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vendredi 13 mai 2011

L'USINE RENAULT BUTIN DE GUERRE DES STALINIENS FRANCAIS



Sur la photo du salon de l’auto en 1939 à Berlin, le simple VRP Louis Renault est plus petit que le nain Hitler avec son brassard qui fait gugusse de SO-CGT, pas encore diabolisé par l’ensemble de la bourgeoisie commerciale mondiale. En effet, toute la bonne bourgeoisie démocratique fait ses affaires depuis 1933 avec le nouveau fringant premier ministre allemand, tous ne tarissent pas d'éloges ; même le PCF ne s’en plaint pas à l’époque car la vitrine commerciale à Berlin cela peut fournir du travail aux « ouvriers français » (jusqu’en 1935 le PCF dénonçait les nationalisations comme « réformistes »). Mais après guerre tous les torchons staliniens vont exhiber tout azimut la photo… compromettante post boucherie germano-stalinienne. La démarche commerciale de LR était tout de même moins minable que Pétain à Montoire ou tous les derniers staliniens de base indécrottables qui soutiennent encore mordicus que les goulags c'était mérité pour les patrons et les hitléro-trotskystes et qu’il faut saluer les millions de mort causés par l’impéritie de Staline.
Après l’annonce jeudi que les héritiers de L.Renault assignent l’Etat sarkozien pour indemnités post mortem après l’expropriation étatique de janvier 1945 dite nationalisation « socialiste », l’indignation à la papy Hessel s’est donnée libre cours sur le forum de Libé, en particulier face à mes rectifications historiques (je suis bien placé pour cogner, j’ai connu le bras droit de Louis Renault et deux des principaux leaders de la grève de 1947, Pierre Bois et André Claisse, dit Goupil). Jetez un œil sur ces quelques qualificatifs parmi les plus imagés et non soumis au cimetière des ordures verbales : Yavolt mein führer ! Facho ! Facho de base ! Néo-pétainiste ! Vive le piolet ! et autres menaces de mort… Je ne crains pas plus ces ordures de base que lorsqu’ils me tapaient dessus dans les manifs des années 1980, car j’ai les moyens de répondre violemment. Mieux je les emmerde tous.
Toute la racaille syndicaliste anarchiste et les pépés staliniens en retraite font alors chorus comme aux pires temps de la contre-révolution pour saluer l’action « révolutionnaire » du meurtre de Louis Renault et le pillage de sa dépouille. Il est beau leur socialisme qui a pour principe de « tuer les patrons » pour refiler le pouvoir au vieil Etat bourgeois et à ses laquais stalinistes. Cette même bande de lâches syndicalistes dans l’ombre tabassait les grévistes après-guerre, cette même bande est régie par le respect religieux et pleutre des hiérarques syndicaux, ces mêmes voyous sergents recruteurs à toute époque jouent les fiers à bras en nombre, barre de fer en main, mais font profil bas s’ils se retrouvent seuls à… mentir en assemblée ! Triste libération… confisquée quoique papy Hessel soit sponsorisé par les francs-macs de Nouvel Obs pour la glorifier et bourrer le mou à nos écoliers et étudiants privés d’étude sérieuse de l’histoire et des trucages passés de la bourgeoisie
Je ne suis pas là pour défendre la famille Renault dont je me fous de leurs demandes d’indemnité, comme je me fous des demandes d’indemnité de la famille d’Alain Liepitz auprès de la SNCF, car tous ces bons bourgeois se gardent bien de réclamer de justes indemnités auprès de la police républicaine qui est la première responsable de la déportation des enfants juifs tout comme de la remise aux nazis des grévistes les plus déterminés (cf. en particulier en 1941 dans la grève des mineurs du Pas de Calais). La police d’Etat bourgeois c’est sacré, elle a le droit de faire déporter les prolétaires, de tuer les enfants et de violer les femmes en Syrie, en Libye et en France demain si on le lui demande.
