PAGES PROLETARIENNES

vendredi 21 avril 2023

TOUT CE QUE VOUS NE DEVEZ PAS SAVOIR OU QUE VOUS N'OSEZ PAS PENSER

 

mais oui ils l'avouent enfin ce qu'ils sont !

Union Fédérale des Syndicats de l'Etat - CGT (ufsecgt.fr) affiche

De l'usage stratégique du désordre social


1er décembre 1859 «Paris m’a désolé […] Avec mes idées de révolution aussi ardentes que jadis, j’avais l’air d’un revenant de l’autre monde d’un fantôme des temps passé ». Blanqui

« L'examen objectif du réel est ainsi remplacé par des débats subjectifs et passionnels, qui font baisser le niveau et nous enferment dans la virtualité du Spectacle politique ». Lucien Cerise (Gouverner par le chaos, ingénierie sociale et mondialisation)

« Discipliner les femmes et les hommes en les considérant comme de simples facteurs de production et dévaster la terre, conçue comme un simple objet, vont de pair. En poussant la destruction de la nature et l'exploitation de la « force vitale » jusqu'à des niveaux inédits, les nazis apparaissent comme l'image déformée et inédite d'une modernité devenue folle – servie par des illusions (la « victoire finale » ou « la reprise de la croissance » et par des mensonges (« liberté », « autonomie ») dont des penseurs du management comme Reinhard Hôn (officier SS adjoint de Heydrich) ont été les habiles artisans ». Johann Chapoutot, « Libres d'obéir, le management du nazisme à  aujourd'hui » (Gallimard 2020)



JEUDI APRES-MIDI 20 AVRIL UNE MANIF « SAUVAGE » EN PLEIN PARIS passée sous silence par les médias

 Le 19 avril personne n'a parlé non plus de la manif des enseignants aux Invalides (on y était mon neveu et moi).

A l'heure présente la police réalise les sondages et rédige les communiqués de presse, avec entre les autres le Parisien1 :

« Depuis le début du mouvement, le centre-ville de la capitale bretonne est la cible de militants radicaux d’ultragauche, selon la municipalité et le parquet. Il est interdit de venir manifester avec des casseroles ». Leur dictateur est d'un cynisme minable, pour se permettre de plaisanter sur les concerts de casseroles dont il va être l'objet (mérité) en permanence car il n'aurait pas fallu que son humour faisandé (« c'est bon pour la cuisine » )soit associé à l'interdiction des casseroles en manif sinon c'est de l'humour hitlérien2. On comprend donc la haine de la jeunesse contre ce petit personnage. Le Parisien n'est pas complètement policier mais bon observateur : « GRÈVES. Le 20 avril marque la première journée de mobilisation en dehors de l'union de l'intersyndicale. Les cheminots de la SNCF poursuivent leur grève débutée en mars malgré l'appel des leaders syndicaux à conserver les mêmes dates d'action ». Mais personne n'ajoutera ni n'informera sur une manif en plus et pas ce simple rassemblement corporatif, et masqué au public, à la gare de l'Est ! Le saucissonnage syndical persiste et signe avec les montagnes russes des manifs officielles décidées par le patronat syndical. Pourtant probablement une des plus importantes manifs de près de un kilomètre et au moins trois mille personnes, hors programmation du QG syndicrate.

 Dans le catalogue des manifs programmées au QG jusqu’au premier mai, il était indiqué deux manifs exclusives l'une le 20 et l'autre le 28, sous la gouvernance de la seule CGT ; rien de précis pour ce jeudi 20, sauf un rassemblement cheminot à la gare de l’Est. En réalité, sans que ce soit ébruité une manif était bien programmée devant la mairie de Paris via des réseaux sociaux que tout le monde ne connaît pas. En prévision de... une partie des appareils syndicats d'encadrement est déjà là lorsqu'on arrive face à l'hôtel de ville parisien. Que des vieux, avec catogans, longs cheveux blancs, et vieilles en tenues outrancières de cougars, des pithécanthropes gauchistes qui boivent et chantent : « on est vieux, on est révolutionnaires ». Sur le côté des vieux et des vielles, plus des bobos étudiants de Nanterre qui ont aligné un cordon de jeunes filles naïves, avec l'abaya de service, qui obéissent aux gesticulations d'un fat à l'allure de Jean-Pierre Léaud, avec la mèche.

