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jeudi 29 novembre 2018

L'élite bourgeoise et son renard gauchiste contre la classe ouvrière






Présenté par David Pujadas, accompagné d’Yves Thréard, ponte du Figaro, et d’un journaliste de RTL, Gilets jaunes: la grande explication mettait en présence une brochette de ministres secondaires, de larbins divers du despote de l'Elysée face à six porte-voix des gilets jaunes. Une des voix de son maître, avait fait savoir que Emmanuelle Wargon, secrétaire d’Etat à la Transition Ecologique et solidaire, apporterait les réponses du gouvernement au cours de l'émission. Je ne prends que quatre réactions avant de résumer ce qui s'est passé et d'afficher mon avis.

- Excellente émission !!!! Les politiques en ont pris plein la figure et les gilets jaunes que nous soutenons ont été dignes et exprimé ce qu'ils avaient au fond du cœur !!!!!! Je pense que ça va barder samedi dans toute la France et nous seront là avec eux !!!!!!!!

- Les élites de certains pays européens étaient présents sur le plateau pour nous dire que nous français, nous devons être heureux. Quelle honte. Mais que faisait ce producteur de spectacle sur le plateau, scandaleux, encore un bien dans sa vie, son seul slogan, les autres n'ont qu'à crever ! Aucune réconciliation possible avec ce genre de personnage.

  • Dumontet, Goupil, Fesneau, LAMENTABLES SOUTIENS DE "LE ROI EMMANUEL MACRON" (LREM)qui sont venus pour descendre plus bas que terre des gens honnêtes et non politisés, j'ai vu des manifs où les forces de l'ordre forçaient les manifestants à agir et les précipiter dans des embuscades profitant au pouvoir!
  • Je pense que Mme O'Petit député de l'Eure très agressive car elle doit s'en prendre plein la tête dans sa circonscription. Mais il me semble qu'elle l'a voulue cette place donc elle assume. Les députés LE REM essaient d'enfumer les gilets jaunes. Je ne parlerais pas de ce Goupil qui a fait mai 68 et qui vient se permettre de donner des leçons de moral, qui dit que les gilets jaunes sont anti démocratiques et vient dire à un gilet jaune de se taire. Qui sont ces bobos parisiens comme ce producteur de spectacles qui sont invité ! Manipulation.

Dans ces réactions de spectateurs sont contenues une grande partie des indignations que nous prolétaires ressentions face aux humiliations ininterrompues à laquelle se livre, même si elle ne peut naturellement pas faire autrement de par sa nature de classe exploiteuse, l'élite bourgeoise antiraciste de salon, antifasciste d'opérette et millénariste écologique. Le salon de Pujadas avait le mérite d'opposer deux mondes étrangers l'un à l'autre, two nations comme disait Marx en débarquant à Londres, deus langages différents ; d'un côté le mépris total, de l'autre une expression vivante, passionnée et encore trop aimable de la révolte ouvrière, que la dictature médiatique s'obstine à nommer classe moyenne ; mais c'est déjà mieux qu'ils utilisent le terme classe, et moyenne sert à éviter de montrer trp clairement le mépris que ce terme sous-entend : basse classe, autrement dit, comme les experts sont chargés de le répéter : couche périphérique abandonnée. Deux armées se faisaient face : six prolétaires jeunes et à qui on ne la fait pas, et une sélection du multiculturalisme mondialiste macronien.

