PAGES PROLETARIENNES

lundi 28 octobre 2024

UNE NOUVELLE DROLE DE GUERRE OFFSHORE?





Une drôle de guerre !!! Les USA dictent leurs volontés aux uns et aux autres. La montagne a accouchée d’une souris, tout ça pour ça ?, vous allez voir ce que vous allez voir, j’attendrai

Anonyme

 

 

Des guerres ont lieu partout,  dispersées, apparemment sans buts semblables, en lisière et sous la responsabilité des principales puissances en concurrence. Irrationalisme ? C’est la dernière théorie du CCI après sa géniale invention de la décadence qui doit tant à Lénine puis de la décomposition qui doit tant à Bourdieu. La bourgeoisie mondiale perdrait-elle la raison ? Les bourgeois seraient-ils suicidaires et désormais indifférents à leur domination et profits ? La guerre pour le plaisir de faire la guerre ? Tout cela est évidemment étranger au marxisme. La guerre n’est pas seulement le prolongement de la politique, mais pour faire bref, à cheval sur les deux siècles modernes, elle vise essentiellement le contrôle de l’or noir et du gaz. Jamais dans ses articles depuis 50 ans cette secte n’a mesuré l’importance du pétrole dans les deux guerres mondiales. Celle de 1914 mis fin à l’Empire ottoman mais fût déjà marquée par la compétition pour contrôle les zones pétrolières récemment découvertes. Lors de la Seconde boucherie mondiale, c’est le nerf de la guerre. La raison (sic) belliciste de Hitler n’est pas simplement basée sur la nécessité pour la bourgeoisie allemande de desserrer l’étreinte du Traité de Versailles en perdant ses colonies, mais la « soif » de pétrole. C’est d’ailleurs le souci principal et la motivation de sa guerre éclair, face à une armée française pourtant dotée d’armes plus sophistiquées ; les chars risquaient de tomber … en panne d’essence !

L’Allemagne nazie perdra d’ailleurs au bout du compte la guerre parce qu’elle échouera à s’emparer du pétrole sur les terres du magouilleur Laurence d’Arabie (voir le film) ! Avec la défaite de Rommel en Afrique du nord.

On nous suggère par ailleurs que la guerre généralisée serait impossible actuellement du fait que les blocs rivaux (en principe deux) ne sont pas encore constitués. Fadaises ! Lors des deux boucheries précédentes ils ne l’étaient pas non plus ou branquignoles comme le pacte germano-bolcho. Les Etats-Unis commercent royalement avec l’industrie nazie et en leur vendant des canons jusqu’en 1941au moment de Pearl Harbor qui, comme la destruction des twins quarante ans plus tard et la soi-disant négligence de l’ordure politique Netanyahou le 7 octobre[1], servent de prétexte tout trouvé pour entrer en guerre mieux qu’avec le simple assassinat d’un archiduc. (certains pensent même que le crime du 7 octobre a été concocté par des fachos de l'Etat israélien).

La question du pétrole est mondiale, implique la domination de la planète, ce que la bourgeoisie américaine a réussi à maîtriser, et qu’elle maîtrise encore en pilotant son larbin l’Etat juif. Les crimes de l’armée sale d’Israël sont évidemment le moteur d’une explosion de l’antisémitisme, constat que tous les collabos juifs repoussent avec horreur, mais arrange bien la domination américaine car dans l’impasse de cette idéologie débile, au moins les termes ne sont pas posés en lutte ce classe contre la guerre ; islamophobie et antisémitisme sont devenus en fait les mamelles repoussantes de cette vieillerie, la guerre nationaliste, présentée comme « civilisation » contre un terrorisme qui n’est que le paravent de cliques étatiques, plus capitalistes qu’elles n’en ont l’air sous leurs jupes islamiques.

La compréhension et la dénonciation de la guerre ne peuvent en rester aux jérémiades sur la méchanceté du capitalisme comme s’en lamentent notre secte et les gauchistes qui, eux pourtant sans gêne, soutiennent les « libérateurs nationaux » mais terroristes larbins surtout de l’Iran et des « monarchies » arabes. Joyeuses libérations nationales pour les milliers de civils massacrés par la faute des deux camps INDEFENDABLES.

