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samedi 9 janvier 2016

Agressions sexuelles "de masse" en Allemagne : Amalgame et Tabou vont en bateau, et la sexualité tombe à l'eau !

Emotions à retardement après de multiples agressions à caractère sexuel sur l'équivalent de la place Tahrir à Cologne, Germanie ! Rien n'est jamais surprenant avec le déni de réalité de la morale immigrationniste de la classe bourgeoise du gouvernement des « valeurs de gauche » à ses périodiques qui font avaler la sauce. Chaque fois que se produit un fait divers, personne n'est pour ce satané Amalgame. Chaque fois qu'un français de souche commet un meurtre, personne ne soupçonne les français d'être tous des meurtriers sadiques ; par contre lorsqu'un arabe commet un délit, chaque honnête homme sait qu'il y a de fortes chances qu'Amalgame stigmatise les origines, la religion mortifère mais pas forcément l'ensemble des citoyens de cette origine. Quelle que soient les origines quand un individu commet un délit c'est Tabou, quand ce sont des individus, c'est la faute à Amalgame. Un Amalgame prend toujours plus d'ampleur qu'un Tabou. L'événement est plus sujet à Amalgame et le drame à Tabou; Un Amalgame peut en cacher un autre. Un Tabou peut dérailler.

Là où le sabre blesse c'est quand le gouvernement se fiche de Tabou et d'Amalgame et s'arroge le souci de la modération pour couvrir une irresponsabilité immigrationniste, une politique de ratissage large et incompétente des fuyards de la guerre où tous les gouvernements capitalistes sont impliqués. La leçon de morale antiraciste est ancienne ; j'ai rappelé récemment qu'un gouvernement aussi colonialiste (c'est à dire « raciste » si je prenais pour argument comptant la caractéristique sentimentale gauchiste) que celui des De Gaulle et Guy Mollet imposait immédiatement un « halte à ce maudit Amalgame » (contre tous les arabes) lors de chaque attentat du FLN, sachant que « Amalgame » se répandait de plus belle, imposant le silence sur les crimes de l'armée française, ceux de compère Tabou. C'est à peu près ce que nous subissons aujourd'hui où la nouvelle « corvée de bois »1, pour justifier le meurtre par balles policières d'un «jeune homme excité », est : « il a crié Allahou Akbar ! ».

La stigmatisation du présumé coupable Amalgame n'est donc aucunement une négation de l'innocent Tabou, mais sa justification. C'est ce qu'on appelle un tabou maîtrisé. Le remettre en cause signifierait le transgresser, donc être coupable de crime de lèse-majesté, non pas d'opposition politique mais d'affirmation « raciste ». Tabou, d'origine polynésienne, est contagieux et dangereux parce qu'il met en cause le caractère sacré de l'Etat bourgeois, amalgame d'origine capitaliste. Celui qui dévoile Tabou est donc répréhensible et forcément coupable, il doit être disqualifié comme forcément raciste. C'est pourquoi l'antiracisme est le mantra du personnel de l'Etat bourgeois et du gauchiste lambda, et l'ostracisme politique et social la muselière pour tous ceux qui ne marchent pas au pas de la psalmodie antiraciste. Ce qui n'élimine pas l'exaltation des sentiments xénophobes qui sont facilement customisés dans le cadre des nombreux potes d'Amalgame et plus si possible.

Il paraît que le premier Tabou était celui de l'homogamie, rapport avec sa parentèle, il faut bien reconnaître qu'à l'ère moderne la sexualité des migrants comme des immigrés n'est pas seulement un tabou mais aussi un oxymore. Elle n'existe pas pour les bourgeois repus de plaisirs sous les lambris du pouvoir quand les journalistes femmes baisent avec les députés après avoir rédigé leurs articles dénonçant ce salaud d'Amalgame et exigeant de punir les consommateurs ou clients des bordels ou des péripatéticiennes en van du bois de Vincennes où va traîner Tabou. Sans le dire à Amalgame.».2.