Accompagné par un jeune neveu adolescent j’avais décidé d’aller vérifier la « sauvagerie » des manifestations présumées spontanées . Sur la place on ne vit d’abord que ces quelques centaines de vieux, des drapeaux CGT et SUD, plus cette rangée d’étudiantes sautillant et reprenant les beuglements de l’animateur en chef du syndicat corporatif diandian. Puis lorsque la manif se mit en marche, avec deux ou trois députés LFI aux couleurs nationales en écharpe , sans que personne ne leur prête attention. Sauf mon neveu qui ne craint rien. Il s'approcha de la dame avec drapeau en bandoulière pour lui dire que le RN dit moins de connerie que LFI et ils restèrent à dialoguer assez aimablement un bon moment, alors que j'en perdais mon dentier. L'élue devait être au fond une cougar vu la beauté et l'intelligence de mon neveu, en effet pourtant de droite.

Nous restons dans le pré-cortège qui se dirigea vers le boulevard Saint Germain, pour, dix kilomètres à pied plus loin en terminer derrière l’école militaire. A chaque carrefour le pré-cortège hésitait sur la direction à prendre et se laissait recoller par la partie moutonnière ficelée par CGT et SUD, qui suivait sans sourciller.

Tout le long plusieurs banques ont eu la vitre de leurs distributeurs de billets brisées d'un coup de poing (vous pouvez le faire vous-mêmes tellement c'est simple) sous les regards ravis des manifestants (que la CGT dit terrorisés pourtant et qu'elle protège avec des ficelles). Mon neveu est ravi : « ça oui c'est le capitalisme ! » et il reprend les slogans : « AAA...ANTI ANTICAPITALISTE », « ACAB », etc. « ACAB » est le préféré comme pour tous les potes de son lycée, surtout noirs et arabes.

Les slogans, même les plus débiles et anti-flics primaires, sont un moyen de recrutement de la gauche bourgeoise et de la syndicratie. Ces dernières années, les syndicrates essaient aussi "de faire rire" et "de s'emparer des codes de l'argot et de la pop culture pour parler aux jeunes", explique Stéphane Cologne, délégué syndical de l'Ugict-CGT (Union générale des ingénieurs, cadres et techniciens). Les djeuns, vu leur faible niveau politique, ne rivalisent pas d'imagination, on trouve des « Macron trou du cul » exhibés par des jeunes filles pubères. Les incendies de poubelles sont un spectacle ravissant. Comme me l'explique,mon neveu : « Si on casse pas la vitrine des banques et leurs distributeurs de billets, si on provoque pas des incendies, la manif est vite oubliée et personne n'en parle ! ». J'acquiesce et je pense à ces vieux trouillards du CCI qui dénoncent la violence des méchants blacks blocs à l'unisson de la presse bourgeoise, alors que les manifestants les applaudissent. Lesquels font rire et sont admirés et immortalisés par les portables lorsqu'ils entrent dans les épiceries pour faucher des fruits ou des canettes de bière. Ils sont peu nombreux et ne comptent pas que des fils de bourgeois comme me le rétorque un cameraman habitué des défilés : il y a de tout, des lycéens et des jeunes ouvriers. Une bombe de carnaval explose soudain à nos côtés, mon neveu croit avoir le tympan percé mais rigole. Il me montre au bout de la rue une immense fumée d'un tas de poubelles que nous avions vu allumer à notre passage. Ambiance. Pour la première manif de sa vie il est ravi, ébahi et conquis et ; « AAA...ANTI ANTI CAPITALISTE ».

