Oui LES DEPUTES BOURGEOIS
Osent offrir des CHRYSANTHEMES puants aux communards assassinés par l'Etat du
nain féroce Thiers!
« La
tradition c'est la démocratie des morts » Chesterton
De
quoi je me mêle ? Les héritiers du gouvernement du massacreur
Thiers n'ont pas honte ? Ces souteneurs d'un gouvernement
bourgeois qui a porté une des pires attaques contre la classe
ouvrière depuis la guerre, avec sa loi travail, s'arrogent de
réhabiliter les communards ! Ni nous ni les morts de notre
classe révolutionnaire ne leur avons rien demandé (note). On lit dans Le
Point de ce mercredi la réhabilitation suivante de MM. Les députés
de la gauche bourgeoise :
« L'Assemblée
nationale a voté mardi soir, à l'initiative des socialistes et au
grand dam de la droite, un texte proclamant la réhabilitation de
toutes les victimes de la répression de la Commune de Paris de 1871.
La Commune de Paris, dernière révolution du 19e siècle et première
tentative d'un gouvernement de la classe ouvrière, fut la réaction
à la défaite française lors de la guerre franco-allemande de 1870.
L'insurrection des Parisiens contre le gouvernement provisoire
dirigé par Adolphe Thiers, installé après la déchéance de
Napoléon III, a duré 72 jours, du 18 mars au 28 mai 1871. Des
exécutions lors de la Commune, notamment durant la Semaine
sanglante, ont fait entre 10.000 et 20.000 morts, voire plus, selon
les estimations. Et des milliers de condamnations à mort, à la
déportation, aux travaux forcés ou à de la prison ont été
prononcées postérieurement. En mars 1879, une amnistie partielle
des communards avait été votée par l'Assemblée, puis, en juillet
1880, une loi d'amnistie générale concernant les condamnations
prononcées après la défaite de la Commune. Evoquant un "acte
solennel" par "devoir d'histoire" autant que "de
justice", le président PS de la commission des Affaires
culturelles et élu parisien Patrick Bloche a plaidé que "le
temps est désormais venu pour la République" de rendre ainsi
justice à tous les communards, "victimes d'une répression
impitoyable". Secrétaire d'Etat aux Relations avec le Parlement
et ancien député de Paris, Jean-Marie Le Guen a appuyé un texte
qui "favorise la transmission de la mémoire" des
communards, "patriotes"(sic! comme le bandit Thorez en 1945) et "insurgés" aux
valeurs ayant "inspiré la République". La proposition de
résolution, signée notamment par le chef de file des députés
socialistes et écologistes réformistes Bruno Le Roux et plusieurs
élus parisiens, souhaite notamment que "la République rende
honneur et dignité à ces femmes et ces hommes qui ont combattu pour
la liberté au prix d'exécutions sommaires et de condamnations
iniques". Le texte proclame "la réhabilitation des
victimes de la répression de la Commune de Paris de 1871".