APRES LES "TUERIES DE MASSE" VOICI LES "AGRESSIONS SEXUELLES DE MASSE"

Le bruit a couru tout d'abord qu'il s'était produit des choses bizarres en Allemagne en la seule ville de Cologne. On supputait la chose pendue aux basques de Tabou mais bandeau sur Amalgame. Si la presse allemande a eu consigne de taire les exactions pendant cinq jours, la presse française a attendu dix jours pour ne laisser passer que le prudent Tabou : « que sait-on des agressions du nouvel an ? ». Se rangeant encore plus prudemment derrière les confrères allemands : «  Selon des informations du Welt am Sonntag, citées par le Monde3, la police de Cologne disposerait d’informations très précises sur les auteurs des agressions, contrairement aux premières déclarations. « Seule une petite minorité de ces personnes étaient des Nord-Africains, la plus grosse partie était des Syriens », affirme l'édition dominicale du quotidien conservateur Die Welt, contredisant les premières déclarations de la police selon lesquelles il s’agissait de jeunes hommes « en grande partie originaires d'Afrique du Nord ». Contrairement aux déclarations officielles, les personnes contrôlées auraient « présenté des documents reçus lors de l’enregistrement des demandes d’asile », selon les déclarations d’un policier au journal allemand. Celui-ci précise que ces hommes « voulaient surtout commettre des agressions sexuelles, ou, pour le dire dans leur logique, s’amuser sexuellement. »
Parce que selon Tabou les migrants sont mauvaises gens de vouloir « s'amuser sexuellement », privilège réservé aux bourgeois de souche.

Un luxe de précautions de notre brave Tabou sans doute pour ne pas lancer des pogroms sexistes contre les migrants indifférenciées, embourbées dans des prévenances quasi monacales et un jugement minimaliste à se pâmer : « Le chef du syndicat de la police en Rhénanie du Nord-Westphalie, Arnold Plickert, cité par le Welt am Sonntag, dément les déclarations des autorités, qui disent ne disposer à ce stade d’aucun élément impliquant des réfugiés. Au total, il s’agirait de « plus de 2 000 personnes presque toutes de type arabe, réparties dans un rayon de deux kilomètres autour de la gare centrale », écrit encore le journal, des informations qui seraient confirmées par un rapport de la police de Cologne daté du 2 janvier. Révélées à mesure que s’accumulaient les plaintes de femmes victimes d’agressions sexuelles ou de vols en plein centre-ville, les agressions du Nouvel An à Cologne scandalisent depuis l’Allemagne. Des cas ont aussi été signalés dans d’autres villes, comme Stuttgart ou Hambourg, mais aussi en Suisse et en Finlande ».

La maire de Cologne, Henriette Reker, avait même déclaré que « rien ne permettait de dire qu’il s’agissait de réfugiés » et fait rire la blogosphère en demandant aux femmes de marcher à la distance d'un bras tendu des étrangers qu'elles sont amenées à croiser. En tout cas pas un bras d'honneur, ce qui eût été une manifestation de racisme.
Le Bild publia enfin le rapport de police tabou pendant cinq jours : « Le rapport, dont Bild publie de larges extraits, décrit une place de la Gare bondée, où des milliers de personnes, essentiellement des hommes « issus de l’immigration », très alcoolisés, sont rassemblés et tirent des pétards et des feux d’artifice sur la foule et la police. Déjà au début de l’intervention des forces de l’ordre, vers 21 h 45, des passants rapportent à la police avoir été témoins de rixes, vols et agressions sexuelles sur des femmes. « Même l’apparition de la police et les mesures d’ordre n’ont pas dissuadé les groupes d’effectuer leurs méfaits, ni devant la gare de Cologne ni à l’intérieur », relate le document. Alors que, vers 22 h 45, l’esplanade se remplit encore, les femmes présentes, « accompagnées ou non, doivent effectuer une véritable “course d’obstacles” pour traverser la place de la Gare »4.