Le gauchisme le plus résistant à l’usure du temps et aux démystifications de l’histoire, le trotskisme achève de se ridiculiser dans le wokisme. Sa décomposition date bien sur de son lointain soutien aux guerres de libération nationale, fumisterie inventée par les blocs impérialistes pour dépouiller l’Europe de ses colonies. La nation Israël fait partie de cette cohorte de nations artificielles, pions de telle ou telle puissance. L’ Etat hébreu à l’origine hésita entre Argentine et Israël, vérité pas très catholique.

ISRAEL UN ETAT ARTIFICIEL

Le sinistre Netanyahou joue au loup solitaire vengeur, mais se fout des otages pour sauvegarder avant tout l’hégémonie US dans la région. Plus scandaleux les médias font silence sur les milliers d'otages en face, palestiniens maltraités et torturés sans que les organisations humanitaires puissent visiter et enquêter dans ces sinistres geôles où sont entassés plus de simples soldats qu'une armée supposée de terroristes (lire le livre noir de Gaza). Maltraitances digne des méthodes hitlériennes et avec le même type d'argument que le führer "guerre au terrorisme"!

Il est bien l’héritier d’une esbrouffe historique, qui légitime que, du point de vue du prolétariat international l’Etat juif sera à détruire comme tous les autres Etats arabes ou pas.

Il suffit de lire cet article du Monde Diplo pour rappeler ce que tous les collabos occidentaux font mine d’ignorer. : « le mouvement sioniste moderne est né sous la forme d’un sionisme étatique, visant à la création d’un État juif, à la différence de courants sionistes antérieurs ou contemporains qui se voulaient spirituels ou culturels. Theodor Herzl, son fondateur, était un Juif autrichien assimilé qui parvint à ses convictions sionistes après avoir couvert à Paris en tant que journaliste le procès de l’officier français d’ascendance juive, Alfred Dreyfus, victime de la poussée d’antisémitisme en France. L’affaire Dreyfus inspira à Herzl son célèbre manifeste Der Judenstaat (« L’État des Juifs »)[2], qui parut en 1896 (…)  l’idéologie sioniste moderne s’apparente plutôt au nationalisme fanatique et colonialiste qui avait le vent en poupe à l’époque de sa naissance. Certes, le sionisme étatique s’est indéniablement formé en réaction à l’oppression des Juifs : Herzl lui-même explique dans la préface de son ouvrage que « la détresse des Juifs » est la « force motrice » du mouvement qu’il souhaite créer. Il est tout aussi indéniable, cependant, que le sionisme tel qu’il le théorisa est une idéologie fondée sur une logique essentiellement réactionnaire et colonialiste.(…)  le projet sioniste de Herzl est au fond un plan conçu par un Juif autrichien assimilé et laïque, visant à débarrasser les Juifs occidentaux de leurs coreligionnaires religieux et pauvres d’Europe de l’Est dont la migration vers l’Ouest avait perturbé leur existence. Theodor Herzl le reconnaît avec une franchise saisissante dans l’introduction de son livre : « Les “assimilés” tireront plus d’avantages du départ des Juifs fidèles à leurs origines que les citoyens chrétiens eux-mêmes.(…) Les plus pauvres doivent s’en aller au plus vite et au plus loin. C’est ainsi qu’en examinant les choses attentivement, on se rend compte que plus d’un de ces soi-disant amis des Juifs n’est, en réalité, qu’un antisémite d’origine juive, qui aurait pris l’apparence d’un philanthrope.(…) La nouvelle idée de Theodor Herzl, destinée à pallier l’échec des entreprises de colonisation « philanthropique » (la principale était financée par la famille Rothschild), fut de remplacer les actes de bienfaisance par un projet politique s’insérant dans le contexte du colonialisme européen et visant à fonder un État juif appartenant à ce même contexte et le renforçant. Herzl comprit que, pour parvenir à ses fins, il trouverait ses meilleurs alliés parmi les antisémites chrétiens. Son principal argument, dans la deuxième partie de son livre intitulée « Le plan », est le suivant : « La création d’une nouvelle souveraineté n’a rien de ridicule ou d’impossible. (…) Les gouvernements dans les pays desquels sévit l’antisémitisme seront très intéressés à nous procurer la souveraineté. » Il ne restait plus qu’à choisir le territoire sur lequel le projet sioniste pourrait se matérialiser : « Deux régions peuvent être envisagées : la Palestine et l’Argentine. Des tentatives de colonisation très remarquables y ont été organisées, mais toujours selon le principe erroné de l’infiltration progressive des Juifs. L’infiltration aboutit toujours à un échec »[3].