Tout est dans le
bla-bla, la canonisation des « sans dents » de l'époque
chaut moins à ces M'sieurs-dames que de savoir qu'ils vont la
plupart ramasser leur veste l'an tout prochain. On se souviendra de
l'apport incontestable de la gent socialiste à l'histoire de la
misère sociale et à la prolongation du chômage de masse, comme
d'une aptitude à accumuler les hommages funèbres : hommage aux
pioupious de 14-18, hommages répétés aux centaines de victimes non
protégées contre les attentats terroristes pour finir par cette
galéjade de réhabilitation communarde qui ne peut que réjouir les
vieux croûtons crypto-staliniens « Amis de la Commune de Paris »
(que j'avais été ridiculiser dans leur séance en la mairie du
13ème, il y a un bail, en compagnie de Sabatier et Goupil) et les merdeux anars qui
taguent pieusement « Vivement (un recommencement imaginaire et barricadier) la Commune »,
parce qu'ils ne connaissent rien de son histoire, rien des mythes qui
ont été entretenus à son sujet. Non, pas plus que le gouvernement
bolchevique, l'assemblée de la Commune ne fut « un
gouvernement de la classe ouvrière » (expression de Marx qu'il
a finalement reniée) ni le modèle avéré de la « dictature
du prolétariat » (selon Engels)s dans le futur. Non les
fonctionnaires n'ont pas été payés au même tarif que les
ouvriers, etc. Je conseille vivement à ceux qui veulent se déciller
sur les racontars les plus romanesques sur l'épopée de la Commune,
d'abord d'abandonner toute religiosité, ensuite de lire les deux
ouvrages suivant : Robert Tombs « Paris bivouac des
révolutions » et Philippe Riviale « Sur la Commune ». La Commune reste une "expérience" pas un "modèle", ni un mausolée à "réhabiliter". quoiqu'on ait oublié (ou soit passé à côté) la principale leçon de la Commune, valable pour l'avenir: LA NECSSITE POUR LE PROLETARIAT DE PRENDRE LE POUVOIR FACE A L'IMPERITIE DE LA CLASSE BOURGEOISE! Ce fût à cette époque face à la débilité de la caste militaire, demain ce sera face à la débilité de la caste militaro-financière.
Vous trouvez reproduit
ici l'article du journal de la GCF (Gauche Communiste de France)
« L'étincelle » (=Iskra, nombre de minorités ont ainsi
repris ce titre fétiche du journal de Lénine, l'étincelle « devant
mettre le feu à la pleine »). Ce numéro 3 de mars
1945 reprend dans
ses grandes lignes les remarques pour la plupart
valables de Lénine, et refuse de laisser les staliniens au pouvoir
barbouiller de leur nationalisme stalinien le souvenir de La
Commune ; nous souscrivons pleinement à leur dénonciation de
ces autres réhabilitateurs-récupérateurs dissolvants d'époque.
Mais que le glorieux souvenir de cette insurrection ne se laisse pas
dévier de la nécessaire critique de nos erreurs dans notre propre
mouvement historique.
Mais en 1945 comme en
2016 nous avons la prétention de laisser ces minables bourgeois
enterrer les morts qu'ils veulent ou qu'il s'approprient
honteusement, quand leurs ancêtres ont eux-mêmes commis les
meurtres massifs, mais nous, nous rendons hommage à « nos
morts » en continuant le combat mais avec le souci de ne pas
recommencer leurs erreurs afin que de leur défaite nous puissions
garantir le mouvement de la victoire, au bout du compte, et que nous
ou nos successeurs leur devront de toute manière !
LA
COMMUNE APPARTIENT AU PROLETARIAT
Depuis des années la classe
ouvrière internationale célèbre chaque année l'anniversaire de
la Commune de Paris. Jusqu'à aujourd'hui, la Révolution du 18 mars
1871 représentait pour nous, ouvriers de tous les pays, la révolte
des exploités contre la bourgeoisie responsable de la guerre et de
la misère, la première expérience d'un pouvoir des ouvriers se
substituant à l'Etat capitaliste. Les révolutionnaires du monde
entier regardaient la Commune, avec la révolution d'Octobre 1917 en
Russie, comme des exemples et des guides sur le chemin de
l'émancipation des travailleurs. Mais aujourd'hui il se trouve des
gens pour la salir et la déformer, pour en changer 74 ans plus tard
les buts et le caractère.
Ces nouveaux historiens
falsificateurs, vous les connaissez, ce sont les ex-communistes, les
super patriotes Thorez, Duclos et Cie. Que les ouvriers conscients
qui se trouvent encore dans les rangs du P.C.F. Se rappellent ici que
ces mêmes hommes leur disaient voici quelques années, qu'ils se
souviennent des manifestations et des meetings où l'on exaltait la
mémoire des héros de 1871. Et qu'ils comparent ce langage-là avec
celui, pitoyable, d'aujourd'hui : « la Commune aurait été
« la révolte du patriotisme blessé et humilié »,
« l'union des républicains contre les prussiens et les
traîtres » ; les « communards » des champions
héroïques et ardents de la cause nationale et républicaine ,
ainsi que l'écrit L'Humanité du 18-19 mars !
