PAGES PROLETARIENNES

samedi 27 novembre 2021

A PROPOS DU LYNCHAGE DE NICOLAS HULOT (du systémisme féministe bourgeois)

 


«C’est le service public d’enquêter sur ces affaires
, a répondu Élise Lucet. La parole des femmes est centrale dans la société. Le travail des journalistes c’est d’enquêter très sérieusement sur ces affaires, ça c’est du service public, c’est vraiment du service public!»

Elise Lucet (journaliste procureur de Gala)


Service public ou sévice public pour « dévoyé spécial » ?

L'orchestration de la mise au pilori de Hulot, bien supérieure à la persécution du vilain canard Zemmour1 est à la fois effarante et répugnante mais pose d'étranges questions de cuisine politique malodorante sur lesquelles je reviendrai après avoir cédé provisoirement à une analyse des bas-fonds d'une prétendue journaliste qui nourrit son fonds de commerce d'accusations venimeuses soigneusement compilées, soi-disant des années durant comme un vulgaire inspecteur de police, par une collègue naine qui s'y voit déjà.

Hulot a-t-il tué ? Violé ? Abusé d'une adolescente ? Je dois dire que je m'en fous et contre-fous. Mais que je vais m'en prendre aux fous de l'hystérie médiatique, j'allais dire à ces larbins d'une cause louche qu'on appelle le féminisme... débridé, qui n'a rien à voir ni avec une quelconque libération de la femme ni de l'exploitation salariée, ni du mépris de classe, ni du meurtre de maris violents relâchés par une justice bourgeoise laxiste et gauchiste, ni avec cette prétendue domestication de l'homme cet enfoiré. Ce n'est pas le furieusement accusé qui m'intéresse mais la manière dont il a été "individualisé" jeté dans la cage aux lions et couvert de crachats. Ce n'est pas un problème de sexe mais d'un scandale institutionnel et politico-social!

La place idéologique de Hulot depuis des décennies, comme flagorneur d'une terre à sauver des affres de la pollution jusqu'à cirer les pompes de n'importe quel gouvernement bourgeois ou à se complaire de baigner dans le milieu des affairistes me paraît autrement plus scandaleux (ce qui lui vaut des jaloux qui dénoncent son enrichissement) que sa propension à mettre la main au cul de ses subordonnées voire groupies repentantes2. Qu'il ait été dragueur lourdingue parce qu'il est moche, on peut le comprendre, le prendre en pitié, mais de là à le rouler dans la boue méthodiquement, avec un scénario « dévoyé spécial », avec images floutées façon David Hamilton des plus ou moins belles victimes, plus ou moins consentantes allongées dans un pré ou assises rigolant sur le canapé d'un séjour luxueux, le tout alterné avec les sermons de la juge terroriste féministe, dite journaliste indépendante, qui pontifie, qui sans cesse en rajoute une couche contre le pire des salauds qu'ait connu la terre non polluée, de mémoire de femme authentiquement féminophile et rétribuée par nos impôts, sans notre consentement.

Quelle mouche les a piqué tous, à la suite de cette gourgandine inculte, pour s'en prendre à un ancien candidat bobo-écolo à la présidence de la République ? Il est de notoriété publique que le pouvoir rend con et que la plupart des politiciens et artistes sont de gros obsédés qui profitent à l'occasion de leur position de « vedettes ». La liste est longue des gros porcs - Jeffrey Epstein, Weinstein, PPDA, Ary Abittan, Lahaye, etc. - et on en compte des pires que Hulot pas seulement au niveau comportemental. Et qu'on me permette de ne pas oublier que pas mal de groupies ou d'arrivistes-groupies ne sont nullement des Sainte Nitouche. Mais c'est la prétention à une rigueur déontologique à étudier de près les crottes de mouches qui m'a navré en regardant cette télé odieuse et confite de bêtise que je ne regarde jamais. S'agit-il d'une étude sur la faim dans le monde, sur la menace du chômage pour les vendeuses de supermarché face à la généralisation des caisses automatisées, de l'implication de la France dans les guerres « périphériques », de la façon de fonctionner et d'obéir aux ordres des journalistes de France télévision ? Du tout c'est picrocholin et bête – une est « embrassée de force » comme c'est l'habitude de quelques crétins dans les émission pipoles, une autre peut-être forcée à faire une fellation (et mentir si elle l'a apprécié en narrant d'abord à ses copines « je me suis tapé Hulot » ... "Non ? C'est pas vrai?") ; d'autres de salaces propositions - et l'enquête pompeusement annoncée n'est que la compil de conversations avec la petite concierge envoyée peu spéciale qui se pousse du collier, plutôt sur l'herbe ou en salon3 ; pas de faits bruts mais une série d'évocation au coin du feu avec ce plaisir inassouvi de « passer à la télé » :