Ainsi dans l’échange de mots doux entre Macron et le salaud Netanyahou, c’est le premier qui avait raison tout en restant sibyllin vu que l’Etat hébreu est la « seule démocratie de la région » c’est-à-dire celle qui a le droit de massacrer plus que les régimes de merde qui l’entourent, mais avec les meilleures armes US pour son armée sale. Macron a fait son boulot sans échapper à la furie à son encontre des amis de Bibi journalistes ou piliers de plateaux TV. Le Liban est une ancienne colonie française qui date de l’époque où l’impérialisme français s’est fait baiser par l’Oncle Sam et Churchill[4].

Kouchner, honnête pour une fois, seul à avoir reconnu que cette horreur à Gaza et au Liban est bien ce qui favorise l’antisémitisme et reste disproportionné, s’est fait rentrer dedans, pas comme personne contestant la terreur israélienne  mais surtout comme juif, rappelé à l’ordre communautaire par tous les artistes et curés juifs collabos. L’argument de la persécution par le premier démagogue ministre d’un Etat tardivement et odieusement colonialiste est soutenu par la plupart des vedettes dev télévision, génuflexion de la plupart de nos journalistes en faveur de "l'Etat juif" pour, paraît-il, débarrasser enfin la communauté juive d’une persécution millénaire ; ceci nous ferait presque croire qu’elle est unique dans ce cas, mais pas qu’il soit certain qu’elle échappe non plus aux bombes d’une troisième der des der ! Preuve de plus de soumission de ces crétins à l'idéologie américaine[5].

La cuisine et la cuistrerie de « Bibi » le criminel de guerre, aves ses diverses déclarations pathétiques[6],  n’a pas de limites pour voiler son rôle de représentant commercial des intérêts des compagnies américaines car celles-ci sont dans les deux camps ; il y a celles qui traitent avec l' Iran, et les autres directement pour l’Etat américain…C’est pourquoi une véritable guerre est impossible entre l’Iran et l’Etat hébreu, Bibi prend soin de cibler ses bombardements en Iran quand l’ayatollah la joue modéré.

Bibi veut raser le Liban et pour cause.


GAZA OU LE GAZ ?

La question des matières premières reste fondamentale dans un capitalisme pas si décadent que çà (progrès en médecine, aéronautique, numérique, et autres qu’il faut savoir reconnaître), ni complètement décomposé. L’empire ottoman n’a jamais connu de décadence, mais a été détruit par la guerre de1914 jusqu’en 1923. La décomposition politique est plutôt celle du CCI. Jamais depuis 50 ans il n’y eût un article tenant compte de la question du pétrole dans la guerre! Ce serait une analyse gauchiste secondaire ! Dans le long article qui était initialement prévu à la place de ce résumé, j’avais étudié à fond et cité leurs billevesées incroyables. J’ai perdu le fichier à cause de ce putain d’ordi. Mais voir le pétrole comme conséquence de la crise économique est assez minable. Revenons sous terre. Toute l'histoire géopolitique du Moyen Orient tient à la question des matières premières et du comment Kadhafi et Saddam Hussein se sont fait rouler et manipuler par les Sarkozy et Madeleine Albright; cette dernière avait conseillé à Saddam d'envahir le Koweït pour s'emparer de son or noir, ce qui permit à la fraction démocrate de la bourgeoisie américaine de le chasser du Koweït au profit des compagnies américaines. Dans le même camp occidental chacun défend ses chasses gardées; certains Emirats sont acoquinés avec la bourgeoisie britannique, et il ne faut pas oublier la bataille à Chypre où l'Angleterre avait poussé les turcs pour pouvoir conserver ses deux dernières bases militaires en Méditerranée. 