C'EST AU PIED DU MUR QU'ON VOIT LES TRAITRES

Un rebellocrate, rangé des voitures brûlées de 68, Romain Goupil, ancien trotskiste, barbon à tête de flic, s'en particulièrement distingué en exsudant toute la haine des possédants, en tutoyant ces êtres inférieurs, en aboyant bien que tenu en laisse par Pujadas et les ministres. Les autres chiens de garde du roi, élus par effraction en 2017 pour renouveler un système politique bourgeois à bout de souffle, n'étaient eux que des recyclés des partis traditionnels, anciens commerçants au langage populiste et aussi haineux que le rebellocrate Goupil1.
Goupil donne bien l'image lamantable et servile de l'aboutissement du gauchisme réformiste radical et de l'ultra-gauchisme bobo du NPA au CCI qui ignorent également avec dédain cette révolte de masses de « gilets jaunes », qu'on continue à nommer ainsi, alors qu'elles sont pourtant composées essentiellement d'ouvriers, d'employés et surtout de nombreux retraités qui trouve là un moyen d'exprimer leur révolte autrement sérieusement que dans les promenades gériatriques syndicales. Il y a aussi des petits bourgeois dynamiques (je pense au barbu du Jura, entrepreneur) qui font totalement partie du mouvement et leur apportent généreusement leurs capacités personnelles ; je le précise contre tous nos silencieux bobos d'ultra-gauche, mais pas de ceux qui prendraient un risque à mettre une cagoule, et qui ont toujours imaginé une classe ouvrière étanche.

Jamais on n'eût même à l'époque de mai 68 un tel débat, mettant aussi en évidence la fracture des classes, quand bien même les « plébéiens » étaient sans cesse traités comme moins que rien, confus et « protéiformes ». Pourtant c'est bien cet aspect protéiforme qui les rend forts, et cette détermination farouche qui fait que les flics idéologiques de Macron ne savent pas par quel bout les ficeler. Ils sont divers et inattendus dans leur accoutrement : les femmes sont joiles et intelligentes, les gars gardent casquette, barbe et sourire éternel au coin des lèvres, et, plus étonnant ne s'énervent jamais, sauf l'entrepreneur du Jura mais parce que c'était justifier et avec une colère froide, contrôlée contre les insultes du flic Goupil et le langage des technocrates.

Toute l'élite antiraciste bourgeoise était là. Inutile d'étaler les ridicules de la charitable ministre qui demandait à Ingrid d'acheter une bagnole neuve alors qu'elle ne dispose plus que de vingt euros à la fin du mois. La médiacratie tangua soudain face à la question troublante à la ministre : combien gagnez-vous après que l'on ait vu le salaire misérable d'Ingrid. Que de rond de jambes pour finir par savoir qu'un serviteur de base de Macron dépasse les 7000 euros, tout cela vaut bien de se mettre à quatre pattes, n'est-ce pas Goupil, vieux renard du gauchisme bourgeois ?

Le défenseur des animaux, Bougrain-Dubourg sembla vouloir défendre ces « braves gens » en estimant « qu'on ne fait pas d'écologie le vendre vide », avant d'aboyer avec les autres. Mais ces étonnants prolétaires, car il faut bien les nommer comme membres de cette classe marronée, en se fichant de la messe écologique bourgeoise, avaient aussi des arguments confondants pour leurs donneurs de leçon de morale élitaire. Pour extraire matériaux, comme les terres rares en Afrique, il y a plus grave que la pollution, la surexploitation des enfants pour que les riches en Europe roulent avec une voiture électrique aussi polluante (et individualiste) qu'avec les autres sortes d'énergie ; ce à quoi la pauvre ministre répondait : inondations, incendies en Californie, qui ne sont que constats du pompier de service.