Je suis là pour restituer les enjeux réels de la libération confisquée (révolutionnaires et gauchistes croyaient qu’elle déboucherait sur une libération du travail, une révolution quoi). Derrière la polémique sur le cas de Louis Renault – la droite qui demande justice et la gauche caviar qui nie le meurtre – se profile tout le cinéma des nationalisations, os à ronger lancé par le manitou De Gaulle pour acheter les troupes staliniennes et recaser leurs meilleurs terroristes.
Flash-back. La boite Renault a un passé fordiste et tayloriste indiscutable mais si utile à la « nation », elle en est devenu son joyau, sa fine fleur industrielle dès 1898. Les conditions de travail sont très dures : les ouvriers travaillent douze heures par jour et font grève pour la journée de huit heures. Renault est la première usine en France à expérimenter l'organisation scientifique du travail avec le travail à la chaîne et le chronométrage des ouvriers. Renault ne démérite pas de la patrie en guerre en 1914. Cette industrie automobile se reconvertit magiquement dans la production de munitions et d’avions militaires. Les taxis de la Marne qui transportèrent au front la garnison de Paris en septembre 1914 étaient majoritairement d'origine Renault. Plus tard, Renault se lance dans les chars légers avec son Renault FT-17. En 1918, Louis Renault est devenu le premier manufacturier privé de France et il fut médaillé par les Alliés pour sa contribution à l’effort de guerre.
Un industriel reste un industriel. La patrie et la résistance c’est pour les cons embrigadés. Ce n’est pas parce que Hitler a envahi la France avec les vivats d’une grande partie de la bourgeoisie (sauvée de possibles grèves plus sérieuses qu’au temps du front popu) qu’il va lâcher sa poule aux œufs d’or. Il n’est pas plus heureux de cette situation contraignante que la moyenne des français mais il s’accommode. Avant de faire des moteurs de char pour la Wehrmacht, Renault avait construit des chars pour l'armée Française, les FT, les R-35, les B-1. L'ennui est que le grand état-major ne croyait pas à la guerre blindée prophétisée par un certain Charles de Gaulle et en 1940, ils n'en ont pas fait grand chose et il faut savoir que, de crainte d’une révolution façon mars 1871, toutes les mitrailleuses n’étaient pas montées sur le avions à la veille de la catastrophe de la ligne Maginot. De peur que les ouvriers ne s’en servent contre les flics et les gendarmes qui allaient se mettre sans état d’âme au service des nazis.
L’amérloque Henry Ford participa également à l'effort de guerre allemand. En 1938, Ford ouvrira, dans la banlieue de Berlin, une usine d'assemblage de véhicules de transports de troupes. Avec Opel, société d'origine allemande, mais propriété de General Motors, l'autre grand constructeur automobile US, Ford produira près de 90% des half-tracks de 3 tonnes et 70% des camions lourd et moyen tonnage utilisés par la Wehrmacht. » Après la guerre, les firmes ITT et General Motors se feront dédommager par le gouvernement américain pour les dommages causées à leurs usines en partie détruites par les bombardiers américains. « De son côté, Ford arrache un peu moins d'un million de dollars pour les dégâts provoqués à ses chaînes de fabrication de camions militaires installées à Cologne. Sans compter les 38 millions de francs versés, pendant la guerre, par Vichy, après le bombardement par des avions alliés de son usine de Poissy dans laquelle elle produisait vingt camions par jour destinés à la Wehrmacht. »
La photo montrant Louis Renault avec Hitler au salon de l'auto de Berlin date de février 1939 après l'invasion de la Tchécoslovaquie, alliée de la France, elle sert donc de justification « antifâchiste » aux menteurs d’aujourd’hui fiers du passé stalinien. La photo ne peut masquer pourtant un fatras de mensonges.
- les nationalisations c'est pas socialiste, c'est programme nationaliste stalinien !