C'est la découverte d'un immense gisement gazier en Méditerranée face à Gaza, au Liban et à l'Egypte que les appétits se sont aiguisés. Tout le monde veut sa part voire la plus grosse part. Liban, Israël, la Turquie (soudainement amie des gazaouis), liste non exhaustive. Face à cette évidence tue par les médias et ignorée par nos sectes maximalistes idéalistes, on peut comprendre que l'urgence de sauver les juifs ou de sauver les démocraties d'un terrorisme diffus au nom d'une civilisation "civilisation" hyper-armée , totalement cynique et criminelle, c'est du pipeau. Et nous prendre tous carrément pour des cons.

Voici ce qu’on lisait il y a une paire d’années

"La bataille du gaz en Méditerranée | Le Liban et Israël sont encore virtuellement en état de guerre. Leurs frontières terrestres et maritimes n’ont pas été définitivement tracées et reconnues, même si des négociations historiques ont débuté le 14 octobre 2020. Au cœur des enjeux, notamment, un champ gazier offshore. Faute d’avoir défini leur frontière maritime, Israël et le Liban se disputent un champ gazier offshore. Des négociations historiques ont débuté le 14 octobre 2020 à Naqoura, quartier général des Casques bleus de la Force intérimaire des Nations unies pour le Liban (Finul) et poste frontalier libano-israélien. Ces discussions indirectes se déroulent en sessions successives sous l’égide de l’ONU et la médiation des États-Unis, avec un objectif : déterminer la limite des zones économiques exclusives (ZEE) en mer des deux pays afin de permettre l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures dans un cadre international.

Après le retrait israélien du Liban sud le 25 mai 2000, les Nations unies ont tracé une frontière technique terrestre provisoire _(_une "technical fence") baptisée la "ligne bleue". À l’époque, l’ONU l’avait arbitrairement prolongée en mer par une ligne de bouées. Ces deux tracés, terrestre et maritime, ne préjugeaient pas des résultats de futures négociations entre Israël et le Liban pour les rendre définitifs et internationalement reconnus. 

Sauf qu’entre-temps, des réserves potentielles de gaz ont été identifiées dans les eaux territoriales du Liban et d’Israël. Au large du pays du Cèdre, ces poches pourraient atteindre 25 000 milliards de pieds cubes. Pour faciliter l’exploration de ces champs offshore, les eaux territoriales libanaises ont été divisées en 10 blocs.

Or, une zone à cheval sur la "ligne des bouées" pose problème. Le contentieux maritime correspond à un triangle de 850 km2 qui part de Ras Al-Naqoura et dont les deux autres extrémités en mer se trouvent à 17 km de distance.

Un gisement "partagé"

C’est précisément dans cette zone contestée que le Liban a signé en 2018 son premier contrat gazier d’exploration avec un consortium international, comprenant le groupe français Total (40 %), l’italien ENI (40 %) et le Russe Novatek (20 %), pour deux blocs offshore, les numéros 4 et 9.

Mais ce dernier déborde dans la zone maritime revendiquée par Israël. Total a prévu de mener son premier forage exploratoire en 2021, dans la partie nord du bloc n° 9, à 25 km de la zone contestée. Le groupe français a indiqué que le contentieux concernait moins de 8 % de la surface de ce bloc. 

A ce stade, Total a trouvé des traces de gaz dans bloc n°9, mais pas suffisamment pour démarrer une exploitation. Cette non découverte fait dire au pétrolier français que les chances de trouver du gaz au nord est faible.

Pour justifier ses prétentions maritimes, le Liban s’appuie la méthode de l’équidistance reconnue par la Convention des Nations unies sur le droit de la mer (UNCLOS). Beyrouth a notifié à l’ONU en 2010 son tracé qu’il considère comme légitime de revendiquer.

La perspective d’un accord entre le Liban et Israël sur le partage des eaux contestées en Méditerranée renfermant des gisements d’hydrocarbures offshore attise les convoitises. La version finale du texte présentée par l’émissaire américain Amos Hochstein a suscité, mardi 11 octobre, des réactions enthousiastes dans les deux pays. Israël se prépare déjà à lancer la production dans le gisement gazier offshore de Karish, qui lui reviendra une fois l’accord signé. Le miracle gazier n’est en revanche pas pour demain pour le Liban, qui cherche pourtant désespérément à sortir de la pire crise économique de son histoire.