« C'est un travail d'enquête aussi minutieux que colossal (hi hi)qui a été réalisé par Virginie Vilar, journaliste à l'origine du "Envoyé spécial" diffusé le jeudi 25 novembre 2021, dans lequel Nicolas Hulot est mis en cause pour des faits de viols et agressions sexuelles par quatre femmes. Les équipes d'Elise Lucet, la présentatrice, ont travaillé pendant quatre ans (menteuse!) sur cet épais dossier, rencontrant à plusieurs reprises les accusatrices. La journaliste aurait même, selon ses dires, rencontré d'autres femmes rapportant des faits semblables. "Au fur et à mesure des témoignages, tout se vérifiait, les lieux... »4.

Curieux lynchage! ? Qui et pourquoi cette ruée sur Hulot? Je ne le porte pas dans mon coeur, mais au vu du reportage parfaitement ridicule du juge impavide Lucet, c'est à gerber : mise en scène de façon nunuche (promenade à la campagne, confidences chuchotées comme entre copines sur l'herbe, etc.). R.I.D.I.C.U.L.E, que des histoires de mains aux fesses de petites arrivistes du PAF qui connaissaient fort bien les moeurs du milieu. L'attitude grossièrement moraliste de la mère Lucet achevait non seulement le pauvre Hulot (certes dragueur lourdingue, mais qui reconnaissait par avance ses échecs pitoyables) mais surtout le spectateur face à ce lamentable montage pipole. Rien à voir avec des témoignages bruts, factuels qui ne nécessitent surtout pas d'en faire du cinéma avec halo et écran plongeant... Un résumé glauque de ce qui est considéré désormais comme l'aune du combat politique...

En quelques jours pour ne pas dire quelques heures tout ce que les médias ont comme support de Ouest France à Médiapart se sont emparés du scandale, prenons le plus comique Médiapart qui titre sobrement : « Les leçons de l'affaire Nicolas Hulot » :

« Après la révélation des accusations contre l’ancien ministre, le parquet de Paris a annoncé l’ouverture d’une enquête préliminaire. Au-delà de son devenir judiciaire, cette affaire nous interpelle sur l’insuffisance de la lutte contre les violences sexuelles et sur l’impunité des sphères de pouvoir ».

Médiapart qui est l'organe de la bourgeoisie féministe et qui est le support de toutes les contestations bonobobos ne peut qu'invoquer une vertu fictive en faveur d'un pouvoir capitaliste propre. Plus sérieusement : Qui est derrière cette diabolisation filmographique outrancière ? Est-ce pour déstabiliser l'aile écolo de la macronie, et pousser un peu le score minable du candidat des bonobobos écolos? On va censurer mon questionnement en disant aussitôt que je suis complotiste. Mettons, reconnaissez toutefois que quoiqu'il arrive, que Hulot se suicide ou disparaisse de la circulation en devenant moine en lozère, qu'en restera-t-il de ce « scandale » ?

Tout scandale sert à quelque chose.

