«Sur tous les postes à la fois nous sommes au bord du désastre», En somme, l'alternative, c'est le miracle ou la faillite» ». Général De Gaulle (1958)
Dans quel ordre Marx avait-il utilisé les adjectifs : « en général les événements se se produisent deux fois, une première fois comme une tragédie, une deuxième fois comme une farce » ; peu importe on peut les inverser. On ne sait pas encore où va aboutir la crise politique en France aujourd'hui mais on ne peut s'empêcher de faire un parallèle avec la crise économique, politique et sociale de 1958 qui mena à la fondation de la 5ème République. Mais que la clique trotskienne derrière Mélenchon ne se fasse pas trop d'illusion sur une 6ème République stalino-délirante, la bourgeoisie n'en veut pas et le prolétariat non plus.
La récession de 1958 dura huit mois. Son origine provenait des Etats-Unis entraînant la fermeture de nombreuses entreprises en France (à comparer avec les conséquences de la surtaxation trumpiste...). De plus, depuis quatre années la bourgeoisie française s'engluait dans la guerre d'Algérie de plus en plus impopulaire (on pense aux colons israéliens...). De Gaulle surgit alors pour tente de mettre un terme à la crise politique, pas seulement causée par cette guerre coloniale.L'instabilité politique entraîne une hausse des prix, l'inflation, que les ménages subissent de plein fouet. En subissant ces conséquences, les ménages peuvent également devenir dépendants de l'aide nationale et/ou internationale. (cf. l'appauvrissement important d'une grande partie de la population dans la France de 2025).
En période de crise économique et politique, plus intéressant que les statistiques des économistes et sociologues est l'observation des conséquences pour la principale classe exploitée, la classe ouvrière. La référence pour ces années là, reste la revue « Socialisme ou Barbarie »1
UNE SITUATION OU GREVES ET MANIFESTATIONS NE MENAIENT A RIEN
« Depuis la rentrée de nombreux mouvement de grève se sont succédés. Les travailleurs étaient revenus de vacances préparés à lutter contre la baisse de leur pouvoir d'achat, qui s'accompagne d'une augmentation du rendement, des cadences et de la fatigue. A plusieurs reprises, tantôt spontanément, tantôt sur ordre des synicats ouvriers, employés et fonctionnaires ont cessé le travail. Dans certains secteurs ils ont manifesté une combativité extraordinaire : A Nantes, les grèves tournantes ont duré plusieurs semaines...(...) Cependant il faut bien constater que tous ces mouvements n'ont abouti à rien ou presque. Au contraire la situation ne fait qu'empirer (…) Le gouvernement Gaillard se permettait de décréter des augmentations importantes des prix frappant une série d'articles essentiels : quelles sont les raisons de cet échec ?
Les mouvements de grève de ces trois derniers mois, sporadiques, limités, non coordonnés, n'ont pas été de véritables luttes. Les travailleurs ne se sont pas mis en grève jusqu'à satisfaction complète des revendications, en mettant en œuvre tous les moyens nécessaires pour faire aboutir l'action ».2
La cherté de la vie n'est pourtant pas la cause directe de cette atonie de la lutte de classe. On est en pleine guerre coloniale. Et surtout en pleine crise politique :
« Cette crise s'est traduite par une décomposition de plus en plus prononcée des institutions parlementaires et des partis et par une incohérence de plus en plus complète de leur fonctionnement : le 13 mai il est apparu soudain de façon violente que, par le système parlementaire, tel qu'il s'est exercé sous la IV ème République, la grande bourgeoisie ne parvenait plus à gouverner efficacement la France, puisqu'une fraction marginale et parasitaire de la société pouvait s'insurger victorieusement contre l'organe en principe chargé de coordonner la gestion de la société au mieux des intérêts du capital ».3