NOUVEL ARGUMENT DE TABOU : UNE DELINQUANCE D'UN NOUVEAU TYPE ?
Cela frise ensuite l'amalgame, de la place Tahrir à la place de la gare de Cologne et près de sa cathédrale indestructible, des hordes d'hommes en rut ont agressé nos belles blondes allemandes aux yeux azur. L'impensable devient le pensé de cet idiot d'Amalgame ou l'inconscient de l'effronté Tabou. Ce n'est pas un seul individu délinquant justiciable mais des « bandes » insaisissables par une police impuissante. Une « énorme mutation » d'une délinquance « collective », forcément organisée et plus culottée qu'un pervers isolé. Il faut casser Amalgame à la racine, aussi Le Point stoppe l'incendie : « Les agressions sexuelles à Cologne libèrent le discours anti-migrants ». Bon sang, bien sûr ! Elles étaient calculées pour, les agresseurs sexuels n'étant que des innocents... les mains pleines.
Le déni persiste comme la grippe chez cet organe (de presse) : « 31 suspects dont 18 demandeurs d'asile ont été identifiés à la suite des violences commises la nuit du Nouvel An à Cologne, en Allemagne. Le débat politique s'intensifie sur la possible implication de réfugiés ». Le nombre de
plaintes liées aux événements de la nuit de la Saint-Sylvestre à Cologne s’élève ensuite à cent soixante-dix, et que les plaintes se sont multipliées également dans d’autres villes d’Allemagne pour des faits similaires : à Stuttgart, à Munich, à Berlin et à Hambourg, où cinquante plaintes ont été enregistrées pour agressions sexuelles le soir du Nouvel An ». Vous remarquerez que la sexualité des migrants n'existe qu'en tant que phénomène d'agression.
On apprend enfin que « la classe politique » prône la fermeté contre les demandeurs d'asile. Amalgame éclate de rire quand Tabou semble renfrogné.
Le revoici pourtant le méchant Tabou qui pointe le bout de son nez statistique et qui se fait appeler « bombe démographique » quand Welcome refugies, son pire ennemi, plaide pour « crise migratoire » son amante éplorée:
« D'après les statistiques de l'Organisation internationale pour les migrations établies pour les onze premiers mois de 2015 sur l'ensemble des migrants, toutes provenances confondues, plus de 69 % sont des hommes, contre 13 % de femmes et 18 % de mineurs. Parmi ces derniers, la moitié sont sans famille connue. Enfin, dans cette même population, 90 % sont de jeunes hommes : « Les agressions sexuelles d'une centaine de femmes en Allemagne ont suffi à lancer une polémique sur la disproportion du nombre d'hommes parmi les réfugiés. 5»
« La bombe à retardement démographique a amené certains pays soit à fermer presque totalement leurs frontières (Hongrie, Pologne, Tchéquie, Slovénie, Danemark, Suède), soit à contrôler strictement le flux des arrivants. Ainsi, le Canada, qui avait généreusement annoncé par la voix de son jeune et tout nouveau Premier ministre Justin Trudeau qu'il était prêt à accueillir 25 000 réfugiés, vient de préciser les conditions d'entrée de ceux-ci sur son territoire : désormais ne seront admises au Canada que les familles et les femmes seules ».
Haro sur les hommes seuls ! Vous remarquerez qu'il n'est toujours pas fait mention de besoins sexuels ni d'interrogation plus avancée sur cet étrange comportement de prédateurs moyen-orientaux aux pays du cul occidental affiché partout sur les murs.
Les migrants ou les admis comme bons réfugiés n'ont pour unique souci que de travailler, dit Tabou, de prier à quatre pattes dans le nouveau pays d'accueil, et amener leurs enfants à condition d'oublier la cabriole et autres légèretés pornographiques que ne condamne pas Daech qui est échangiste et achète comme il veut des femelles.
Un journaliste, proche d'Amalgame, détonne dans la pudibonderie universellement horrifiée des mains baladeuses à Cologne, quoique avec un langage châtié, mettant en garde contre la « disproportion » des sexes et en faveur non du retour des réfugiés chez eux mais des « conditions normales »6