- le De Gaulle le maurrassien a été complètement complice du subterfuge qui arrangeait bien l’industrie automobile à reconstruire et incapable de retrouver des financemsnst propres ;
- Les "'cadres du mouvement ouvrier" n'étaient que des trous du cul staliniens qui avaient plus ou moins manifesté ou résisté derrière l'impérialisme arriéré de Koba la terreur en attendant les bonnes places promise à la « libération ».
- L'exécution de quelques salauds fachos et de ce patron exposé a été l'arbre qui a permis de cacher la forêt des collabos bourgeois restés en place comme en Allemagne, la plupart des patrons collabos n'ont pas été inquiétés, et on a recasé la mafia des bras cassé stalinien dans le CE et les appareils syndicaux de l’usine « nationale ».
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Les photos ne prouvent donc rien sur la collaboration diabolique (qu’est-ce qui est pire que de collaborer à la marche de l’économie capitaliste ?).. Ford a envoyé du pognon aux nazis sans jamais venir serrer la paluche à Hitler, Chamberlain et Cie ont serré la main à Hitler à la veille de son envahissement de la Tchéco... La photo sert enfin de démonstration aux vieux stalinistes nostalgiques des épurations massives qui permirent n'importe quoi (même si je pense que certaines exécutions ont été normales, cf mon père était résistant et m'a témoigné que nombre de salopes ont eu le sort qu'ils méritaient… OK mais la violence désordonnée c'est pas la révolution, c'est la vengeance, et la bourgeoisie a laissé faire pour partie (je ne pleure pas LR) pour mieux se réinstaller en lieu et place dans l'Etat, Pétain a passé son bâton de maréchal à De Gaulle, lequel a épargné son alter ego... contrairement à l'industriel Renault plus utile mort à la restructuration industrielle nécessaire! bizarre non? Normal il n'était pas question de « libérer le prolétaria »t et le PCF collabo total du nouveau régime bourgeois a joué sur le meurtre de ce patron dit compromis avec les nazis pour faire croire qu'il y avait une once de socialisme dans le cinéma des nationalisations. Cette pauvreté idéologique a servi de vitrine pour quelques planqués et à remettre les ouvriers au turbin pour reconstruire le pays détruit par la guerre impérialiste ; avec pourtant en continuité l'enrichissement des MEMES familles bourgeoises collabos (l'Oréal et Cie, en complicité avec les amis US). Mais quel intérêt de discuter avec des caves. Laissons d’autres répondre, cela me lasse.

Hors sujet, celui-là m’explique en long et en travers les avancées du génial général Staline, cet autre me qualifie d’hitléro-trotskien et menace sans frais : « Ah ! Ces bons vieux troskos- collabos. Le temps passe et ils restent égaux à eux même. Un pseudo baratin révolutionnaire, mais ils ne ratent jamais l’occasion de faire un croche patte à la classe ouvrière. Le temps des pseudos petits flics syndicaux est peut être finis, mais le tien n’a jamais commencé et ne commencera jamais. Hors déverser ta haine recuite, car la fameuse grève à la Régie dont tu fais état ne remonte pas à hier soir (étais-tu même né ?), tu es capable de quoi ?????? De rien, hors faire des croches pattes. Quant à te le dire en façe, c'est quand tu veux et ou tu veux ». Je réponds ceci à cet avorton staliniste bien téméraire : « j'aimerais savoir combien de courbettes tu fais face à ta hiérarchie syndicale. Tu menaces comme les plus lâches badgés groupies de la CGT en bande et tu sais ce que je te dis. La grève de 1947 vous fait encore chier pauvres hères (errantes) de la gauche caviar parce qu'elle a eu lieu contre l'Etat gaullo-stalinien. T'as pas de pot, il se trouve que j'ai connu deux des principaux leaders de cette grève, Pierre Bois et Goupil... mais si le PCF (résistant fantoche pro-russe) a été viré du gouvernement c'était à la demande des Américains (idem en Italie) et des historiens de pacotille ont prétendu que c'était à cause de cette grève qui leur avait échappé... en second lieu oui parce que le PCGT a pris le train en marche pour éviter ce qui lui est arrivé en 1968 et 1981.... les débuts de la fin. Enfin pour t'achever petit borné je te signale que, contrairement à l'opportuniste Trotsky, Lénine a toujours affirmé que les nationalisations n'avaient rien à voir avec le socialisme! Etudie un peu l'histoire avant de parler ou d'insulter ».