Une remarque sur l’intelligence de la préfecture pour gérer la manifestation. Pendant près de trois heures nous ne vîmes pas un seul casque de CRS. La hiérarchie policière a désormais bien compris que la vision de ses cerbères joue immédiatement le rôle de muleta. Les camions de CRS restent donc le plus longtemps possible masqués aux yeux des manifestants : et nombreux dans les rues adjacentes ou parallèles comme nous le viment en arrivant à l'hôtel de ville.

Au fur et à mesure de l’avancée, la manif s'était peuplée de jeunes et de personnes quittant leur travail. La manif est désormais une sortie en couple main dans la main, du groupe de potes de la fac, des fofolles exhibs dos nu malgré le froid, des mamies badgées NPA. Pas de quoi effrayer l'Etat et l'empereur qui veut nous refaire le coup du grand débat égocentrique et aller plastronner plutôt en province devant des auditoires choisis et aux sacs à dos vidés de leurs casseroles. Beaucoup m'ont témoigné attendre beaucoup du 1er mai, malgré mon air dubitatif et narquois. Les chefs syndicaux cheminots avaient proposé cette journée de mobilisation du 20 avril comme une «étape de préparation» avant les manifestations du 1er mai. Cette date tombait la veille des vacances scolaires des régions parisienne et occitane et d'un week-end de chassé-croisé dans les autres zones qui sont déjà en congés. Rentrant des vacances, pénétrés de leur conscience touristique les prolétaires vont sans doute transformer le ringard 1er mai en journée morte ! La manif du 20 faisait partie désormais du folklore parisien, touristes japonais et américains s'en donnaient à cœur joie avec leurs portables et posaient avec manif en fond d'écran, souvenir frissonnant d'une escapade dans ce vieux pays traditionnellement révolutionnaire. Sauvage la manif moitié spontanée? Non? bon enfant, comme le conclut mon petit neveu, agréablement surpris. Et prêt à se joindre aux suivantes.

La CGT ne s'est pas contentée de cette date (récupérée) pour rythmer le mouvement contestataire jusqu'au 1er mai : non seulement ce 20 avril, car elle appelle à un second "temps fort" le vendredi 28 avril. Sans parler de grève, elle suggère des manifestations, des actions et d'autres mobilisations sans perdre espoir (sic) de voir les autres syndicats rejoindre son initiative (dite radicale et jusqu'auboutiste). Thomas Vacheron, membre du bureau confédéral de la CGT en charge des retraites a indiqué sur Franceinfo le 14 avril que cette mobilisation portera "sur les retraites et sur les morts au travail". Et d'ajouter qu'entre "aujourd'hui et le 1er mai, plusieurs mobilisations, actions, grèves et manifestations vont exister et participeront à faire reculer le gouvernement". Et à enculer les prolétaires grâce à cette guérilla désordonnée et sans tête ni autre objectif que le nihilisme. Très giletjaunisée ! 

où dans l'apparente tourmente du chef gouvernemental règne cette forme de contrôle social faisant un usage stratégique du désordre social...

les deux cadres quadras CFDT et CGT

La féminisation du patronat syndical 

« Sandrine Rousseau en a ainsi conclu que l'on avait «besoin de déviriliser la politique». Il faut à ses yeux «sortir de la figure des chefs autoritaires qui imposent et sortent conquérants des conflits sociaux», pour aller vers «la discussion», «l'échange» et «l'humilité». (les médias)



Je suis apparemment seul à dénoncer la féminisation de la politique et du pouvoir. On attend la succession du Berger CFDT...encore une femme , quadra, encore bien conservée ; on a préféré virer les grosses comme aux journaux télévisés, exit grosses et boudins ; mais toujours des mannequins idéologiques , certes belles et bien coiffées, du pouvoir d'Etat capitaliste.