Nul risque de fascisme comme le pleurnichent les gauchistes de l'époque, et surtout, des deux côtés de la Méditerranée les populations sont désormais plus sensibles au poids de la guerre (allongement du service militaire à 27 mois) qu'à ses objectifs. En France métropolitaine, comme on dit à l'époque, S ou B décrit un profond dégoût de cette IV ème République, régime d'exploitation des ouvriers, comme les autres, et incapable de gérer de façon cohérente la société sans oublier la peur de l'inconnu face à l'action de putschistes d'Alger ? La classe ouvrière ne voit ni pour quels objectifs ni par quels moyens sortir de cette situation. Cette apathie des masses » a de plus contaminé les autres couches de la population :Ce que De Gaulle a parfaitement compris4
« Le faciès cadavérique des congrès socialiste et radical au début de septembre a frappé tous les observateurs. Divisés profondément sur la réponse à donner au référendum, ils n'ont même pas été capables d'élaborer des solutions aux problèmes, dans lesquelles leur totale irresponsabilité leur aurait permis de se montrer audacieux. Ces restes de la IV ème République n'existent qu'autant que De Gaulle consent à les réchauffer pour les mélanger à sa grande cuisine historique. Plus lourde de conséquences, certainement, fut l'incapacité totale où se sont trouvés les partisans du « non » au référendum à proposer un programme positif pour sortir « à gauche » de la crise, et qui marque l'aboutissement de quatre années de décomposition de la « gauche », au cours desquelles elle a peu à peu cessé d'avoir prise sur le prolétariat, et s'est ainsi vidée de sa substance ». 5
« La multiplication des partis est ainsi confirmée par le jeu des groupements. Réciproquement ceux-ci sont encouragés à agir et à se multiplier en raison du jeu des partis. L'Etat se désintègre sous l'effet de ce double processus »(...) Les conséquences du morcellement du pouvoir sont claires : l'Etat se trouve incapable d'affronter aucun problème qui intéresse la vie nationale dans son ensemble, de prendre des décisions qui bouleversent le statu quo des partis et des groupements ».6
« C'est pourquoi De Gaulle, et par lui le grand capital, a d''abord opéré dans les secteurs où il avait des chances de ne pas rencontrer de résistance réelle, pour réaliser sa tâche de rationalisation de l'impérialisme français ». , Et, en effet, avec une politique clairement affichée d'indépendance nationale (versus les Etats-Unis) ont été fait des choix colbertistes que De Gaulle qualifiait de dirigistes : des priorités industrielles visant à l'autonomie stratégique (atomique, extraction pétrolière, chantiers navals), en particulier sur le plan militaire de haut niveau (aéronautique) avec sa déclaration d'amour à Dassault. On me permettra ici une parenthèse ce rapprochement dans la crise de 1958 de l'Etat avec la principale industrie (juteuse) de l'armement est peu connue ; seule la mafia Dassault en fait état mais en anglais :
« Charles de Gaulle et Marcel Dassault ont partagé une vision sociale du rôle des entreprises. Ils étaient très favorables à la participation aux bénéfices, établie par l’ancien et complètement mis en œuvre par ce dernier. Chez Dassault Aviation, un accord datant de 1959 organise participation aux bénéfices en quatre parts presque égales : une pour les actionnaires, une pour l’impôt sur le revenu des sociétés et un pour les employés, le dernier étant retenu par l’entreprise. C’est une pierre angulaire du modèle de Dassault. L’industrie aéronautique et de la défense doit une grande partie de son succès actuel au gaullisme industriel. Les grands champions de la France, dont Dassault Aviation, ont hérité des politiques gouvernance visant à restaurer un écosystème souverain pour la France construit sur l’indépendance nationale et la dissuasion. « Si la France doit porter une épée, ce doit être la sienne ».Ce patriotisme et cette souveraineté économique, remis à l’ordre du jour par la crise notre pays est face à, coule dans le sang de Dassault Aviation. En tant qu’acteur industriel, la grande majorité de nos teams travaillent sur le territoire national, où nous payons nos impôts, où sont nos employés »7.
On verra que cette politique de re-développement de l'industrie militaire est activée depuis 2021 par Macron sous le prétexte fallacieux du « danger russe ».