Puis les chiens de l'ordre macronien, choisis chacun dans sa catégorie aboyèrent à tour de rôle. On mentionnera juste pour le fun la liste des corrompus :
  • la petite commerçante, Mme O'Petit – le nom ne s'invente pas – donc O petit commerce, comemerçante donc promue députée, à peu près du niveau moyen des godillots macronesques, qui avait promis de « se faire » les gilets jaunes, et qui fît pitié ;
  • le collabo noir de service, jeté là comme représentant du multiracialisme macronien, dont le
    ce ne sont pas nos camarades de la Réunion
    pedigree valait son pesant de cacahuètes, exhiba sa carte d'électeur : ancien leader du mouvement du CPE ; sa diatribe contre les « gilets » faisait penser au langage des activistes d'Ordre nouveau en 1968 ou à celui de n'importe quel recruteur syndical : « on bloque pas on fait des délégations » ; il fût mouché sous les rires par ceux qui lui rappelèrent que le mouvement contre CPE avait bien tout bloqué avant de pouvoir discuter; l'excellent Thomas Porcher précisa même que tous les mouvements révolutionnaires sont obligés de bloquer avant qu'on consente à discuter avec eux.
  • Goupil fût le plus hystérique – que ne ferait pas un ancien gauchiste pour lécher le maître et qu'il lui accorde des faveurs qui l'élève au-dessus de la niche – vous êtes un mouvement adémocratique (terme élitaire) sans notre bon assembléisme en 682, partout vous avez des insultes hyper-racistes... ; Eric le premier délégué envoyé chez Rugy, et qui ne participa pas partiquement au débat (par timidité ou dégoût) le recadra pourtant gentiment : « vous faites le jeu des médias » ; le barbu du Jura se ficha de la gueule du vulgaire Goupil et de son accusation de racisme, et sans se départir de son humour « oui nous sommes tous des terroristes » et « cessez de me tutoyer » ; sans oublier le barbu roux avec sa casquette de travers qui fût le principal interlocuteur avec Ingrid, la petite brune et Jacline (très posée et convaincante). Tous faisaient des réponses inelligentes et décrivaient de façon si émouvante leur situation qu'on voyait parfois la rangée des bourgeois et des valets de Macron bouche ouverte et yeux écarquillés. (la langue du pauvre Goupil fourcha, révélant la base de la cuisine multiculturaliste des flics télévisés, il dit « gilets roses » au lieu de gilets jaunes et de la voix forte de n'importe quel premier flic de France, il tonna à un moment : « c'était une manif non autorisée contre les CRS », puis à un autre « c'est incroyable il y avait une intention de marcher sur l'Elysée » !). Ce Goupil n'est pas un renard très futé.
  • Le deuxième député présent, Ramos, faux-cul de première de la bande à Bayrou, réussit à se faire applaudir par les prolétaires, avec un discours qui mêlait soutien moral et exigences fiscales ;
  • le plouc de service, qui sert de porte-plume au Figaro pour dénoncer les élites antiracistes, Mathieu Bock-Côté se révéla comme à côté de la plaque en expliquant qu'il s'agissait d'un particularisme à la française, il apparut pour ce qu'il est vraiment : un beauf canadien inculte ;
  • venant remplacer la ministre Wargon qui avait fait pâle figure, son collègue Marc Fesnau fût encore plus navrant et impuissant sauf à rappeler le « vote révolutionnaire de 2017 ».
  • Un certain Arrnaud de Montchalime, serviteur macronesque lui aussi, rappela ce qui émeut toujours le peuple, qu'il avait eu faim et que sa mère était infirmière.
  • Des sous-titres décrédibilisant les gilets jaunes défilaient à l'écran pendant la confontation, ah que le subliminal est sublime dans sa bêtise !
  • Le jeune roux avec sa casquette nous faisait penser que les roux sont souvent à l'avant-garde par sa pugnacité tranquille reléguant Cohn-Bendit aux vieux roux compromis et vendus à l'occupant capitaliste, il faudrait citer toutes ses interruptions pour leur lucidité et fermenté : « je suis abasourdi par votre bla-bla » ; et il eût cette envolée : «On maintient le cap ! ...Vous maintiendrez finalement que NOUS on reste au fond ! M.Macron est Grand et Fort ? Marron est le roi, il est avec les Nobles, il n'est pas venu ce soir. En nous ignorant, il ne fait que gonfler, gonfler, gonfler le problème. E.Philippe a dit aussi, on ne donnera pas un coup de pouce ! ».
  • Il ne manquait plus que le photographe de l'idéologie écologiste interclassiste, Arthus-Bertand qui exhala sa mauvaise haleine d'élite puante : « nous on se bat pour des choses un peu plus haute ».
  • Jacline les laissa tous pantelants et incapables de répondre : « et si on mutualisait les achats de barils de pétrole ? ».
  • l'excellent Thomas Porcher3, bien que membre de l'intelligentisia écologiste et proche de Mélanchon, fût toujours pertinent même s'il n'est pas vraiment avec les ouvriers : « pourquoi toute la transition écologique repose sur le consommateur ? ».

