisse : des chariots sont
remplis de masques, se positionnent au niveau des caisses pour les
bloquer, et il y a un refus de débloquer tant que la grande surface
ne les a pas cédés (le tout accompagné d'un mégaphone expliquant
l'action au client qui nous entoure). » Selon les ex-RG,
les plus radicalisés d'entre eux surfent sur le thème de
« l'effondrement du capitalisme » et invitent le « peuple
travailleur » à décider de tout en formant des « comités
de travailleurs sur chaque lieu de travail et sur les lieux de vie »
et en élisant des « délégués responsables et révocables ».
Ils dénoncent également la réouverture des écoles, évoquant que
« leur seul et unique but est de remettre les parents au
travail pour sauver leur économie capitaliste, responsable de la
destruction des hôpitaux ».
Le
compte-rendu policier devient à son tour fabulateur, pour, avec
l'aide du journaliste Aziz Zemouri2 ,
la proposition néo-maoïste de rendre les masques au peuple,
peut-être tout à fait une invention policière tant elle est
ridicule. Il n'y a pas besoin d'être un espion des ex-RG pour
« informer » que les anars en général (et les marxistes
en particulier) « surfent sur le thème de l'effondrement du
capitalisme ». Quant à l'appel à des comités autonomes comme
recette, vieux cliché véhiculé par la servile stupidité des
gauchistes à des confinements en cartels syndicaux même sans le
terme syndical, ce n'est qu'un fétichisme creux car vide de contenu,
c'est comme si Nicolas vous appelait à acheter des bouteilles de vin
vides, dans l'espoir dans boire le contenu. Alors que, avant tout, il
faut savoir faire pousser la vigne, puis après cueillir le raisin,
le presser, conditionner le jus, puis l'embouteiller et enfin le
distribuer. Les policiers espions ne sont d'ailleurs guère inquiets
de cet truc à syndicaliste moyen. Enfin la dernière phrase sert à
discréditer comme anars primaires et inconscients névrosés leur
découverte (géniale!) qu'on fait des enfants de la « chair à
canon » pour envoyer les parents au front du travail « pour
sauver l'économie capitaliste » (et on bouffe comment?) car
(cri de la gauche étatiste) elle est « responsable de la
destruction des hôpitaux ». Sacré radicaux de la phrase de
gauche bobo et écolo ! Le programme de la gauche caviar n'est
pas simplement dans les urnes, il est aussi dans la rue.
Ce
passage policier, en son entier, est parfait pourtant pour
ridiculiser nos bobos insurrectionnalistes de papier, comme les
inter-titres du genre : « Sabotage de réseaux
téléphoniques : les sites d'ultragauche jubilent » ;
pas la population privée du flux informatique si indispensable à la
survie confinée ! De plus un certain Stéphane Espic (épique?)
est livré au public comme ex-entrepreneur et gilet jaune de la
première heure ! N'est-ce pas un complotiste lui aussi
puisqu'il considère que le covid-19 est de la foutaise voire un
génocide ? Il a été arrêté brièvement « avant de
retourner vivre chez ses parents ». Qui ne serait pas de l'avis
du journaliste policier que ce petit mec est vraiment infantile ?
Et que l'article a fait bien plus pour rassurer les masses contre une
nouvelle version terroriste des gilets jaunes que tout œil crevé
par LBD ? Mais le suspense de l'intox journalistico-policière
doit perdurer :
« Aux
Renseignements, on pointe une possible récupération du mouvement
des Gilets jaunes par plus radicaux encore. « Les mouvances
contestataires radicales espèrent plus que jamais pouvoir tirer
profit de la crise sanitaire liée à la pandémie du Covid-19 comme
elles l'avaient fait de la crise des Gilets jaunes qui était
devenue, au fil des semaines, une contestation antisystème, tant sur
le plan des revendications que sur celui des modes opératoires, de
plus en plus violents. »
En
vérité les renseignés et renseigneurs ne savent rien, et les plus
intelligents savent que c'est un mouvement de masse de prolétaires
qui est le seul vrai danger pour un automne rouge que de plus en plus
de commentateurs assis sur leurs chaises de plateaux TV ne cessent de
redouter pourtant à la veille d'une période souhaitée comme un
armistice, voire une rédemption nationale, les congés d'été.
COMMENT
EVITER DES EMEUTES EN SEPTEMBRE ?