UNE IMPERITIE HONTEUSE DE LA BOURGEOISIE SUR LA QUESTION MIGRATOIRE


Depuis quelques mois, les défenseurs de Tabou essayaient de nous faire croire que désormais ce
n'était que des familles qui migraient, qui demandaient l'asile, quand bien même photos et reportages continuaient à exhiber une masse d'hommes. Jamais le mot impéritie n'a trouvé tant de sens pour caractériser l'irresponsabilité bourgeoise. Cette irresponsabilité part de ce que j'ai déjà souligné dans l'article de 2013 : le mépris de la sexualité des prolétaires et de ceux qui s'y apparentent sur leurs radeaux de fortune. Et je me fiche de ce que Tabou et Amalgame peuvent en penser.
Véritable gabegie, abomination cet accueil démagogique des réfugiés sous la houlette de l'irresponsable Merkel, sans ratio des sexes, confirme bien le mépris de l'élite bourgeoise pour la sexualité des chairs à industrie et le peu de cas qu'elle fait des femmes prolétaires en général non soumises à l'islam et confrontées aux besoins primaires de péquenots islamisés, pas encore régularisés ni socialisés.
Dans le cocon démocratique bcbg européen on se gargarise de la nécessaire parité des sexes et des races, convivialité paritaire qui n'est que foutaise, mais il a échappé aux élites occidentales pourries les conséquences d'un déséquilibre des sexes avec l'arrivée massive de migrants sans migrantes (déséquilibre qui n'échappe plus aux bourgeoisie asiatiques, sachant qu'il est producteur de guerres). La bourgeoisie n'a pas toujours été insouciante de cette question, en particulier durant les guerres passées. Remarquons au passage que Daech et son bâtard Boko Aram sont plus soucieux de fournir du sexe à leurs tueurs enthousiastes! Partout la bourgeoisie a organisé des bordels de campagne sinon ses soudards se servaient dans la population civile : les japonais en Corée, les américains comme les allemands en France, les français en Algérie, etc. Les guerres restant toujours une généralisation permissive des viols.
Cette gabegie, impossible assimilation à un rythme contrôlé de populations en majorité mâles, qui se choque d'attouchements et de quelques viols probables dans les coins du souterrain de la gare de Cologne, voile plus encore un phénomène d'oppression des femmes qui s'est généralisé bien avant la pression migratoire, avec une masse d'hommes de souche en déshérence, et dont les statistiques policières réelles des exactions sont tues. Tabou et Amalgame se rencontrent depuis longtemps dans le métro, aux heures de pointes, dans les moments de festivité populaire. Les femmes de toute origine, voilées ou pas, se font tripoter, sont battues, persécutées. Nombre de celles qui se voilent ne le font pas pour la religion mais pour tenir à distance les goujats. Nombre d'autres préfèrent risquer l'accident de la route à scooter plutôt que de se laisser entasser et doigter dans les transports en commun tous les matins ou les fins d'après-midi.

SILENCE SUR LA SEXUALITE DANS LES CAMPS DE REGUGIES

Personne ne peut ignorer la promiscuité dans les nouveaux bidonvilles qui se multiplient, la saleté, le chagrin et les privations de tout ordre, en particulier la libido ; revoici Tabou qui montre le bout de son sexe. Amalgame est prêt à régler son tribut. Dans les camps, une partie des femmes se prostituent même mariées car cela permet au couple avec enfants de survivre. Amalgame n'en parle pas, père Tabou, non plus. Un temps les grecs avaient organisé une île bordel pour réfugiés, l'île de Kos, mais on n'en entend plus parler. Dans la capitale7, la prostitution d'albanaises, de syriennes, etc. est devenue un marché lucratif qui abolit les frontières maquerelles avec les Eros center germanique. Certaines chaînes d'infaux dites d'investigation ont bien traité de la prostitution de jeunes étudiantes grecques pour se payer la drogue, mais Tabou ne veut pas qu'on parle de ses clientes pas si réfugiées qu'on veut bien le proclamer8.
Vient le moment où la demande déborde. La bourgeoisie allemande, qui contrairement à l'hypocrite et nunuche bourgeoisie française, assume des bordels officiels clean et garantis pour les laids, les handicapés et les obsédés, ne peut plus répondre à la demande de pacification des besoins sexuels.
Sans oublier, comme ne veut pas en entendre parler Tabou, que nombre des arrivants sont des ploucs islamistes qui considèrent les femmes européennes non voilées comme des putes accessibles sans monnayer.
Que la Chancelière chancelle ou continue dans la dentelle immigrationniste, le carnaval aura lieu :
« Nous espérons que les poursuites les plus fermes seront bien lancées », a déclaré, sans allusions hétérosexuelles, la maire de Cologne, Henriette Reker. L’édile a ajouté que la ville allait « rappeler aux visiteurs de culture différente que pour le carnaval il ne faut pas confondre la fête et les comportements festifs avec une invitation aux violences sexuelles ». Le carnaval doit en effet démarrer au début de février.
En panne de voiture l'autre jour, j'ai marché en vain des kilomètres sans qu'un automobiliste de souche ne daigne me secourir. Il est vrai qu'avec mon blouson à capuche en plastique de Tati j'avais l'air d'un migrant. Rentré au bercail j'ai été à la gare acheter un billet pour Cologne, où je me mêlerai à la foule carnavaleque pour tripoter les nibars des robustes blondasses d'Outre-Rhin. C'était la tradition au Moyen âge où même les curés pouvaient faire de l'exhib avec leurs robes. Et, au cours des années d'avant les guerres de religion du XXIème siècle c'était le seul moment où la femme allemande avait le droit de tromper son mari. Cher Tabou, les traditions se perdent.