Ce nouveau bonapartisme gaulliste doit tourner dans la cervelle meurtrie de nos politiciens en déshérence ou du moins des plus sérieux pour tenter de sauver les meubles de l'Etat. SouB en soulignait les avantages dans le crise de 1958 :
« Une telle Constitution qui fait au maximum l'économie du système parlementaire représenter pour la bourgeoisie française dans les circonstances actuelles la moins mauvaise solution possible au problème de l'Etat, et à ce titre, elle doit être placée à l'actif de la tentative gaulliste de rationalisation du système capitaliste »8 L'explication de la crise causée par la guerre d'Algérie éait donc partielle. 9
LE GAULLISME DE 1958 A PU PROFITER DE L'ATONIE DE LA CLASSE OUVRIERE
« L'avenir du régime est commandé par un certain nombre d'exigences. La première, c'est qu'il parvienne effectivement à réaliser les transformations qu'impliquent l'adaptation de la France au monde moderne. Il s'est déjà engagé sur cette voie en Afrique noire et en Algérie, mais les tâches les plus rudes se trouveront sans doute en France, où le grand capital devra frapper les entreprises marginales, réorganise le circuit de distribution, résorber une partie de la paysannerie, etc.
En second lieu la continuation de l'expérience De Gaulle exige qu'il continue à ne pas y avoir d'opposition, ce qui signifie essentiellement que le prolétariat accepte pour un certain temps encore une baisse de son niveau de vie, un durcissement possible du patronat. A brève échéance il ne semble pas qu'il y ait de grandes luttes ouvrière en vue ni de mouvements tant soi peu amples, car les ouviers sentent bien que tous les problèmes se tiennent aujourd'hui plus que jamais, que pour lutter il faut qu'ils secouent le poids de toute la société, et pour cela, qu'eux-mêmes résolvet d'abord le problème de leur propre organisation. Enfin il est probbale que la menace que fait peser sur l'emploi la récession partielle qui touche en ce moment la France, loin d'accentuer la combativité ouvrière, ne fera que dresser un obstacle de plus devant le déclenchement de luttes ».10
Un constat important tout de même, et politique de classe !
« Les travailleurs ont refusé d'entrer en lutte pour la défense de la république ; ils ont pris conscience de leur propre hostilité au régime ; ils ont senti que les institutions politiques officielles leur étaient étrangères, ils se sont simultanément aperçus que les syndicats n'étaient que des appendices de ces institutions »11. Ou encore : « La classe ouvrière, comme classe, est restée en dehors de la crise ouverte le 13 mai. Dans son énorme majorité, elle a refusé de suivre les consignes du PC et de la CGT – en elles-mêmes ridicules – l'appelant à faire échec aux paras par des grèves de deux heures. Elle n'a que très peu participé à la manifestation du 28 mai (…) Ce qui est encore plus important, les ouvriers n'y sont pas allés en tant qu'ouvriers, ils se sont confondus dans la population démocratique en général. Les mots d'ordre, expressions, tentatives se situant sur un terrain de classe observés lors de la manifestation,ont été extrêmement rares » (…) Le PC et la CGT, en crise profonde depuis 2 ans, déconsidérés encore plus pendant la crise où ils ne sont apparus que comme les défenseurs les plus forts en gueule du gouvernement Pfimlin ».12
En 1958, la France était dos au mur. Il fallait, et De Gaulle le savait, pour l'avoir vécu, que le retard industriel français avait contribué à son effondrement militaire en 40 jours face à l'Allemagne . En 2025 la bourgeoisie française voudrait reconstruire le même mur.
LA GUERRE COMME MEILLEUR INVESTISSEMENT ET GAGE DE PROFIT MEME DANS LA PAIX
Emmanuel Macron a annoncé il y a une poignée d'années une nécessité de relancer le nucléaire civil français. Mardi 17 janvier 2021, un projet de loi sur l'accélération du nucléaire est arrivé au Sénat. Il a pour objectif de simplifier les démarches pour lancer des chantiers dans le domaine. Le grand plan porté envisagé s'inspirait clairement de la politique militaro-industrielle du général de Gaulle. Mais n'est pas César qui veut. On peut voir un document d'époque où De Gaulle, en visite au centre nucléaire de Mqrcoule se montre très optimiste pour le futur nucléaire du pays. De Gaulle, alors chef du gouvernement provisoire de la République, est le créateur, le 18 octobre 1945, du Commissariat à l’énergie atomique (CEA), sur les conseils du ministre de la reconstruction Raoul Dautry et du physicien Frédéric Joliot. La recherche s’industrialise à partir de 1952 sur plusieurs sites, Saclay, en région parisienne, et à Marcoule (Gard).