Pujadas reste piloté par l'Elysée pendant toute cette émission qui fait évidemment un carton sur les ondes. Jamais on n'avait vu jadis une émission où, malgré une invitation fixe, les intervenants gouvernementaux ne pouvaient être remplacés. Mais là, comme pour un match de foot on voyait arriver des « remplaçants » qui n'étaient pas là depuis le début. Aussi vit-on arriver l'arrière latéral droit, pas un M'Bappé, mais un vulgaire Rabiot, l'animateur des spectacles de Chirac passé producteur de clowns macroniens, un certain Dumontet4 qui se démonta très vite. Le collabo débarqué fissa pour tenter de sauver la fragile embarcation étatique à 23H15, fût incapable de récupérer le ballon et ballot déclara à l'arbitre complice Pujadas penaudement : « on veut diaboliser le gouvernement », « la colère ne sert à rien », « arrêtez avec vos théories complotistes ».

Les gilets jaunes pouffaient et nous aussi. Le jeune roux dit, laconique dans son pauvre l'angage d'ouvrier en CDD : « Macron est un arriviste ». Ingrid ajoutait sans se démonter : «j'ai voté Macron et je m'en excuse ...en nous ignorant vous gonflez le mouvement et, ne vous méprenez pas, on ne veut plus mendier ». La brunette s'emporta : « vous nous faites marrer avec vos 20 euros par ci 20 euros par là, on fait quoi avec ça ?
Sur la polémique sur les casseurs membres de l'ultra-droite, Pujadas nous fit vraiment plaisir : « la plupart étaient des gilets jaunes », sachant que ce n'était pas non plus pour les blanchir.

Dernière contre-attaque après l'échec du zozo du monde du spectacle qui reste très dépendant du pouvoir, le barbu du Jura avait fort bien fermé la bouche au Dumontet démonté : « vous les gens du spectacle vous êtes payés par l'argent public ». Un bonze de Doctissimo – la révolte est-elle une maladie à guérir ? - un certain Laurent Alexander, envoyé en remplaçant arrière gauche en fin de partie, prit un ton de docteur autoritaire pour, avec ce ton indigné préparé à l'entrainement, pour soupeser les « chances de la France dans la compétition économique mondiale », vanter la compétitivité de NOS entreprises négligée par l'Etat. Lorsque la caméra passait sur les visages des prolétaires en gilets, on voyait la moue ou les secouements de tête.
Tout le discours montebourien voire chevènementiste était pourtant détruit par notre étonnant rouquin à casquette : « oui on voit bien que ça ruisselle de milliards, et çà vous côuterait quoi de plus de nous redonner 300 euros de plus par mois ? ».

Pujadas donna ensuite la parole aux représentants de l'étranger, c'est à dire aux mêmes crevures des élites mondaines italienne et anglaise qui tentèrent d'inscrire l'avenir en gilet jaune dans la même daube que le mouvement cinq étoiles, mais c'est le journaliste italien qui ressemblait le plus au clown Beppe Grillo (grillé avec son collègue d'extrême droite) avec cette saillie très class : « les français sont les champions du monde de l'Etat-providence », variante des « gaulois rouspéteurs » ; le bellâtre italien se fit rhabiller par notre robuste jurassien : « on est surtout champions du monde des prélèvements obligatoires »
La bourgeoise britannique fut encore plus ridicule : « attendez trois mois, c'est rien et pour recevoir les subventions auxquelles vous n'evez pas droit ». En gros ces deux journalistes de l'élite mondaine souhaitaient faire croire que les peuples européens n'étaient pas comme ces typiques français des bordéliques, quoique nous sachions par-dessus ces larbins que les prolétaires européens collés à leur écran jouissent de la « jacquerie » et ne rêve que de l'imiter.