La Commune n'a rien été de
tout cela.
« Au début, ce mouvement
fut extrêmement confus et indéterminé. Il rallia des patriotes qui
espéraient que la Commune recommencerait la guerre contre les
allemands et la mènerait jusqu'à la victoire ; il groupa des
petits boutiquiers que menaçait la ruine s'il n'était pas sursis
aux échéances de traites et au paiement du terme (ce sursis que
refusait le gouvernement, fut accordé par la Commune), enfin, dans
les premiers temps il obtint même certaines sympathies du côté
des républicains bourgeois qui craignaient que l'Assemblée
nationale réactionnaire (composée de «campagnards », de
farouches propriétaires) ne rétablisse la monarchie.
Mais le rôle principal fut
joué par les ouvriers (surtout
par les artisans de Paris), chez
lesquels, dans les dernières
années du Second Empire la propagande socialiste avait été
très active et dont un grand nombre appartenaient même à
l'Internationale ».
(Lénine, « A la mémoire de la Commune », Rabotchaïa
Gazeta, 28 avril 1911).
Mais, par la suite les camps se
délimiteront nettement : bourgeois républicains, ou non, d'un
côté, prolétaires de l'autre :
« Seuls
les ouvriers restèrent fidèles
à la Commune jusqu'au bout. Les républicains bourgeois et petits
bourgeois l'avaient abandonnée depuis longtemps,
les uns effrayés par le caractère révolutionnaire socialiste
prolétarien du mouvement, les autres dès qu'ils virent que ce
mouvement était condamné à une irrémédiable défaite. Seuls
les prolétaires français
soutinrent sans crainte et sans lassitude leur
gouvernement ; seuls ils
combattirent et moururent pour lui, c'est à dire pour la cause de
l'émancipation de la classe ouvrière ». (idem)
« Toute
la bourgeoisie de la France (…)
tous les exploiteurs
s'unirent contre elle » (Lénine idem).
« Cette coalition
bourgeoise (…) réussit à soulever les paysans ignorants et la
petite bourgeoisie provinciale contre le prolétariat parisien »
(Lénine, idem).
« Dans
plusieurs grandes villes de France (Marseille, Lyon, Saint Etienne,
Dijon, etc.) le souvriers tentèrent également de s'emparer
du pouvoir, de proclamer la
Commune et d'aller au secours de Paris, mais ces tentatives se
terminèrent vite par des échecs » (Lénine, idem).
La Commune ne fut pas patriote.
« Le 12 avril, la Commune
ordonna, comme étant le symbole du chauvinisme et de la haine des
peuples, le renversement de la colonne que Napoléon avait fait
élever place Vendôme » (Marx, La Guerre civile en France »)
La Commune ne fut pas
nationaliste.
« Le même jour (30 mars)
les étrangers élus dans la Commune furent maintenus dans leurs
fonctions, « Le drapeau de la Commune étant celui de la
République Universelle » (Lénine, idem).
La Commune ne fut pas
anti-boche.
« La
bourgeoisie avait trouvé le temps de déployer son patriotisme en
organisant la chasse policière aux allemands qui habitaient en
France, la Commune, elle, fit d'un ouvrier allemand (Léo
Frankel) son ministre du travail »
(Lénine, idem).
Si, dans le domaine social, les
mesures qu'elle prit, nous apparaissent aujourd'hui insuffisantes,
leur faiblesse relative s'explique par deux facteurs :
- Le capitalisme français était encore dans sa phase de développement et le prolétariat n'était pas très nombreux, concentré ni organisé ; il n'y avait pas de parti ouvrier ;
- Le temps fît défaut à la Commune ; elle dût, dès le début de son existence – qui fut brève – se défendre par les armes.