Les blogs des staliniens en retraite pullulent de martyrologie et de chiffrages mensongers et lorsque ces papys viennent sur les forums c’est pour s’appuyer sur quelque obscur plumitif ou la mère révisionniste Lacroix-Ritz fervent soutien d’une historiographie borgne (on en trouve un qui prétend que les 18 premiers fusillés du Mont Valérien étaient 18 militants CGT de Billancourt (du pipo !) et passe sous silence que le millier de fusillés l’ont été à cause des attentats terroristes des abrutis du Komintern.
Un autre blogueur s’est joint à moi et ajoute, qualifiant LE COMMUNISME APPLIQUE CE N’EST PAS TUER LES PATRONS – bien que ce soit une bande de salopards PN (cf ? lire ce jour la passionnante interview sur 20 MINUTES de Marie Pezé, spécialiste du stress au travail, régulièrement menacée parce qu’elle montre comment la nouvelle hiérarchie patronale pousser au suicide…). Des patrons cyniques méritent certainement d’être tués, mais ce n’est pas un projet socialiste. Le socialisme ne peut être guidé par la vengeance. Les patrons et leurs amis cadres et maîtrises on en aura bien besoin les premiers temps pour ramasser les poubelles et faire des frites !

Résumé : Témoin cet article du Daily Telegraph : « Il y a un peu plus de soixante ans, le 24 octobre 1944, Louis Renault, géant des premières années de l’automobile, mourrait dans un hôpital de la rue Oudinot à Paris, après y avoir été transféré depuis la prison de Fresnes. Officiellement, la cause du décès était une crise d’urémie. Mais selon des témoins oculaires et la version familiale, cet homme de 67ans avait été torturé et battu. Une religieuse de Fresnes témoigna avoir vu Renault s’effondrer après avoir été frappé à la tête à coup de casque par un gardien. Un examen aux rayons X, réclamé par la famille, montra une vertèbre cervicale cassée. Louis Renault fut accusé de collaboration avec l’ennemi. Environ quarante mille Français moururent des mains vengeresses de leurs compatriotes, dans les suites confuses de la libération à la fin de la seconde guerre mondiale. Renault était le parfait bouc émissaire, nécessaire à l’administration d’après-guerre afin de mieux afficher son orientation politique et sa résolution. Or certains ne l’ont jamais considéré comme un collaborateur, mais plutôt comme un héros, et estiment que sa fin fut un scandale national. Car grâce à ses efforts, ses usines et ses ouvriers ne furent jamais déplacés en Allemagne. Quand la France fut envahie en 1940, Renault fut envoyé par le gouvernement de Paul Reynaud aux États-Unis pour y acheter des tanks. Il revint après la signature de l’armistice, pour trouver l’administration militaire allemande et les ingénieurs de « Daimler-Benz » à la porte de ses usines de Billancourt. Ils étaient venus saisir les équipements pour les déménager, avec la main d’œuvre, vers l’Allemagne. Renault réussit à leur faire changer de projet en acceptant de construire des véhicules pour la Wehrmacht. On raconte qu’il dit à l’époque : « Donnons-leur le beurre ou ils prendront les vaches ». Suite à cette décision, les accusations de collaboration et de profiteur de guerre, ne pouvaient que devenir inévitables. Alors que son seul délit fut son pragmatisme. Il est vrai que sa société contribua indéniablement à l’effort de guerre allemand. Mais des études sur la question prouvèrent aussi qu’il détourna des matériaux essentiels, d’ordre stratégique, et fit saboter des fournitures. Comme par exemple de raccourcir les jauges à huiles des camions destinés au front russe, qui tombaient évidemment en panne…(çà c'est du pipo, les patrons haut de gamme ne sont jamais courageux, je n'y crois pas une seconde, les sabotages étaient le fait des ouvriers eux-mêmes et de membres (pour une fois) honorables du PCF, note de jlR).