Il
ne faut pas oublier les leçons de la Terreur lors de notre première
Révolution, avant la deuxième du citoyen Macron. La Terreur surgit
avant tout pour mettre fin à la terreur chaotique d'une masse de
petits bourgeois et de ploucs primaires déchaînés à exercer une
violence inter-individuelle. Cette Terreur est d'emblée saine parce
que la terreur chaotique échappe complètement au « gouvernement
révolutionnaire. Mais elle est en même temps une réponse
désespérée d'un gouvernement à l'agonie qui ne contrôle plus une
révolution qui est immature historiquement en même temps que moment
charnière nécessaire pour refonder une autre société hors du
confinement de la féodalité.
« Le
gouvernement révolutionnaire avait gagné une année, le temps de
vaincre ; il était maintenant menacé de se voir emporté, à
son tour, par une crise économique, comme l'Ancien régime et les
Girondins. Puisque la paix était encore lointaine, il estimait
d'ailleurs qu'il lui fallait maintenir le régime. C'est pourquoi il
laissait la Terreur à l'ordre du jour ». Georges Lefebvre, La
révolution française, tome XIII, p.400).
C'est
le premier conseil que je vous donne, gouvernement révolutionnaire
Macron : « laissez le plus longtemps possible le covid-19
à l'ordre du jour » !
N'oubliez
pas les leçons de 1789, face aux exécutions sommaires par la foule
ameutée :
« Pour
les prévenir, le déploiement de la force publique ne suffit pas
toujours ; il fallut calmer l'effervescence par la poursuite
attentive des conspirateurs et par des sanctions promptes et
rigoureuses. Les assemblées instituèrent des comités des
recherches ou de sûreté générale et déférèrent les crimes de
« lèse-nation » à une juridiction spéciale, le
Châtelet d'abord, la Haute Cour ensuite, et finalement le tribunal
du 17 août 1792 »3.
Avec
l'invasion du covid-19 et la guerre de classe, la situation ne va pas
se régulariser :
« Durant
cette première période, la répression ne se régularisa pourtant
pas. Durant les accalmies, le danger s'estompant et la bourgeoisie
répugnant aux procédures expéditives qui menaçaient la sécurité
de l'individu, les sanctions parurent dérisoires ; il suffisait
d'un incident local pour que les exécutions sommaires reparussent.
Avec la guerre et l'invasion, elles se multiplièrent et culminèrent
à Paris par les massacres de septembre (sic) »4.
Or,
« le contrôle de la répression «échappa en partie au
gouvernement. L'urgence la décentralisa comme l'administration
d'autant que rien, en l'espèce, n'y peut mieux pourvoir que des
comités locaux grâce à l'information acquise de longue date par
leurs membres ». C'est la police locale qui exerça au mieux la
terreur, qui parfois « collabora avec les terroristes du cru ou
les contrecarrèrent ». « De cette diversité ondoyante
il résulta que le champ de la répression s'élargit et que,
cependant, la rigueur en fut extrêmement inégale ».
Le
complot ultra-gauche ne peut pas être seul en cause :
« La
situation économique et ses conséquences sociales désignaient
maintenant d'autres « ennemis du peuple » ; les
riches qui cachaient leur argent ou l'envoyaient à l'étranger, les
producteurs qui éludaient le maximum, ceux qui refusaient
l'assignat. La Terreur devint ainsi le soutien de l'économie
dirigée, dont les sans-culottes comptaient qu'elle assurerait leur
existence »5.
Attention,
une répression terroriste aveugle , bien qu'efficace contre des
terroristes : « n'en arriva pas moins à frapper, ou, bien
plus fréquemment encore, à inquiéter et à irriter une foule de
gens qui, hostiles sans doute au gouvernement révolutionnaire pour
une raison ou pour une autre, se résignaient pourtant à obéir et,
en tout cas, ne songeaient ni à conspirer, ni à s'insurger. (…)
Les haines personnelles, l'esprit de vengeance, qui s'infiltra dès
l'origine dans la volonté punitive, et surtout l'autoritarisme
impulsifs de certains hommes aggravèrent à l'occasion la sévérité
ou la ranimèrent après une accalmie »6.
Attention
à la politique de l'amalgame avec la notion généralisée de
complot ultra-gauche :
« La
notion généralisée de complot aristocratique, étendue à tous
ceux qu'on inculpait d'hostilité à l'égard du régime, explique la
pratique croissante de l' « amalgame », qui, au déni de
toute procédure vraiment judiciaire, rassemblait dans la même
sentence des accusés qui s'ignoraient et dont les actes ou les
paroles n'offraient rien de commun que leur solidarité préjugée
dans la « conspiration contre le peuple français »7.