« Cet accord, une fois signé, sera un pas dans la bonne direction, mais il ne signifiera aucunement que le Liban est devenu un pays gazier ou pétrolier. Le Liban va devoir attendre longtemps », souligne Marc Ayoub, chercheur associé à l’Institut Issam Fares de l’Université américaine de Beyrouth. L’inclusion du champ de Cana dans la Zone économique exclusive (ZEE) du Liban, conformément aux termes de l’accord, ne préjuge en rien de la découverte de ressources en hydrocarbures. Aucun forage n’a encore été réalisé sur ce gisement par le consortium chargé de l’exploration et de l’exploitation dans la zone libanaise, regroupant le français TotalEnergies, l’Italien ENI et le gouvernement libanais, qui a récupéré les parts du russe Novartek, lequel a souhaité se désengager du consortium".

Bon appétit mais nous vomissons les infâmes massacres des fachos israéliens qui ont détruit Gaza et s'efforcent à nouveau, au Liban, d'éradiquer la population en tuant sans vergogne civils, femmes et enfants. Il faudra tôt ou tard que ces crimes se payent. La clique bourgeoise israélienne s'est déjà inscrite au palmarès des pires Etats criminels de l'histoire des génocides. Comme en Ukraine, la vilenie et l'invasion sanglante ne peuvent pour l'heure que raviver la haine contre le principal mirador US du coin, et seule indignation en attendant Godot, ce prolétariat impuissant à s'élever contre la barbarie sous nos yeux.

 

Bon, ne soyons pas pessimiste, il paraît qu’il y a des milliers de déserteurs sut tous les fronts nationalistes !


 NOTES



[1] Voici la version des journalistes serviles : « Le succès du Hamas est dû avant tout à un raté colossal du renseignement. Selon nos sources

L'Iran veut le chaos au Proche-Orient afin de faire pression sur les gouvernements arabes, surtout ceux qui envisagent un rapprochement avec Israël. Il est impossible que l'Iran n'ait pas anticipé la réaction de l'État hébreu et donc l'invasion de la bande de Gaza en représaillesé.

[2] Shlomo Sand, professeur israélien d’histoire contemporaine à l’université de Tel-Aviv, se considère lui comme « postsioniste ». C’est-à-dire qu’il ne remet pas en question l’existence de son pays mais il rejette « Israël comme un État juif ». Et souhaite que son pays soit  « une république de tous les citoyens israéliens qui vivent sur ce territoire », juifs, chrétiens, musulmans ensemble.

[5] La fable mythique sioniste de la création d'un Etat juif protecteur (mais de quelle classe ?)  de plus justifié par le génocide est une fable impérialiste inventée par les gagnants GB ET USA (cf Argentine) et pourquoi protéger plus ou seulement les juifs, pas les russes plus nombreux  , les yazidis , les mongols (cf plus haut), les Uïgours en Chine, les kabyles en Algérie, les hindous ou les chiites du Pakistan, la communauté sikhe, Indigènes Awas en Colombie, etc.  sans oublier les millions de polonais et d’ukrainiens persécutés et massacrés par Staline. Combien de nations devrait-on créer, à l’infini ?

[6] «  Je veux libérer le Liban. Je libérerai le Liban de la terreur du Hezbollah et de l’Iran». «Il y a des otages français. Il y a des Français qui ont été assassinés le 7 octobre. La France le comprend, mais ce n’est pas le cas de son président. Notre bataille, c’est votre bataille. Une fois qu’ils auront fini avec nous, ils viendront directement chez vous», a déclaré Benjamin Netanyahou. Et de poursuivre : «On a vu cette haine pendant la Shoah. Elle va continuer dans le reste de la société (…) L’antisémitisme essaye de détruire le seul état juif. Ce n’est pas seulement une attaque contre les Juifs. C’est une attaque contre toutes les sociétés libres et nous devons être ensemble pour y répondre». Et tes milliers d'otages palestiniens, salaud, qui croupissent dans tes ignobles prisons?

 

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