Excusez du peu, même si la débile sardine ruisseau me traite de macho, des directions de partis squattées que par des femmes c'est pas aller certes vers une lutte virile mais pas dure et révolutionnaire non plus ; la gent féminine n'a pas vocation à la violence ; c'est pourquoi je ne comprends toujours pas qu'on embauche des femmes comme CRS.

LA FUTURE RIVALE DE LA BOURGEOISE CGT A ETE FORMEE PAR LA GAUCHE CAVIAR

Depuis plusieurs mois, Marylise Léon apparaît régulièrement aux côtés de Laurent Berger lors des réunions avec l’exécutif, des journées de manifestation contre la réforme des retraites, et en représentant la CFDT lors des intersyndicales. «Elle est dynamique, elle a une compréhension du monde du travail qui est forte, loue Laurent Berger dans un entretien au MondeElle s’est battue avec énergie lors des négociations sur l’assurance-chômage et elle est convaincue que la transition écologique doit s’effectuer de façon juste sur le plan social. Elle est appréciée au sein de la maison, elle est proche des gens, humaine», a-t-il encore ajouté. 

La syndicaliste s’occupe aussi du Pacte du pouvoir de vivre, une alliance de 60 organisations qui agit pour la convergence des questions écologiques, sociales et démocratiques. Une initiative lancée notamment par la CFDT pour «sortir d’un modèle de société qui met en péril la vie sur la planète et entraîne de trop nombreuses injustices et inégalités»«Nous souhaitons apporter des propositions réalistes et concrètes pour une transition écologique socialement juste», explique Marylise Léon dans un entretien au site La Fonda.

Marylise Léon est aussi engagée pour les droits des femmes. Elle a participé à plusieurs rassemblements pour défendre le droit à l’avortement. Elle a notamment couru mardi lors de la «Nuit des relais», une soirée organisée par la Fondation des femmes pour collecter des fonds afin de soutenir des projets «en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes et contre les violences».

La syndicaliste s’occupe aussi du Pacte du pouvoir de vivre, une alliance de 60 organisations qui agit pour la convergence des questions écologiques, sociales et démocratiques. Une initiative lancée notamment par la CFDT pour «sortir d’un modèle de société qui met en péril la vie sur la planète et entraîne de trop nombreuses injustices et inégalités»«Nous souhaitons apporter des propositions réalistes et concrètes pour une transition écologique socialement juste», explique Marylise Léon dans un entretien au site La Fonda.

Marylise Léon est aussi engagée pour les droits des femmes. Elle a participé à plusieurs rassemblements pour défendre le droit à l’avortement. Elle a notamment couru mardi lors de la «Nuit des relais», une soirée organisée par la Fondation des femmes pour collecter des fonds afin de soutenir des projets «en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes et contre les violences».

 

La syndicaliste s’occupe aussi du Pacte du pouvoir de vivre, une alliance de 60 organisations qui agit pour la convergence des questions écologiques, sociales et démocratiques. Une initiative lancée notamment par la CFDT pour «sortir d’un modèle de société qui met en péril la vie sur la planète et entraîne de trop nombreuses injustices et inégalités»«Nous souhaitons apporter des propositions réalistes et concrètes pour une transition écologique socialement juste», explique Marylise Léon dans un entretien au site La Fonda.


NOTES DE LECTURES EDIFIANTES

Michel Maffesoli: «Les élites et le peuple vivent des réalités imperméables» (lefigaro.fr) 

« Je crois qu’il s’agit d’un même type de révoltes, disons de la base contre les élites, du local contre le pouvoir central. Mais l’encadrement par les syndicats donne à ce mouvement une apparence de lutte sociale au sens classique. Et comme on l’a vu, cet encadrement empêche le chaos. Il n’en reste pas moins que les manifestants contestent non pas tant le passage à 64 ans que son application à tous, quelle que soit leur espérance de vie selon la branche professionnelle dans laquelle ils travaillent. Le pouvoir jacobin en France ne sait pas tenir compte des diversités territoriales, corporatives, professionnelles. Les formes de contestation et les mots pour l’exprimer diffèrent, mais c’est toujours une contestation du pouvoir central et de son modèle rationalisant.  