Etre
bien conscient qu'à l'époque contemporaine il faut assurer la
soumission de la multitude sans la réduire au désespoir :
« Comme
instrument de gouvernement, les méthodes terroristes auraient pu
appeler à la réflexion les Comités victorieux. Tous les régimes
autoritaires y recourent, et aussi les autres en temps de guerre ou
d'insurrection ; mais c'est une règle pour les politiques de
s'en tenir à des exemples qui assurent la soumission de la multitude
sans la réduire au désespoir »8.
La
crainte du complot ultra-gauche peut s'estomper très vite et ne plus
calmer la fièvre populaire. La Grande Terreur instituée le 22
prairial 1793, avec ses dernières fournées pour la guillotine
montra que la surenchère était vaine, une fois le complot de Batz
dégonflé :
« L'opinion
s'émut et les usages de la répression y aidèrent : les
charrettes transportaient lentement les condamnés à travers les
faubourgs Saint-Antoine jusqu'à la barrière du Trône-renversé,
emplacement nouveau de l'échafaud ; le supplice était public
et la guillotine, tranchant la tête et répandant le sang, frappait
l'imagination »9.
Pour
tous tes ministres ignorants en histoire comme en maximalisme de
classe, gouvernement
Macron, je te livre l'anecdote sur la
conjuration de Batz (1793-1794). Le mousquetaire Jean
de Batz, nominé très tôt par Louis XVI (même taille que Edouard
Philippe, mais une fois la tête coupée, la taille de Macron) et un
de ses fervents fidèles jusqu'au bout, fut surtout un aventurier
agioteur et baiseur. Il ne tint pas à se vanter de ses talents
d’agioteur et de faussaire, mais il a servi d'excellent modèle au
D'Artagnan d'Alexandre Dumas. Le complot qu'on lui prêta fût tout
de même plus sérieux que celui des petits cons de l'insurrection
qui venait, puisque Robespierre en personne fut abusé.
Les éternels seconds |
Ce
plan de Batz qui devait « faire disparaître la Montagne et ces
coquins de sans-culottes » comportait quatre phases.Première
phase : choisir, soigneusement, les Montagnards et sans-culottes
à abattre. Deuxième phase : les séduire ou les
corrompre.Troisième phase : leur faire commettre des actes
hautement répréhensibles.Quatrième phase : les dénoncer à
la vindicte publique et compromettre ainsi tout le régime.Dans un
projet de rapport qu’on retrouvera chez lui, après sa mort,
Robespierre abusé sur l'ampleur de ce complot, croyait démonter le
mécanisme de toute l’opération :« Il existait une
conspiration de corrompre les représentants du peuple et de diffamer
tous les autres, et surtout les patriotes, pour arriver à la
contre-révolution par l’anéantissement de la représentation
nationale ; de ruiner les finances en entraînant la Convention
dans des mesures impolitiques déguisées sous l’apparence du bien
public. »Et plus loin, dans ce même projet, on peut lire cette
phrase :« A la tête de ce complot était le baron de
Batz. »
Mais
ce n'est pas par ce présumé complot que Robespierre est tombé,
mais sous une manœuvre politique de ses confrères et sous la
guillotine.
NOTES
1On
peut lire un bon florilège sur le blog de Yves Coleman, bien que
cet ancien petit chef cul-béni de LO n'y comprenne que pouic,
contrairement à Karim Landais, qu'il a sauva de l'oubli :
« « Trotsky
soulève deux dimensions intéressantes, même s’il les lie
indissolublement au contexte, en évoquant le mode d’organisation
terroriste, son caractère bureaucratique, et surtout en soulignant
l’incompatibilité entre action terroriste et action de masse, du
fait du caractère même de la psychologie terroriste ».
C'était
d'ailleurs le même type de mentalité des petits chefs en gilets
jaunes et des petits chefs black blocs. Coleman cite à tour de bras
sans comprendre, et oublie le princialé acrit sur le terrorisme à
la fin du XX ème siècle, celui de Marc Chirik : Terreur,
terrorisme et violence de classe ».
2Rien
à voir avec le publicitaire du RN et de Staline, Zemmour, plus
certainement avec le genre d'arriviste fayot de banlieue telle Avia,
la députée antiraciste raciste qui, comme tous les parvenus issue
de la « diversité » n'aiment jamais tant que d'humilier
leurs subordonnés, surtout s'ils sont chinois, français et blancs.
3Georges
Lefebvre, p.401.
4Ibdi.
5Ibid,
p.403.
6Ibid,
p.404.
7Ibid,
p.107.
8Ibid,
p.406.
9Ibid
p.409.
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