PAGES PROLETARIENNES

samedi 12 novembre 2011

DSK L’ARBRE QUI CACHE LA FORET DU POUVOIR PEPERE ET PERVERS

(A propos des "petites nanas" et du viagra parlementaire)


L’affaire du Carlton à Lille où politiciens et grands flics ont organisé des « parties fines » pour leur gland, et le premier gland de France DSK est la goutte de sperme qui fait déborder le vase de la perversion désormais indubitable du nommé DSK, bourgeois pourtant lourdement protégé par ses complices Claire Chazal, Yvan Levaï, Moscovici, Martine Aubry, etc. et même une certaine empathie de ses collègues umpiste. Quoique ce nouveau "scandale" ne puisse faire oublier les turpitudes haut de gamme des super-flics ripoux de Grenoble, encartés à l'UMP...

Y en a marre des Unes avec le pervers protégé DSK ! Nul doute que cette nouvelle couche de peinture est cette fois-ci orchestrée par l’Elysée pour tenter de garder la place en or dans la tempête qui s’annonce pour 2012. Mais y en a marre, non parce que ce serait un lynchage médiatique – DSK s’est lynché tout seul et le trust Nouvel Obs + 20 minutes + Le Monde ne nous ont jamais abusé avec leurs sondages sur commande pour booster leur guru rêvé – mais y e n a marre parce que la focalisation intentionnelle sur « the perv », sert à cacher les turpitudes des parvenus du « scrutin universel ».

Scrutons la prostitution ministérielle et gouvernementeuse. Les scandales sexuels d’avant-guerre, les ballets roses de papy Le Troquer, ou l’affaire du ministre Profumo en GB ne seraient-ils plus qu’un mauvais souvenir pour la prude démocratie bourgeoise, n’auraient-ils leur place que dans le musée de l’archéologie du sexe parlementarifé ?

Comme l’a fort bien résumé le livre « Sexus politicus », pouvoir rime avec sexe. Bien avant les vedettes bourgeoises du show business et du cinéma, les « politiques » ont fait l’objet d’une « admiration » et « attirance sexuelle » (pas toujours ni pour toutes) par les femmes. Conquête électorale rime avec conquêtes féminines. Que vous soyez gros, gras, suant et puant, si vous détenez la place qui distribue médailles, emplois et passe-droit, vous êtes un maquereau de choix ; quoique cela ne signifie pas que vous ayez tout pour plaire. Comme l’a déclaré ingénument un jour le cinéaste Jean-Jacques Anneau, s’arrogeant parler au nom de tous les bipèdes masculins : « que vous soyez président de la république ou réalisateur de cinéma, le but est de se taper le plus grand nombre de nanas ».

DSK n’est pas un cas unique

Disons que c’est un salaud ordinaire, pas plus salaud que la plupart de ses confrères « en pouvoir ». A part les imbéciles inconscients qui votent gauche caviar parce qu’ils admirent les sadiques et aspirent à un pareil train de vie (ils sont nombreux sur 20 minutes et le Nouvel Obs à soutenir encore Le perv), personne n’ignorait les pratiques et obsessions de ce monsieur. J’ai connu, au temps où il était le premier employé de Bercy – mais rapidement démissionné – une employée antillaise de ce ministère des finances qui m’avait décrit le mépris dont DSK était l’objet de la part du « personnel ». Il était toujours en vadrouille internationale entouré de quatre belles (fausses) secrétaires, et sa secrétaire principale, une « vieille » quinqua, confinée dans un bureau minable, était chargée de tout le lourd, fade et épuisant fardeau de secrétariat pour organiser les voyages de monsieur…

L’élu des riches, Sarko, a été largué par sa première "nana" parce qu’au cours de ses voyages, comme n’importe quel chanteur de variété, on lui servait une groupie au petit déjeuner ; quoique ce n’était point nécessaire puisque, "petites nanas" professionnelles ou non, comme elle en a témoigné, elles étaient nombreuses à venir papillonner autour de la « vedette » ; qu’on ne vienne plus me parler d’égalité des femmes, ni de dignité pour certaines "nanas"!

Quant aux honorables députés mariés, laissez-moi vous conter deux autres témoignages. Un motard de la police en retraite (Pas de Calais) : « Vous savez mon brave monsieur qu’on ne pouvait pas toujours les accompagner jusqu’au bout dans leurs virées à la campagne. Ils nous intimaient de garer notre moto et d’attendre le temps qu’il faudrait après avoir embarqué une "nana" déjà apprêtée pour une autre partie de leur activité militante ».

Une mienne "nana" amie, qui avait été l’amante du député-maire d’Arras de l’époque, s’était vue proposer de venir travailler avec d’autres "nanas"à Bruxelles, les députés européens ne pouvant pas se passer de « la petite nana » entre les fréquences parlementaires comme leurs collègues hexagonaux.

SOIS JEUNE ET TAIS-TOI, TOI QUI N’A PAS BESOIN DU VIAGRA !

Enfin pour conclure, et sans vouloir porter de jugement sur la gériatrie parlementaire. Car le fier Montebourg, dont la "nana" bourgeoise s’est régalée d’humilier l’ouvrier Poutou chez Ruquier l’hilare de service, n’est qu’un énième démagogue de la jeunesse ; je préfère choisir, à tout prendre, un représentant politique, même âgé de 72 ans, mais honnête, qu’une pourriture népotiste de 40 ans. Il est vrai, que comme en Chine et en Russie, le pouvoir déclinant et impuissant face à leur crise capitaliste, ses députés et ses journalistes, est régi par des gérontocrates (excepté les quadras qui sont acoquinés au gouvernement). Depuis la disparition médiatique de Besancenot, il n’y a plus que des vieux sur les plateaux de télévision, et des vieux bourgeois de droite et de gauche qui ne font qu'effets de manche en rêvant faire tomber sur leurs vieilles couilles une autre "petite nana". Il faut une révolution pour que la voix des jeunes prolétaires soit entendue, et il le faudra.

Pour conclure donc, et qu’on me réponde : pourquoi le viagra est-il gratuit depuis son invention pour les (vieux) parlementaires européens ? Et ne nous faites plus chier avec le fait divers DSK… qui fait diversion.

3 commentaires:

  1. >>> "J’ai connu, au temps où il était le premier employé de Bercy – mais rapidement démissionné – une employée antillaise de ce ministère des finances qui m’avait décrit le mépris dont DSK était l’objet de la part du « personnel ». Il était toujours en vadrouille internationale entouré de quatre belles (fausses) secrétaires, et sa secrétaire principale, une « vieille » quinqua, confinée dans un bureau minable, était chargée de tout le lourd, fade et épuisant fardeau de secrétariat pour organiser les voyages de monsieur…"

    Cela confirme la forte impression de désinvolture qui, à mes yeux, émanait - déjà - du personnage à l'époque où il était ministre des Finances...

    Amicalement,

    Hyarion.

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