Toutefois, après la libération, Renault devint la cible d’une campagne de représailles. Les journaux communistes l’accusèrent d’avoir réalisé six milliards de francs de bénéfices de guerre (une grande partie de ces bénéfices furent distribués par L. Renault au fond d’aide pour les prisonniers de guerre). Et aussi d’être responsable de la mort de nombreux soldats et civils. Les autorités furent accusées de faiblesse à son encontre. Mais pas pour longtemps ! Convaincu qu’il s’était conduit honorablement, et se fiant à la justice de son pays, Renault refusa de s’éclipser discrètement. Bien qu’il n’ait jamais été inculpé, sa société (dont il était le principal actionnaire à 99 %) fut mise sous séquestre par l’État français, sous prétexte d’enrichissement et de collaboration avec l’ennemi. Et bien que le nom de « Renault » ait été conservé pour des raisons commerciales, sa famille ne reçut jamais le moindre dédommagement financier. Encore de nos jours, toute allusion à Louis Renault reste un sujet tabou, soigneusement occulté par la Régie Renault. Le mérite du développement de la compagnie fut attribué officiellement aux efforts de Pierre Le Faucheux qui prit alors la direction des usines nationalisées. Et quand fut célébré en 1999 le centenaire de la société « Renault Frères », ses petits-enfants Louis et Marie ne furent pas conviés. Est-ce qu’un jour la France réhabilitera le fils qu’elle a renié ? Ceux qui en France croient en l’injustice infligée à Louis Renault jugent cette possibilité improbable. Or, légalement, il pourrait être prouvé que la Régie constitue un recel qui découle d’un meurtre et d’une spoliation. L’administration française ne peut accepter que cet argument remonte à la surface, car reconnaître que Louis Renault n’a pas été jugé équitablement, soulèverait le problème d’une énorme compensation pour ses héritiers. Ceux qui lèvent leur verre à la mémoire de ce grand homme à l’occasion de chacun de ses anniversaires, le 15 février, ne le font qu’avec prudence. Car il est murmuré que d’aborder publiquement un tel sujet en France, même 60 ans plus tard, pourrait provoquer des représailles. Par exemple… un contrôle fiscal ».

On ne sait pas si les chars de Leclerc, élégamment laissé défiler en tête lors de la percée dans Paris, possédaient un moteur Renault. Il est établi pourtant que pas un membre du PCF blanc de peau ne se trouvait dans la colonne de chars US. Leclerc a joué les utilitaires avec ses conducteurs de chars anarchistes espagnols mis devant parce que derrière il n'y avait que des ... africains pour libérer le pays! Leclerc a probablement était éliminé physiquement comme Giraud pour ne pas faire d’ombre au grand Charlot. La nationalisation bidon est décidée le 16 janvier 1945 par le grand Charles, manitou assis sur le fauteuil des kollabos staliniens dédié à la reconstruction de la nation bourgeoise.
Ne peut-on en conclure que cet épisode juridique entre bourgeois est un nouvel avatar destiné non à redorer le blason terni de la résistance flouée qu’à relayer le crin-crin usé de la Shoah, pour ranimer la veilleuse électoraliste avec le bluff indigné, ce nouveau chant des votants hesseliens des partisans de la gôche caviar : « halte à Adolfette Le Pen » ?

CONSEILS DE LECTURE :
- Conflits, pouvoirs et société à la Libération par Grégoire Madjarian (ed 10-18, UGE, 1980)
- La libération confisquée par Yvan Craipeau (ed du PSU, vers 1980)
- Le nazisme, son ombre sur le siècle, par votre serviteur.

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