Changement d’époque égale, comme le dit Vilfredo Pareto, une «circulation des élites». Actuellement vous voyez combien peu d’hommes politiques émergent de la grisaille d’une élite en voie de perdition. Si l’on regarde la période de la fin de l’Empire romain, on est frappé par l’hystérisation du pouvoir. Ce pouvoir, isolé dans son palais gouverne par la peur, peur de la mort, peur de la guerre, peur de la pénurie, peur de l’effondrement du modèle social. Ce qui amène en réaction des soulèvements de plus en plus nombreux et erratiques. C’est en leur sein que naîtra une nouvelle forme d’organisation sociale, privilégiant la «proxémie», le territoire. Je le rappelle: le «lieu crée le lien».

Faut-il redouter la guerre civile?

La guerre civile définit des camps qui s’affrontent pour le pouvoir, avec des projets politiques différents. Je ne crois pas que nous soyons dans cette occurrence. Les divers mouvements de révolte n’ont pas de programme, de projet, ils ne sont pas politiques en ce sens, mais existentiels. Ce qui est en jeu, c’est bien sûr le refus d’un travail dont le seul sens serait «sa valeur», c’est-à-dire sa valeur d’échange monétaire. Une grande partie des emplois n’a pas de sens, ne permet pas aux personnes d’exprimer leur créativité. La «caporalisation» des métiers plus créatifs, l’enseignement, le soin, voire la création d’œuvres, par une normalisation toujours plus poussée, tout ceci produit du désespoir, de la révolte et à terme une sécession, de multiples sécessions. C’est ce qui est en train de se passer. Ces multiples révoltes produisant progressivement de nouvelles formes d’être ensemble. Mais ne l’oublions pas, c’est à partir d’une décadence qu’il y a Renaissance: «Ordo ab chao».


COMMENT PEUT-ON PORTER LE VOILE DE L'OPPRESSION DES FEMMES EN MANIF DE CLASSE

« La loi de Moïse a succombé aux embrassements désespérés des pharisiens ; le Coran va s’éteindre, pétrifié dans l’immobilisme de ses sectateurs imbéciles ; et l’Évangile lui-même serait presque scellé dans la tombe par les mains idolâtres de ses disciples devenus ses fossoyeurs, si sa pensée immortelle, s’échappant de la dépouille glacée autour de laquelle ils demeurent accroupis, n’avait reparu plus éclairante sous l’incarnation nouvelle qui doit le perpé#tuer dans l’Humanité.Allez, race d’esclaves, qui n’osez lever les yeux ni la main sur vos tyrans! Rebelles d’un jour, repentants et prosternés le lendemain, restez accroupis dans votre misère et votre servitude! Ne tentez pas de briser vos chaînes! Il vous faudrait les ressouder de vos propres mains. Ne faites plus de révolutions pour vous sauver du moins de la honte d’en demander pardon à genoux ». Blanqui

C'est possible grâce aux syndicaux des facs et au NPA. On en aperçoit désormais quelques-unes dans les manifs syndicales ce qui ne gêne ni islamo-gauchistes ni féministes d'Etat. Comme le montre le tract ci-joint. Si j'étais étudiant-diant-diant je réclamerais un élu en soutane, mais sans culotte.

 

NOTULES

1Seul à faire état de cette manif:https://www.sudouest.fr/economie/reforme-des-retraites/reforme-des-retraites-mobilisation-en-baisse-un-tour-de-chauffe-avant-la-ma BFM ET CNEW bouche cousue comme l'interruption de l'ORTF en MAI 68 !

2En plus en matière électorale il n'est pas un cuisinier ragoûtant ni honnête.

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