Nicolas Hulot avait été éjecté par les Verts en 2012 dans des conditions paraît-il absolument cruelles. La préparation de la future élection présidentielle actuellement annonce de nombreuses cruautés :

« Selon les informations de Marianne, l’exécutif serait décidé à faire les yeux doux à Yannick Jadot, actuel candidat à la primaire écologiste. « On a un bon bilan écolo, il ne faut pas s’en cacher, mais on a un problème d’incarnation », analyse un proche d’Emmanuel Macron pour l’hebdomadaire. Dans son viseur, l’actuelle ministre de l’Écologie, Barbara Pompili.

« Elle n’incarne rien », tance-t-il, contrairement à l’ancien patron des écologistes, qui avait mené son parti sur la troisième marche du podium des élections européennes de 2019, avec 13,4 % des voix. « Jadot, il incarne le sujet, ce serait idéal de l’avoir pour le prochain mandat », poursuit ce poids lourd de la macronie. L’objectif est clairement affiché : rallier à la prochaine équipe gouvernementale une pointure de l’écologie, comme avait déjà su le faire Emmanuel Macron en 2017 en faisant entrer Nicolas Hulot dans le premier gouvernement d’Édouard Philippe. Et en espérant, bien sûr, que l’affaire finisse un peu mieux, Nicolas Hulot ayant claqué la porte en 2018 ». ??? Il n'est pas dit qu'on lui a plutôt, sans doute, fermé la porte pour que son comportement ne rejaillisse pas sur le probe Macron, ou en même temps parce que Hulot ne pouvait plus se targuer d'être le messi dominici du clan écolo...les soi-disant conditions du départ inopiné... La goutte d'eau présumée ayant fait déborder le vase de la collaboration gouvernementale de Hulot aurait été une faveur accordée à ces salauds de chasseurs fachos ! L'honneur gouvernemental féministe et antifa était sauf !

UNE PRESSION DES LOBBIES POUR RIDICULISER LE POSITIONNEMENT POLITIQUE ECOLOGIQUE MARGINAL DES BONOBOBOS ?

En manque de Hulot – carte écolo complémentaire pour rallier les bonobobos urbains - Macron aurait des visées sur Jadot tout en faisant payer son infidélité à Hulot ou ses bêtises hors caméra... Hulot était aussi représentant d'un de ces lobbies qui font la pluie et le beau temps. "Emmanuel Macron, président des lobbies !" L’accusation a été lancée bien avant la démission de Nicolas Hulot. Dès la campagne présidentielle de 2017, le candidat socialiste Benoît Hamon et l’éphémère candidat d’Europe Écologie-Les Verts, Yannick Jadot, reprochaient au candidat d’En Marche de passer son temps à vouloir "plaire aux lobbies". Si une telle chose est difficile à évaluer, il est incontestable qu’à tous les niveaux du pouvoir – gouvernement, Parlement, haute administration – le rapport aux lobbyistes est aujourd’hui décomplexé. Les personnes occupant le pouvoir sont désormais nombreuses à avoir eu une expérience dans le privé. Au mieux, cela les rend plus ouverts aux problématiques liées aux intérêts particuliers ; au pire, ils sont soupçonnés d’être des agents d’influence infiltrés au cœur des institutions. Outre le président de la République, passé par la banque Rothschild comme associé-gérant, la composition du gouvernement en est ainsi le reflet. D’Édouard Philippe, Premier ministre en charge du lobbying chez le géant du nucléaire Areva (devenu depuis Orano) entre 2007 et 2010, à la secrétaire d’État à la Transition écologique et solidaire Emmanuelle Wargon, ancienne chargée du lobbying chez Danone, huit membres du gouvernement sont passés du public au privé, puis du privé au public.