Macron, peu prophète en son pays, pour ne pas dire démonétisé, n'aura jamais plus une popularité et une autorité comparée à celle du Grand Charles. Depuis au moins trois ans il s'est fait le chantre de l'envoi nécessaire de milliers de soldats français en Ukraine. Mais en s'appuyant sur un certain nombre de bobards qu'on va démonter ici concernant la menace d'invasion de l'Europe par l'armée de Poutine et une menace d'utilisation de l'arme nucléaire.
LA FABLE COMMERCIALE DE LA MENACE RUSSE
Elle est du même ordre que le même fantasme agité tout au long de la guerre froide. Poutine veut récupérer son Alsace-Lorraine et ilira jusqu'au bout si possible, point à la ligne. La criminalisation de Poutine sert à masquer en particulier la nécessité du capital français, de ses actionnaires, de miser sur les juteux profit de l'industrie militaire où la France reste en pointe, et n'a pas tout refilé son potentiel industriel à la Chine. Que l'on ne produise plus de cachous Lajaunie n'est pas grave, l'important est de se reporter sur le secteur le plus générateur de profit à l'heure actuelle même avec les pires mensonges pour justifier cet emballement. Car de mobilisation de millions troufions pour aller se faire trouer la peau en Ukraine même Macron sait que ce n'est pas possible sauf à risquer une insurrection ou à se faire rire au nez par les milliers de citoyens ou ouvriers arabes, que même Mélenchon ne pourrait pas encaserner.
LA FABLE COMMERCIALE DE LA GUERRE APOCALYPTIQUE
Les articles saisissant sur la guerre moderne-de Philippe Guillaume en 1958 – qui devraient être réédités en un volume – vont nous servir à écarter tant de mensonges terroristes d'Etat avide de profit. Il commence, parlant des américains, à expliquer qu'on ne peut plus reconvertir des industries de guerre en outil de production civile, : « il leur faut dès maintenant alimenter leur arsenal comme si la guerre avait déjà (re) commencé. La guerre fait désormais partie de la paix, et donc du commerce capitaliste.
« La bombe atomique à elle seule ne tient pas lieu d'une stratégie (…) L'utilisation de la bombe A contre les centres industriels et humains d'une France envahie par exemple, ne peut en aucun cas être mise en parallèle avec les bombardements « stratégiques » de la dernière guerre par l'aviation américaine. On ne libère pas un pays en l'arrosant de bombes atomiques, on se l'aiéne. C'est certes faisable, mais celapose alors tout le problème des alliances et de leur utilité, pour ne parler que de cela ».13
« Si on réfléchit en effet un peu on se rend compte qu'il n'est nullement indispensable pour gagner la guerre de pulvériser des centres urbains de deux à dix millions d'habitants au risque d'ailleurs de subir un sort analogue à titre de représailles. A vrai dire c'est le contraire qui est vrai. Paralyser gravement les transports et les sources énergétiques d'une société moderne, c'est placer cette société dans un état de cdrise qui ne fera que décupler les contradictions existant déjà à l'état normal. La bombe H, en tant que produit d'une civilisation hautement industrialisée, découle directement de la concentration, aussi n'est-il pas étonnant que celle-ci soit sa première cible. Mais cela peut être vrai soit à un niveau primaire – destruction pure et simple des centres urbains de oncentration et la société prise dans sa totalité, et, par la même, libération des forces sociales explosives de la société adverse, forces dont la puissance ne le cède en rien à la désintégration atomique ».(...) la guerre tend inéluctablement vers une destruction totale réciproque ».14
La bombe atomique, si constamment désignée comme utilisable parles médias du monde entier (en cachant systématiquement que le fond de la question est le profit de l'industrie militaire) ne sera jamais un instrument de guerre civile ni de guerre tout court :