TABOU ET AMALGAME VONT EN TANK
Tabou et Amalgame ont fini par se serrer la main en prenant connaissance de l'info suivent :

« La compagnie de gendarmerie de Calais vient de recevoir trois véhicules blindés, rapporte le journal Nord Littoral. "Ces engins ont pour mission d’apporter un soutien de poids aux forces de l’ordre agissant dans le cadre du maintien de l’ordre", explique le journal. Désormais conservés dans les hangars de la gendarmerie, il faudra attendre l'accord du préfet pour faire sortir deux d'en eux. S'il fallait en sortir plus, c'est le premier ministre qui devrait donner son accord.  "L’arrivée de ces trois blindés coïncide avec la recrudescence d’assauts sur la rocade portuaire calaisienne ou sur l’autoroute A16", souligne le journal ».

1Pour ceux qui ne connaissent pas, lire la définition sur wikipédia.

2Je renvoie le lecteur à mon article sur ce blog du 30 novembre 2013 : « La principale prostitution n'est pas celle que vous voyez (la répression libidinale de l'abbé Hollande contre la sexualité des ouvriers immigrés) ».

3Cet organe moraliste retenait son souffle, précisant que ce journal allemand était tout de même classé à droite, ce qui est toujours utile aux électeurs de gauche pour éviter qu'ils ne soient piégés à l'amalgame.

4 le Monde du 3 juillet 2013, ne prenait pas de gants pour décrire des événements fondateurs en un pays lointain: Egypte : près d'une centaine d'agressions sexuelles sur la place Tahrir ces derniers jours. (http://abonnes.lemonde.fr/afrique/article/2013/07/03/egypte-pres-d-une-centaine-d-agressions-sexuelles-sur-la-place-tahrir-ces-derniers-jours_3441013_3212.html). Ou dans des articles sur les viols collectifs en Inde, presqu'une tradition.

5«  Par ailleurs, parmi les mineurs sans famille – dont 90 % sont des garçons –, la quasi-totalité de ceux qui se présentent dans les pays européens se voit accorder le droit d'asile, pour des raisons humanitaires évidentes. Mais la conséquence démographique est inquiétante : ainsi, la Suède vient de s'apercevoir que, dans sa population de 16 à 18 ans, le ratio est aujourd'hui de 123 garçons pour 100 filles. C'est un déficit plus important que celui de la Chine (117 pour 100), après des années de campagne pour un fils unique. Une politique antinataliste d'ailleurs abandonnée depuis quelques mois par Pékin parce que jugée dangereuse ».

6« Pour éviter que cette disproportion entre les sexes ne vienne à provoquer des incidents en Europe, dont les réfugiés sont déjà accusés à Cologne, il ne reste plus qu'à souhaiter et à faciliter le retour de conditions normales de vie en Syrie, en Irak et en Afghanistan. Seule condition pour espérer la réunification de familles aujourd'hui dramatiquement dispersées ».

7En 2011, selon le ministère grec de la Santé, l’incidence du sida a explosé, pour une hausse de 1.500% dans le centre d’Athènes. Un virus transmis surtout par les toxicomanes, via les seringues. Aujourd’hui, en plein jour, dans le centre-ville et devant des universités, des junkies se piquent, et meurent doucement en silence. «Ce sont surtout des étrangers, mais de plus en de Grecs tombent aussi dans la drogue», déplore Kristina Sanaratzi, porte-parole de Médecins du monde. «Ce que l’on voit à Athènes pour la drogue, en pleine scène ouverte, c’est absolument terrifiant. C’est le pire endroit d’Europe»,


8« La traite des enfants et des adolescents est un phénomène persistant et féroce qui touche surtout les migrants. Les Nigérianes sont exploitées par des réseaux de prostitution avant même d’arriver en Italie. Tandis que les adolescents d’Afrique de l’Ouest, Égyptiens et Afghans sont les plus exposés au travail au noir », souligne Raffaela Milano, directrice des programmes Italie-Europe de Save the Children.


PS: Tabou "antiraciste" en complicité avec la police et les médias sélectifs taisent ou passent au second plan les conséquences de la misère sexuelle des réfugiés en gonflant outre mesure un épisode libertin crade entre trois jeunes français, mais quid du réfugié ougandais qui a violé et étranglé une jeune couple à Rouen (il était expulsable mais son gouvernement n'en voulait pas...). Silence aussi sur les agressions sexuelles de réfugiés afghans en France: http://www.bfmtv.com/societe/une-jeune-femme-sauvee-de-justesse-d-un-viol-collectif-dans-un-train-941661.html

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