La journaliste terroriste moraliste, qui est certainement affiliée elle aussi à un de ces lobbies, poursuit les jours suivants sa chasse au Hulot, reçue galamment dans tout studio d'infaux pour rappeler le « travail colossal accompli », preuve de la « parole libérée des femmes ». Hulot doit être indéfendable et indéfendu. La démarche et la mise en scène sont renforcées avec un culot proprement stalinien :

«Nicolas Hulot va où pour dire que c’est un tribunal médiatique? Sur un plateau de télévision!», a-t-elle ensuite souligné. Un procédé qu’il avait déjà adopté en 2018 alors qu’une enquête du magazine Ebdo allait révéler deux affaires de harcèlement sexuel le visant. Dossier qui avait été classé sans suite pour cause de prescription. «En matière de journalisme, il n’y a pas de prescription. Il y a une prescription au niveau judiciaire, elle est importante, elle est respectée», a ajouté la présentatrice d’«Envoyé spécial». «Imaginons qu’on découvre un scandale qui date de 25 ans, qui est une affaire d’état, qui concerne des politiques, est-ce qu’on s’interdirait d’en parler parce que cette affaire a 25 ans? Il n’y a pas de prescription dans le journalisme. Il y a même parfois du journaliste historique qui remonter à deux siècles et on a raison de le faire.»

Et de conclure: «Dire à des journalistes qui font simplement leur travail (sic), recueil de témoignages, vérification journalistique de recoupement, de contradictoire, qui proposent à Monsieur Hulot une interview, qui proposent à ses avocats une interview, si ça, ce n’est pas du journalisme et si là on nous accuse de faire un tribunal médiatique, je ne comprends pas. Ce n’est pas un tribunal, ça s’appelle une enquête journalistique» (hihi).

Avec un procureur aussi cynique, il est certain qu'on aura de la boue, de la boue et de la boue. Elle se prend pour le procureur d'une cour suprême médiatique et sa méthode est de salir, salir et encore salir, car elle sait que c'est le désir de sa hiérarchie. Laissons la conclusion aux pires ennemis de Hulot ceux de la marge écolo officielle, du niveau c'est toi qui l'a dit c'est toi qui l'est !

« Raphaëlle Remy-Leleu, conseillère de Paris et porte parole d'EELV Ile-de-France, s'est indignée du traitement médiatique de l'affaire Nicolas Hulot, ce vendredi soir sur BFMTV. "On discute depuis deux jours, non pas du fait que Nicolas Hulot est un violeur, ou un agresseur, ou même de cette hypothèse, mais de sa stratégie de communication et des avancées, certes, que l'on a a obtenu en matière de libération de la parole des femmes. On ne parle pas du fait que Nicolas Hulot a pu rester au pouvoir, gagner de la notoriété et donc de l'impunité pendant des années." Remontée contre l'ancien ministre de l'Écologie, l'élue parisienne a dénoncé "ce piège qu'il nous tend de manière particulièrement perverse et cruelle". Et de poursuivre : "Il traite les femmes de menteuses. Il aborde une rhétorique extrêmement dangereuse dans un contexte où la culture du viol n'a pas disparu." Elle s'est également indignée de sa position ironique face aux accusations de viols.

Quant à Élisabeth Moreno, ministre chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, elle s'est exprimée ce vendredi soir à propos de l'affaire concernant Nicolas Hulot, au micro de BFMTV, en faisant du blabla. La ministre a salué la libération de la parole des femmes accusant l'ancien ministre de l'Écologie : "C'est libératoire et salutaire." Si elle entend les victimes, Élisabeth Moreno a rappelé que nous sommes dans un état de droit : "La justice ne se rend pas sur les plateaux de télévision. Il est important que cette enquête soit ouverte et que la lumière soit faite sur cette affaire."