« ...cette évolution de la guerre pose encore un problème plus ample et plus profond : elle met eu cause la capacité même des classes dirigeantes de mener une guerre qui conserve un caractère de rationalité par rapport à son objectif. Il est certainement absurde de détruite un continent pour mieux le dominer. Cela pose, pour la première fois dans l'histoire, la nécessité de limiter volontairement l'emploi des moyens immenses dont a par ailleurs cherché fébrilement la possession. La chose n'est pas aisée et l'on peut même dire que la course à la surpuissance continue de plus belle. On peut même se poser la question de savoir si la préparation de la guerre elle-même n'est pas déjà frappée de ce caractère d'irrationalité profonde, et se demander si cette course à la lune, dans le sens figuré aussi bien que dans le sens propre, inaugurée depuis le 4 octobre dernier, ne constitue pas déjà pas socialement une profonde absurdité pour les classes dominantes, n'est déjà pas le signe de leur définitif aveuglement ».1
A réfléchir : évidemment 1958 et 2025 ne sont pas vraiment comparables. Le gouvernement De Gaulle constitue une embellie de l'industrie française, modernise l'appareil étatique. Macron symbolise le déclin et la pourriture du système politique bourgeois démocratique, la fuite en avant qui se mord la queue, car, enfin il faut bien le constater c'est la classe ouvrière, sans manifeser violemment ni descendre dans la rue a fait reculer les attaques de Bayrou. Et ces attaques visaient à financer la guerre de Macron. Le bla-bla pour soit disant combler la dette abyssale de l'Etat français c'est du pipeau, l'argent qu'ils veulent arracher aux exploités c'est avant tout pour financer leur industrie d'armement.
Implicitement la classe ouvrière a déjà commencé à paralyser le commerce de la guerre et son VRP Macron qui a tout de même choisi pour perdurer le ministre des armées pour assurer vers quoi sera consacré de futur (?) budget de l'Etat...en guerre dans la paix ou dans la paix en guerre.
Mais qui sera le prochain Bonaparte?
NOTES
1 La revue Internationalisme de la Gauche Communiste de France avait bêtement disparue en 1952. Mais son contenu était faible comparé à celui de S ou B, Les analyses y sont plus profondes et mieux argumentées. Pas comparable non plus avec la pauvreté théorique et les radotages simplistes de RI (CCI). Marc Chiric m'avait d'ailleurs. confié plusieurs fois qu'il aurait souhaité une presse de meilleure qualité.
2SouB n°23, janvier 1958, Edito : comment lutter ?
3Sou B n°26 : Naissance de la Vème République de P.Caqnjuers.
4« Il ne se présente pas comme l'homme des colons et des généraux ; le gouvernement qu'il propose n'est pas celui qu'exigeait Alger, c'est à dire un gouvernement capable d'imposer la guerre totale à la population française. Il prétend au moins, régler définitivement le problème algérien et par conséquent en finir avec cette guerre ». 'SouB n°25 p.13.
5Ibid, SouB n°26, p.50.
6SouB n°25p.35 : le pouvoir de DeGaulle
7ttps://www.dassault-aviation.com/wp-content/blogs.dir/2/files/2020/06/PR_Dassault-Aviation_Patron-of-the-Order-of-Liberation.p Le complexe militaro-industriel est en réalité très souple et dispose de multiples ramifications, cf Les forges secrètes du roi ou le complexe militaro-industriel de Jean Guisnel. Et: Dossier 8: Elaboration de la politique de défense, notamment loi programme d'armement, force de dissuasion et force d'intervention, organisation de l'armée de terre (1958-1960). Et aussi: Chronologie de la politique de défense de la France depuis 1949 | vie-publique.fr
8Ibid p.56
9cf. S ou B n°25, p.30. Et aussi p.31 : pourquoi la décomposition du pouvoir s'est-elle accélérée depuis les lendemains de la Libération ?
10Ibid p.57
11SouB n°25, Claude Lefort p.40
12Sob n°25, Perspective de la crise française, p. 58 ; Pierre Chaulieu
13SOB n°15 : la bombe H et la guerre apocalyptique par Philippe Guillaume.
14SOB n°15 p.22 et suiv.
15SOB n°23 : Devant le satellite artificiel russe par Philippe Guiullaume.