Pourtant,
même dans ces conditions si défavorables, elle entreprit une œuvre
à caractère nettement prolétarien. Le 30 mars, elle supprima la
conscription et l'armée permanente en y susbtituant l'armement
général du peuple.
Le 1er avril, elle décida que
le traitement de ses fonctionnaires ne dépasserait pas celui des
ouvriers.
La Commune supprima le système
des amendes et des retenues sur les salaires, interdit le travail de
nuit dans les boulangeries, confisqua toutes les usines et fabriques
abandonnées par leurs propriétaires ou qui avaient simplement
arrêté le travail, pour les remettre entre les mains des
associations ouvrières.
Malgré ses imperfections, son
inexpérience, sa jeunesse : « Elle était par-dessus tout
un gouvernement de la classe ouvrière ; le résultat de la
lutte entre la classe qui produit et celle qui s'approprie le produit
de celle-ci ; la forme politique enfin trouvée, sous laquelle
il était possible de réaliser l'émancipation du travail ».
(…) « La Commune se proposait d'abolir cette propriété de
classe qui crée avec le travail du plus grand nombre la richesse du
plus petit. Elle visait à exproprier les expropriateurs ».
Ainsi la définissait Marx qui en suivit de près l'évolution. Ce
sont ces passages-là qu'il faut citer, messieurs les falsificateurs
qui osez encore vous réclamer de lui !
C'est cela qu'il fallait
expliquer aux ouvriers à la place de vos ridicules mensonges sur le
« patriotisme humilié » !
Il fallait encore leur dire
comment la Révolution d'Octobre 1917 en Russie a repris, développé,
enrichi l'expérience de la Commune – leur montrer comment
aujourd'hui, en pleine faillite du système capitaliste, le
prolétariat – mille fois plus nombreux et plus fort qu'en 1871 –
peut et doit suivre les traces de la Commune et la dépasser vers le
socialisme. Mais pour tenir ce langage, il faut être
révolutionnaire, communiste : nos Thorez et Duclos l'ont
oublié, n'étant plus que des valets.
Frédéric Engels disait de la
Commune en 1891 :
« Le bourgeois allemand
entre toujours dans une sainte terreur au mot « dictature du
prolétariat ». Voulez-vous savoir ce que veut dire cette
dictature ? Regardez la Commune de Paris. VOILA LA DICTATURE DU
PROLETARIAT ! ».
C'est parce que la Commune fut
le début de cette dictature que le vieux monde jure de l'abattre.
Et
ce furent la 3ème République et les républicains –
M. Thiers en tête – qui l'écrasèrent par le sang et par le feu,
massacrant 100.000 travailleurs dont 30.000 fusillés sur le champ et
des milliers d'autres déportés ou mis à mort par la suite.
Où est donc cette cause
nationale et républicaine ? Cette « union de tous les
bons français » ?
Où est cette Commune à la
sauce patriotarde que MM. Thorez et Duclos ont voulu nous faire
avaler de force le 17 mars à la salle Japy ?
Elle n'existe pas.
Elle n'est qu'une duperie de
plus.
Comme « la République
VRAIMENT démocratique ».
Comme « la France libre,
forte et heureuse ».
Comme le « Parti
Communiste (?) Français ».
Comme tout ce qui vient de la
bourgeoisie.
Il n'y a qu'une Commune, comme
il n'y a qu'une Révolution d'Octobre 1917.
Cette Commune est celle dont
Marx parle ainsi :
« Lorsque
la Commune de Paris prenait en ses propres mains la direction de la
Révolution ; lorsque de simples ouvriers osaient pour la
première fois empiéter sur la privilège gouvernemental de leurs
« supérieurs naturels » ; lorsque dans les
circonstances les plus difficiles, ils accomplissaient leur œuvre
modestement, consciencieusement et efficacement, le vieux monde se
tordait de rage à la vue du drapeau rouge, symbole de la République
du Travail, flottant sur l'Hôtel de ville ».