La conclusion confiée au sinistre Thénardier du Figaro fût empreinte de cette condescendance pour les pauvres en salaire et en langage – il s'excusa d'avoir usé du mot codicille – il évoqua les invisibles mais enfin on ne change pas la France en 18 mois (on n'est pas loin de la promo du grade deux de la légion d'honneur), il faut un moratoire (discussion entre experts et autorités syndicales), l'écologie s'est imposée comme la référence fondamentale, il faut réduire a voilure de l'Etat car il y a beaucoup trop de fonctionnaires. Une conclusion qui ne reprenait aucun des termes de la confrontation mais les soucis des larbins de droite du Figaro. Dernière génuflexion de Pujadas : « merci aux ministres d'avoir eu le cran de venir ». Il leur en fallait du cran pour venir dans leur propre salon. On ne remarqua point qu'ils étaient en sueur à la fin du match. On avait oublié les alertes successives de Jacline en vue de la situation très dangereuse "qui vient".

Attention à la récupération...




NOTES



1Le bobo Goupil est membre du Cercle de l'Oratoire qui a donné naissance à la revue d'orientation néo-conservatrice Le Meilleur des mondes. Dans un autre livre toujours co-rédigé avec Pascal Bruckner et d'autres personnages complices dans les milieux de l'élite réac, il exprime son soutien en faveur d'une intervention militaire contre l'Iran, à travers le Comité de soutien français au Mouvement des étudiants pour la démocratie en Iran. Pour une biographie plus complète de ce chien de garde belliqueux, ancien conseiller de Coluche, wikipédia et
http://www.revolutionpermanente.fr/Romain-Goupil-De-militant-de-Mai-68-a-chien-de-garde-de-Macron
2En effet le culte des AG de bla-bla fût une des caractéristiques du mai 68 emmené surtout par la petite bourgeoisie estudiantine, même si la classe ouvrière a brièvement montré sa force plus que son intelligence politique. Le mouvement des gilets jaunes souffre plus la comparaison avec juin 36 qui fût en effet plus ouvrier que 68, comme tant de vieux de la vieille du maximalisme me l'ont souvent répété. Souvent les mouvements révolutionnaires n'ont pas besoin de délégations formelles pour se déployer au début, c'est une règle acquise par nous depuis 50 ans de trahisons des syndicats et des gauchistes : une oragnisationite trop empressée est en général celle des récupérateurs en tout genre qui veulent faire avaler leur pédagogie pour se mettre devant. CF. l'ex classique de Noske en Allemagne en 1918 contrôlant finalement des ouvrièrs et toutes les grèves syndicales et gauchistes en France depuis 50 ans.
3 Habitué des médias, il est membre du collectif Les Économistes atterrés. il fait partie des économistes les plus suivis sur Twitter au niveau mondial. Il se place 38e sur 1 068 économistes recensés.

4Jean-Marc Dumontet, né le 17 février 19661 à Bordeaux, est un producteur français de spectacles et de théâtre. Il possède Le Point-Virgule, Le Grand Point-Virgule, Bobino, Le Comédia et, en association avec Laurent Ruquier, le Théâtre Antoine. Il est notamment le producteur des humoristes Nicolas Canteloup, Alex Lutz et Bérengère Krief. Il a animé un meeting de Jacques Chirac devant 15 000 personnes à Bordeaux. Lors de l'élection présidentielle française de 2017, Jean-Marc Dumontet soutient Emmanuel Macron dont il vante la « modernité » et l'« audace folle ». Il s'interroge dans le journal Le Point, s'il n'y a pas « du Bonaparte chez ce candidat ». Pour lui, ce qui sous-tend le candidat d'En marche ! serait « révolutionnaire ». Dumontet conseille le candidat pour ses meetings (mise en scène, langage corporel...)11. Il ambitionnerait de devenir son ministre de la Culture. Ce trouble personnage n'est que l'expression du milieu artistique totalement complice de l'idéologie de cabaret antifacsiste et antiraciste, rétribués par les offinces indirecte de l'Etat (comme cette merde de canal + qui a initié dès les 80 la vogue de l'ouvrier beauf et raciste avec Charlie Hebdo). La sanction est là, en 2017 la majorité des ouvriers ne vont plus au cinéma, ce cinéma idéologique bourgeois qui ne traite que des sujets pour bobos prétentieux !


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