LE MONDE, journal pourtant pour intellectuels et hostile à Paris-Match, donne lui encore la parole à une présumée victime qui s'était complu face à la caméra de « Dévoyé spécial », sur le mode interview présidentiel, précisant sa pensée elle déclare avoir "honte de la réaction de Nicolas Hulot face aux accusations d’agressions sexuelles, [...] honte que Nicolas Hulot ait préempté l’espace médiatique pour renverser les perspectives et prendre le rôle de victime" , elle s'indigne des propos tenus par le mis en cause au téléphone avec Elise Lucet : "en répétant à Elise Lucet que la parole des femmes serait devenue « sacrée », il a insinué qu’elle était désormais intouchable et qu’elle pouvait porter en elle l’injure, l’accusation aveugle, le procès d’intention, en un mot toute l’injustice qui est précisément ce que cette parole libérée cherche à combattre. Cette inversion rhétorique est d’une grande perversité".

Non il a tenté de se défendre – et il tape juste sur l'actuelle idéologie dominante féministe - sachant que la mode est à l'accusation pachydermique fémino-antifa et qu'il était cuit. C'est vrai, il a tenté de profiter de son pouvoir lobbyiste pour misérablement tenter d'endiguer le rouleau compresseur intouchable et sacré du système médiatique bourgeois totalitaire ; alors

Deux "dévoyés"" aux femmes.

Hulot serait-il un pervers narcissique ? Et je m'en fous encore. Encore un feuilleton qui va finir comme celui de PPDA ou des autres "gros porcs"... aux chiottes et dans l'oubli. Même si on nous promet d'autres épisodes croustillants, pour enfin « libérer la parole des femmes », mais seulement des violées et des offensées ?

 

L'essentiel est sauvegardé : le pouvoir d'Etat reste toujours propre quoiqu'il doive parfois se débarrasser de tel ou tel canard boiteux, trop vite devenu transparent. Comme les autres, mais à tour de rôle.




NOTES


1Ou la trouble absolution sportive de la petite frappe Benzema. L'antiracisme officiel étant une mamelle du féminisme... « Deschamps a cédé sous la pression d’une partie raciste de la France », avait accusé Benzema le 1er juin 2016 dans la presse espagnole, deux jours avant que la résidence bretonne du sélectionneur soit vandalisée, avec un tag le traitant de « raciste » ? A la veille de l’Euro-2016, le marseillais islamophile Eric Cantona avait déclaré dans un quotidien britannique que Benzema et Hatem Ben Arfa n’étaient pas sélectionnés en raison de leurs origines. En décembre dernier, la plainte de Deschamps pour diffamation a été déclarée nulle pour des raisons de procédure, mais le sélectionneur devait faire appel, selon son avocat ? L'attaquant du Real Madrid avait affirmé en une du quotidien sportif espagnol Marca que le sélectionneur "a cédé sous la pression d'une partie raciste de la France". Il poursuivait : "Il faut savoir qu'en France le parti d'extrême droite est arrivé au deuxième tour des dernières élections. Mais je ne sais pas si c'est une décision individuelle de Didier, car je m'entends bien avec lui, et avec le président". Allez vous étonner après de savoir que Macron, ulcéré électoralement qu'on puisse soupçonner l'éloignement du foot chauvin d'une racaille milliardaire, l'ait conduit à exiger sa réintégration, en dépit d'anciens rejets tonitruands (effacés sur le web) que Le Graet et Deschamps "ne voulaient plus le voir de leur vie"!

2https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/nicolas-hulot-candidat-a-la-presidentielle-en-2012-l-animal-politique-se-reveille_1362455.html

Une presse pipole dénonce : « Lui qui touchait 9940 euros par mois pendant toute la durée de son mandat au sein du gouvernement Philippe, a amassé un pactole bien supérieur grâce à son passage par la télévision. Nicolas Hulot a en effet longtemps animé et produit sur TF1 le magazine de découverte, "Ushuaïa" qui l'a fait découvrir du grand public. En 2018, France Dimanche faisait un récapitulatif de ce que possède Nicolas Hulot. Et "grâce aux activités de la marque Ushuaïa", nos confrères ont révélé qu'il serait "à la tête d’une véritable petite fortune – soit 7,3 millions d’euros".