(note) C'est le même genre de supercherie dont fut capable l'alcoolique Boris Eltsine parvenu au pouvoir après la chute de la vieille maison stalinienne. Une de ses premières mesures pour épater la galerie ne fut pas, par exemple de jeter le cercueil de Staline à la décharge publique, mais de "réhabiliter" les marins de Kronstadt! Vous m'avez compris.
RECTIFICATION HISTORIQUE
Même les meilleurs connaisseurs de la Commune restent focalisés sur l'insurrection du 18 mars 1871, connue pour être une levée en masse pour préserver les munitions entreposées à Montmartre, aspect réducteur et récupérable par les blanquistes "patriotes". Or la révolution a commencé bien avant, avec l'Affiche rouge du 25 septembre 1870 imprimée et collée à Lyon, dont le contenu est soit oublié soit méconnu. Il y apparaît clairement que le prolétariat ne se soucie pas que de la guerre mais, surtout, remet en cause l'impéritie de la bourgeoisie et réclame l'abolition de l'Etat pour la première fois de l'Histoire aussi clairement:
"La situation désastreuse dans laquelle se trouve le pays; l'impuissance des pouvoirs officiels et l'indifférence des classes privilégiées ont mis la nation française au bord de l'abîme.
Si le peuple organisé révolutionnairement ne se hâte pas d'agir , la révolution est perdue, tout est perdu (...) les délégués des comités fédérés du Salut de la France, réunis au Comité central , proposent d'adopter immédiatement les résolutions suivantes:
ARTICLE PREMIER: La machine administrative et gouvernementale de l'Etat étant devenue impuissante, est abolie;
ARTICLE 2: Tous les tribunaux criminels et civils sont suspendus et remplacés par la justice du peuple.
etc.
De plus la réimpression des deux journaux de la Commune (du matin et du soir) est une falsification des Versaillais, sur laquelle les braves historiens staliniens ont travaillé en la prenant pour argent comptant... : http://archivesautonomies.org/spip.php?article1674
(note) C'est le même genre de supercherie dont fut capable l'alcoolique Boris Eltsine parvenu au pouvoir après la chute de la vieille maison stalinienne. Une de ses premières mesures pour épater la galerie ne fut pas, par exemple de jeter le cercueil de Staline à la décharge publique, mais de "réhabiliter" les marins de Kronstadt! Vous m'avez compris.
RECTIFICATION HISTORIQUE
Même les meilleurs connaisseurs de la Commune restent focalisés sur l'insurrection du 18 mars 1871, connue pour être une levée en masse pour préserver les munitions entreposées à Montmartre, aspect réducteur et récupérable par les blanquistes "patriotes". Or la révolution a commencé bien avant, avec l'Affiche rouge du 25 septembre 1870 imprimée et collée à Lyon, dont le contenu est soit oublié soit méconnu. Il y apparaît clairement que le prolétariat ne se soucie pas que de la guerre mais, surtout, remet en cause l'impéritie de la bourgeoisie et réclame l'abolition de l'Etat pour la première fois de l'Histoire aussi clairement:
"La situation désastreuse dans laquelle se trouve le pays; l'impuissance des pouvoirs officiels et l'indifférence des classes privilégiées ont mis la nation française au bord de l'abîme.
Si le peuple organisé révolutionnairement ne se hâte pas d'agir , la révolution est perdue, tout est perdu (...) les délégués des comités fédérés du Salut de la France, réunis au Comité central , proposent d'adopter immédiatement les résolutions suivantes:
ARTICLE PREMIER: La machine administrative et gouvernementale de l'Etat étant devenue impuissante, est abolie;
ARTICLE 2: Tous les tribunaux criminels et civils sont suspendus et remplacés par la justice du peuple.
etc.
De plus la réimpression des deux journaux de la Commune (du matin et du soir) est une falsification des Versaillais, sur laquelle les braves historiens staliniens ont travaillé en la prenant pour argent comptant... : http://archivesautonomies.org/spip.php?article1674
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire